J’ai un peu de mal avec toi, Gabriel. Sans doute parceque tu fais mal, et tu sembles t’y complaire.
Disons que si on mettait en place une dictature aux vertus gabriellennes, on détruirait les 99% de l’humanité, qui, effectivement, espère atteindre le stade que tu décris.
Oui Gabe, tout le monde espère se mettre en sécurité grâce à l’accumulation, par la violence ou autres coups retords pour certains. Sans parler des sentiments de jalousie, destruction d’autrui, malheur d’autrui faisant mon bonheur, stratégie du pire, etc.
Je préfère flirter et surfer sur ces sentiments bien profonds et justifiables que de damner pour autant, comme tu sembles le faire. Si, il m’arrive d’être sensible à des individus, qui, par ailleurs, sombrent dans tout les travers que tu décris. Ta raison qui broye tant d’invidivus ne fera pas de moi un bourreau, sensibilité oblige.
Car ces sentiments, dans leurs existences, sont justifiés par certaines circonstances. Mais, il est vrai, sont abusés par, disons le, certaines crapules de par le monde.
Tout l’art d’un économiste, mais tu n’en ais pas un, serait de respecter ces réactions les plus humbles en les protégeant d’autres issues de vautours. Ca nous changerait de Friedman, Krugman et consorts.
Si, un de ces jours, au lieu de critiquer, tu te mettais à proposer, fais moi signe.