@jaja
"Pour vous torturer puis massacrer ses opposants
c’est rien du tout !"
C’était la guerre froide et à l’époque, ça se
passait comme ça.
Des deux côtés !!! Avec, même, plusieurs longueurs d’avance pour les cocos.
A propos de l’Espagne, on se souviendra, par
exemple, que leurs vrais ennemis étaient autant les anarchistes que le
mouvement national.
Cela rappelé, Pinochet n’a jamais été un dictateur
fasciste - le fascisme comme le communisme entend, aberration politique
suprême, générer un homme nouveau - et le général a quitté, démocratiquement, le
pouvoir après avoir perdu un référendum démocratique.
"rappelez-moi vous êtes bien un anti-système
partisan de la riche blonde de Saint-Cloud ?"
Absolument ! Mais en d’autres temps, la lucidité
commandait d’être prioritairement contre le communisme, le « système »
étant bien moins pire. C’est tellement vrai que là où le communisme a été
abattu, il est désormais groupusculaire dans les urnes. Ce n’est pas vers les résidus de feu le Parti ouvrier unifié que se tournent les Polonais hostiles au système, c’est vers les anti-européens de Droit et Justice. Tu peux prendre le problème par n’importe quel bout, telle est la réalité.
Aujourd’hui, le communisme fait sourire tous ceux
qui ont compris que les lendemains qui chantent sont du bidon de chez bidon, mais la disparition de
l’équilibre contient de redoutables incertitudes. Et le discours des
Sutherland, Juncker, Lagarde et autres Attali est infiniment plus dangereux que celui des hurluberlus de l’internationalisme
prolétarien ne l’a jamais été.