’UPR est la dernière chance avant le chaos.

Euh, la dernière chance de revenir 70 ans en arrière ?

Enfin, c’est juste oublier un détail, nous sommes 70 ans plus tard...

Vous n’êtes pas la solution au chaos, vous êtes la solution du chaos !

Pourquoi croyez vous qu’il faille la guerre froide avec la Russie ? Réactiver les clivages géopolitiques pour faire diversion et diriger la colère des peuples. Bon, comme vous l’écrivez, la sauce ne prend plus aussi bien, mais peut on croire que les vieux démons et réflexes soient oubliés si tant est que les conditions les ramènent. Si tant est que des gens en font leur commerce ?

La mondialisation est là, aussi réelle que la Terre est une sphère et non une surface plate sur laquelle on découpe des frontières économiques et politiques. Cette vision du monde a vécu, sauf à plonger le monde dans le chaos, il n’y a d’autres alternatives que d’apprendre à coopérer plutôt que se faire la concurrence, mot politiquement correct pour parler de la guerre économique non pas tant entre les nations, mais entre les propriétaires économiques et les prolétaires économiques.

Il ne s’agit pas de savoir si c’est possible ou pas, il s’agit de savoir qu’il faut apprendre à coopérer ou ce sera le chaos et la dictature dure.

La souveraineté, c’est la concurrence entre les nations et par voie de conséquence, la dictature des propriétaires de l’environnement économique.

La situation n’est plus celle de la fin de la 2ème guerre mondiale, la mondialisation économique et sociale sont passés par là. On ne préserve bien, que ce qu’on décide de préserver volontairement et donc, consciemment. La coopération permet seule de réunir volonté et conscience au dessus de la cupidité et de l’irresponsabilité.

La cupidité de ceux qui disposent de capital cherchant intérêt et qui voient avec la terre un moyen de trouver cet intérêt en remplaçant les petites exploitations par des fermes usines. donc, où l’agriculteur salarié de lui même, devient salarié d’un autre, en l’occurrence, du grand capital !

Quand le capitalisme réinvente le soviétisme, mais avec l’automatisme et la robotique, il achève la déshumanisation de la société. Surtout, il condamne ces populations déshéritées à la révolte ou à la mort.