@howahkan
Pour que les gens agissent, il faut qu’ils soient informés du dessous des cartes.
C’est le rôle que c’est fixé l’ UPR depuis 2007. Des analyses précises qui bouleversent les idées reçues. L’UPR est par exemple le seul parti politique français :
- à
noter que le processus de construction d’un ensemble politique
continental, doté d’un gouvernement supranational comme l’est la
Commission européenne, n’est imité nulle part ailleurs dans le monde, où
triomphe tout au contraire le principe d’État-nation,
- à relever qu’il n’existe, au vu de toutes les
statistiques mondiales disponibles, aucune corrélation entre la taille
d’un Etat et le niveau de vie de sa population ; mais qu’il semble, en
revanche, en exister une entre le patriotisme et la croissance
économique,
- à souligner que les entreprises en Europe
nouent de plus en plus fréquemment des alliances avec d’autres
entreprises à travers le monde, notamment en Asie, pour mieux
concurrencer des entreprises d’autres pays européens. Cette tendance
lourde de la vie des affaires prouve l’entière fausseté de l’argument
qui prétend que la construction européenne serait une nécessité
économique et industrielle et qu’elle nous permettrait de bâtir des
« champions européens » 1,
- à
clarifier minutieusement le circuit des prises de décision au sein des
instances communautaires, la marginalisation de la France, et le poids
considérable qu’y jouent les relais d’influence américains,
- à
informer nos concitoyens du coût net, de plus en plus considérable,
qu’occasionne la construction européenne sur l’économie et les finances publiques françaises,
- à
démontrer, comparaisons statistiques à l’appui, que la France n’est pas
dans la situation financière catastrophique que l’on nous annonce,
- à révéler que bien des pays du monde, à commencer par le Japon et les Etats-Unis, ne respectent nullement les critères de Maastricht que l’on nous présente pourtant comme un impératif de bonne gestion économique et financière,
- à expliquer que s’il est un pays qui risque la banqueroute, ce sont les États-Unis d’Amérique où tous les
acteurs économiques (État fédéral, États fédérés, entreprises et
ménages) sont beaucoup plus endettés que leurs homologues français 2.
Très
lucide sur les problèmes économiques et sociaux, l’UPR fait bien
entendu sienne l’exigence de compétitivité et de dynamisme industriel,
scientifique et commercial, comme elle fait également sienne la légitime
détermination des Français à garder leur système social et leur
conception de la vie en société.
Mais
l’UPR affirme qu’aucun des problèmes graves que connaît la France ne
peut être durablement résolu si la politique menée ne recueille pas
l’assentiment clair et massif des Français. Or un tel assentiment ne
peut pas être obtenu de nos concitoyens si le pouvoir qui s’exerce
réellement sur eux n’émane pas d’une volonté librement consentie de la
nation, dans le cadre de choix authentiquement démocratiques.
Car on ne
peut pas diriger longtemps la France contre son peuple.