@France Europe République
La discrimination positive, c’est un emplâtre sur une jambe de bois, une tentative après coup de réparer des décennies de politique d’immigration stupide.
Une nation, c’est un peu comme une mayonnaise : une fois qu’elle a pris, on peut y ajouter beaucoup d’huile mais il faut le faire petit à petit et sans cesser de bien mélanger sinon elle rate. Ce n’est plus ni de l’huile ni de la mayonnaise. Il va sans dire qu’il faut aussi ne pas se tromper d’huile et ne pas utiliser par exemple de l’huile de moteur.
La France et le reste de l’Europe ont fait tout ce qu’il fallait éviter : immigration de masse et mauvais choix, en invitant ce qu’il y a de plus inassimilable à la surface de la planète.
Le patronat y a évidemment trouvé son compte : main d’œuvre abondante et peu syndiquée pour faire pression sur les salaires. Tous les inconvénients ont été laissés aux populations locales : désordre, abaissement du niveau d’éducation, pression insupportables sur les acquis sociaux.
Dans une société bien organisée, comme le Japon, quand le patronat a besoin de main d’œuvre étrangère, il peut la contracter et la faire venir. Le permis de séjour est lié au contrat de travail. L’employeur est responsable de son employé et doit lui payer un salaire décent, lui fournir un logement et l’aider à s’habituer à son nouvel environnement. L’employeur bénéficie de cette main d’œuvre importée ; à lui d’en supporter le coût.
En France, l’immigration a détruit le tissus social en capotant dans le communautarisme. Pire, la richesse « naturelle » de la France, celle qui va le plus compter dans l’avenir, son système d’éducation nationale est mis en danger. Il y aura de moins en moins de jeunes qui se sentiront la vocation d’enseigner si cela signifie se faire insulter et agresser en classe.
On vous dit que les jeunes de l’immigration payeront vos pensions. Avec leurs allocations de chômage ? Ils n’y aura jamais de travail pour tous. Pratiquement tous les boulots qu’ils sont capables de faire seront pris avantageusement par des robots qui n’emmerdent personne avec le ramadan, des salles de prières pour fainéanter et des menus spéciaux. Donc non seulement ils ne payeront pas vos pensions, l’état devra rogner sur vos propriétés pour les nourrir et les loger.