Serge Gainsbourg n’a certes pas attendu d’être mort pour être
vomitif.
Son Poinçonneur des Lilas, quand j’étais ado, n’était pas mal monté, mais sa conclusion est outrancière et stupide.
Les « Whizzz » de son comic-strip furent bien le texte qui demandait le moins à l’intellect de Bardite Brijot.
Plus éprouvant pour elle fut le texte qu’elle anonnait laborieusement avec sa Harley-David-Dsonne pour ga-gner des do-llards.
Mais en quoi Gainsbourg était-il plus vomitif que le gros du show-biz ? C’est une question que je laisse aux accros.
Une autre vedette du show-biz parle de lui, et chouette ! On peut en faire l’emblème de tous les boucs émissaires qu’il faut matraquer : les pères.
Guerre sexiste oblige !
Dans un mémoire de maîtrise soutenu en décembre 2002, je mentionnais
l’incident d’un prédateur et manipulateur du Net, qui avait manqué d’un
cheveu un crime parfait. Quand la victime et une amie ont publié ses
messages, il m’a sauté aux yeux que nous avions là tous les symptômes
d’un incestué maternel. Frisson d’horreur chez ces demoiselles, et chez
la prof, qui me demande comment j’ai l’audace de porter un tel
diagnostic, qui devrait demander de longues investigations. Bin non, il
suffisait d’avoir eu sous les yeux des témoignages d’incestueux
maternels, plutôt fiers au temps où c’était la mode d’étaler ça. Entre
temps la mode avait changé. De nos jours il faut innocenter et
sanctifier les mères, et charger les pères de tous les crimes et délits
possibles et impossibles.
Politically, and feministically and terroristically correct !
Mais quand il y a eu des dégâts incestuels voire incestueux ? On fait
comment pour réparer les victimes ? Justement, on fait le contraire de
ce que font ces fanatiques de la guerre sexiste, telle que l’auteure de
cet article vomitif. Mais je ne vais pas vous donner ici un cours de thérapie systémique, vous avez ce qu’il faut en bibliothèque universitaire.
Qui veut apprendre, apprend.