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Commentaire de wesson

sur Rétablir enfin le respect des autorités...


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wesson wesson 4 janvier 2018 21:01

@foufouille
voici un extrait du récit fait par le figaro, ce journal d’antifa anarcho-gauchistes bien connu :


« Ali, 18 ans, était ici dimanche soir. Arrivé devant le hangar pour rejoindre des amis, il voit alors la foule qui attend devant l’entrée, où la soirée a déjà commencé. « Il y avait une queue énorme, c’était pire qu’à Disneyland », explique le jeune homme. À l’intérieur, « 200 personnes » font la fête, selon un ami du propriétaire, tandis qu’à l’extérieur deux vigiles tentent de contenir plusieurs centaines de jeunes qui voulaient s’inviter dans la salle, servant habituellement à des fêtes religieuses. « On attendait 200 personnes mais il y a eu beaucoup de monde qui est arrivé », a reconnu un proche du propriétaire des lieux. » 

« Il y avait des gens qui ont attendu trois heures, on leur a dit de partir, ils ont pété un câble », raconte Ali. Puis « tous ceux qui étaient derrière se sont mis à doubler, il y a des gens qui sont tombés par terre, qui criaient ». Devant l’entrée, le petit muret en briques s’écroule sous la pression de la foule. Sur un autre côté du bâtiment, « ils ont forcé le rideau de fer » qui était baissé, montre l’ami du propriétaire. À la sortie du hangar, un tas de débris : « Il y avait un mur de placo derrière le rideau de fer, ils l’ont défoncé aussi. »

« 300 à 400 personnes voulaient rentrer »

Débordé, le propriétaire finit par appeler le 17. « La police est arrivée, on a vu les CRS avec leurs boucliers, ils tiraient des Flash-Ball », ajoute Ali, montrant un large bleu circulaire sur sa cuisse, trace d’une balle reçue selon lui. Aux gaz lacrymogènes de la police, des jeunes ripostent par des jets de projectiles, ou à l’aide d’extincteurs trouvés dans les locaux industriels voisins. « Ça n’arrêtait pas de péter, il y avait de la fumée partout... C’était une catastrophe », relate Ali, évoquant une « panique générale ». Il y avait « des trucs qui volaient dans tous les sens, des gens qui cavalaient dans tous les sens », rapporte Manu, 55 ans, qui avait garé sa voiture derrière le hangar. »

En résumé :
* c’est bien le propriétaire des lieux qui appelle les flics et pas les vigiles
* le débordement est bel et bien confirmé
* c’est bien la réaction de violence des policiers qui aggrave la pagaille


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