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Commentaire de Philippe VERGNES

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Philippe VERGNES 21 mars 2018 22:02

@ JL,


Vous vivez dans le confusionnisme le plus total. Le merdier que vous croyez voir chez les autres n’existe que dans votre tête. C’est vous qui dite que vous êtes médiocre et haïssable, pas moi. Cela témoigne de la faible image que vous avez de vous-même et de vos « désirs » de projeter cette image sur autrui. Moi, j’ai toujours dit que je vous plains et il faut un certain talent pour réaliser une mystification aussi réussie. Cependant, cela ne justifie pas qu’on puisse la laisser perdurer, surtout lorsque cet imposteur peut se permettre d’apporter la contradiction à un auteur en mentant effrontément sur des théories dont il ignore tout ou presque... tout en prétendant y connaître.

Si vous êtes incapable de m’ignorer, c’est que vous êtes dans la quérulence qui soit dit en passant atteste de mon diagnostic. Je n’ai jamais dit que la réconciliation d’une victime avec son p.n. serait d’une quelconque façon souhaitable : le p.n. isole et s’arrange pour que sa proie se fâche avec tout le monde ou que tout le monde tourne le dos à sa proie, soit très exactement l’attitude que vous avez eu ici à l’encontre d’alinea et de Gollum, mais également envers plus d’une dizaine d’intervenants qui commentent mes articles et que vous êtes allé chercher chez d’autres auteurs pour les rabattre vers votre article dont je n’ai cure malgré vos incessantes invitations puisque personnellement, si ce n’est de répondre à vos attaques... je vous ignore.

Ainsi, le p.n. isolant sa proie, il ne supportera jamais qu’elle se réconcilie avec les personnes envers qui elle était fâchée, bien souvent en raison de ses manigances (d’où l’emploie du terme déliaison dans l’oeuvre de Racamier). Tel est le sens en contexte du mot réconciliation que j’ai employé à propos du p.n. Du fait de cet isolement orchestré par le p.n., le p.n. défait les liens libidinaux pour créer des ligatures ou des relations d’emprise afin que sa proie ne lui échappe pas. C’est toute la nuance qu’apporte Racamier dans ses écrits, si vous l’aviez lu, vous auriez peut-être pu saisir ce genre de subtilité qui vous échappe totalement : le lien n’est pas une ligature. Dans l’un, c’est la pulsion de vie qui prédomine alors que dans le second, c’est la pulsion de mort, d’où la distinction faite chez les successeurs de Racamier entre lien et ligature (cf. Jeanne Defontaine, 2007)

Quoi qu’il en soit, vos délires interprétatifs qui consistent systématiquement à inverser ou à modifier le sens des phrases ou des mots que j’emploie dans un contexte déterminé ne se retrouvent que chez un seul type de trouble : les paranoïas de caractère.

Les mots sont polysémiques, Korzybski aurait dit multiordinaux, et leur sens ne peut être déterminé que dans le dialogue et en aucun cas imposé à l’encontre de celui-là même qui les emploie comme vous le faite systématiquement, non seulement avec moi, mais également avec tous les contradicteurs avec qui vous avez maille à partir. Sauf que la plupart d’entre eux n’ont malheureusement pas les connaissances que j’ai pu acquérir en psychopathologie. En gros, vous êtes un chasseur d’ambiguïté... qui crée les ambiguïtés qu’il croient chasser... et c’est sans fin avec vous. C’est votre nature.

Les seules personnes dangereuses, non pas seulement pour ce site, mais également pour notre démocratie tout entière, ce sont bien les paranoïaques qui mettent en application le principe de la double-pensée de George Orwell.

Et ce sera mon dernier mot sur ce fil à votre attention, votre irrespect est indécent vis-à-vis de l’auteure de cet article et de certains autres commentateurs que vous avez « hélés »... tout en niant l’avoir fait = paradoxalité = effort pour rendre l’autre fou.


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