Cher monsieur ,
L’histoire , ne vous a rien appris. Au début , de ce que l’on a mal nommé les « printemps arabes ». Beaucoup de printolâtres , chantaient des lendemains merveilleux .et de la démocratie en marche . On connaît la suite.
Quel que soit , le dénouement , du cycle Boutéflika , les algériens doivent consentir beaucoup de sacrifices , de remises en causes des habitudes et de beaucoup travaillaient , s’ils veulent construire leur pays. Sont-ils capables ? Ceux qui ont fuient pour les pays occidentaux , retourneront -ils , pour aider les nouveaux dirigeants , comme l’ont fait , les rapatriés Indiens et Chinois avec succès ?
Je pense que les moeurs, traditions et mentalités de ces deux pays , ne sont pas comparables avec le monde musulman. L ’échec , des rapatriés iraniens , qui ont plié bagage au bout de quelques mois, doit servir de leçon. Après l’euphorie , vient le moment de vérité. Une génération pour former un homme , mais plusieurs générations pour édifier un pays. Il faut mettre de côté, la religion, les idéologies et les propagandes néfastes , qui ont pourri le pays depuis son indépendance.