Chers internautes bonjour.
Mes excuses pour quelques coquilles dans cet article non
relu et non corrigé comme le quart des précédents. Mon entourage a raison de m’en
faire le reproche même s’il ne contient aucune nouvelle orientation politique
ou sémantique. Car l’erreur est humaine et un contre sens peut se glisser à
l’occasion d’une distraction ou d’une fatigue.
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Je suis en train de revoir l’épopée spatiale sur ARTE.
Ce qui accroit mon impatience à voir émerger plus de signalétiques modernes interactives
autofinancés et plus d’escalators dans
la première destination touristique mondiale (et surtout l’une des plus riches).
Pas uniquement pour les touristes chargés de bagages et agacés par notre
fréquent archaïsme.
Mais aussi pour les travailleurs chaque jour, pour nos personnes
âgées et pour nos handicapés.
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Idem pour l’émergence de lieux de vie et des dizaines milliers de logements sociaux promis. Et pourtant, le progrès technologique
dans la préfabrication en LEGO pré-construits permet de diviser par deux les budgets et par
quatre les délais de construction
immobilière.
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Un article suivra pour parler aussi d’un des projets
centraux des « Bouledogues de la
République » au sein du cercle de réflexion « En Marge » (et maintenant dans la plupart des partis) :
La représentation des usagers dans les conseils
d’administrations des services publics (y compris privatisés) pour moins
d’erreurs conceptuelles, moins de gaspillages, moins de pillage, moins de dysfonctionnements locaux et moins d’injustices.
Notre projet trentenaire (du
collectif électoral des chômeurs, des précaires et victimes de l’administration
VLC (Vaincre Le Chômage) n’a cessé d’être bloqué par les fonctionnaires de
droite et de gauche. Pourquoi ? Par peur d’excès de transparence, de contrôle et
d’influence par le public. Avec risque d’une sorte d’idiote quasi « guerre secrète de
classe » entre fonctionnaires et usagers (idiote parce que les fonctionnaires sont eux aussi des... usagers). .
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Mais les services administratifs n’appartiennent pas aux
fonctionnaires. Ils sont financés par le peuple, au service du peuple et
doivent donc être contrôlés par le peuple.
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Reste à trouver les modalités négociées pour ne pas gêner la
bonne gestion quotidienne des services. Qu’une ou deux fois par an les usagers et
leurs représentants soient automatiquement invités à émettre leurs doléances, dans chaque
région, département et commune, c’est possible, globalement positif et déjà sectoriellement
pratiqué.
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Exemple réussi des parents d’élèves dans les écoles (malgré
quelques frictions avec le corps enseignant, obligé de reconnaître qu’une
immense armée de 160.000 jeunes sortent chaque année du système français sans
aucun diplôme. L’un des plus mauvais classement éducatif de l’OCDE qui va nous
obliger à améliorer et élargir cette consultation jusqu’aux universités et
grandes écoles.
Même l’ENA est
maintenant sur « sellette critique
officielle radicale » grâce à Emmanuel
Macron). Quasiment tout est à repenser et à moderniser. Tâche immense pour
notre ministre et déterminé Jean-Michel
Blanquer.
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Exemple même dans la Préfecture
de Boulogne Billancourt ce mois-ci (grâce à cette louable concertation, les
conditions d’accueil et de traitement des dossiers seront peut-être moins
inhumaines. Les thromboses paperassières inutiles diminueront. Par exemple, les
factures justificatives ne seront plus refusées par l’administration
préfectorale (avec d’énormes et préjudiciables pertes de temps) au prétexte que
la mention « livré » serait absente ou remplacée par la mention… « expédié » !
(incroyable et aberrant anachronisme encore en pratique mi Juillet 2019 !).
Cette représentation fructueuse et non conflictuelle des usagers est possible.
De nombreuses grandes firmes capitalistes organise la consultation des usagers depuis longtemps, par soucis d’accroitre leur rentabilité.
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A+ pour le débat.
Cordialement.