@VDob. Ni les religions « du livre » ni les autres n’ont, selon moi,
le monopole de la violence. Mais elles bénéficient d’une trouble et malhonnête
indulgence qui conduit à faire durer, depuis de nombreux siècles, la mise en
pratique des appels à massacrer attribués à leur Dieu et qu’elles ont
sacralisés.
Il paraît pacifique, à
l’extérieur, de ne pas exiger leur désacralisation mais, en réalité, c’est une lâcheté. L’actuelle violence, hélas
très concrète, de nombreux musulmans est bien la mise en pratique des appels à
la violence contenus dans leur livre sacralisé, le Coran.
Si ce livre lui-même a pu être composé et attribué à un prophète qui
était lui-même un grand meurtrier, c’est parce que les deux grands monothéismes
qui le précédaient, le judaïsme et le « christianisme », avaient
continué de garder intouchables (sacrés) les fondements criminels de leur foi.
On voit bien qu’il est très dangereux de renvoyer toujours à plus tard
la désacralisation des croyances criminogènes mais, pour qu’elle soit possible,
il faut que les athées anti-religieux cessent
de vouloir détruire le tout des
religions.