J’entends bien ce que vous dîtes, sur ce fil ; début des années quatre vingt j’étais déjà en pétard contre l’enseignement donné, j’ai fini par lâcher prise parce que le rouleau compresseur avançait trop vite !
Mais enfin, tous les profs qui ont été formés depuis sont dans le moule, comme dans le reste de la société :
Quand quelqu’un est en détresse, qu’il appelle à l’aide, la seule chose que vous répondez : c’est bien fait pour ta gueule, crève ?
C’est insensé, tout est à reconstruire, il faut commencer par l’entraide, par la compréhension de l’autre.
Et je vous jure bien que j’en ai eu des colères comme vous en avez là ; je ne pense pas que l’individu soit a priori innocent, loin de là, mais on est tous dans une telle merde qu’il faudra bien s’entraider, les malins qu’ont tout compris, les individualistes qui se sont faits tout seuls...
Je ne sais pas si vous êtes au courant, mais ce qu’on a au dessus de la tête c’est grave ; alors donner une leçon, pourquoi pas ! mais tout de suite derrière déclarer que si beaucoup sont d’accord, on s’y colle !
Vous avez des enfants ou des petits-enfants à l’école, hein ? Y’a ceux qui vont dans le privé parce qu’ils ont les moyens de faire fabriquer un petit génie libre et critique... et puis il y a les autres...
Je suis effondrée de tristesse, le but de vos réactions je ne le comprends pas ; soit vous êtes tout sirop compassionnel, soit de véritables harpies...
Bon, on va laisser Biden devenir le maître du monde, ça fera plaisir à bakerstreet, Aristide et tous les autres du genre, et nous on survivalistera dans les bois, nous, je veux dire, moi et quelques autres inconnus !!