Juste quelques mots en passant teneur de l’article oblige, afin de permettre au lecteur de se faire une opinion la plus contrastée possible du personnage et sujet de l’article, l’entier contexte géopolitique de cette tempête dans un verre d’eau, ainsi qu’apprécier la dialectique et le sens de la libre expression de l’auteur :

• Primo, en sa qualité d’ex haut fonctionnaire algérien, B. Sansal a fait partie de l’ancienne nomenclature algérienne aussi corrompue que la française, prétendument dirigée par un président plus atteint que Jobidon, dont il a d’ailleurs profité avec une étrange liberté de mouvement, en tous cas incompatible avec ses officielles responsabilités ;

• Secundo, il a bien violé gravement la loi, au sens de l’article 87 bis du code pénal algérien que, de par ses dites fonctions, il ne pouvait moins que quiconque ignorer ;

• Tertio, sauf a considérer que ce citoyen algérien est au dessus des lois de son pays, car assujetti à des règles supérieures inconnues de la justice algérienne, sa place est légalement sous les verrous, à l’instar d’autres délinquants autrement plus galonnés, dans tous les sens du terme, dont les prisons algériennes sont pleines après l’opération « mani pulite » des nouveaux dirigeant algériens suite au « Hirak ».

• Quarto, preuve apportée par lui même à l’appui,cet individu est de fait un sayan au service d’une entité étrangère, dont la malfaisance et l’hostilité à l’encontre de la jeune, dans tous les sens du terme, République algérienne sont de notoriété publique ;

• Cinque, les dirigeants et merdias d’un état dont les « barbouzes » sont pris en « flag » de réactivation de réseaux nazi$lamistes, par les services concernés algériens, doivent au minimum la mettre en veilleuse et pas seulement partir d’urgence et discrètement à Alger, pour limiter les catastrophiques dégâts de ce genre de magouilles considérées comme gravissimes par les algériens, compte tenu de ce qu’ils ont subi durant la décennie 90 dite aussi « noire », d’autant qu’un autre prétendu ambassadeur confirme les soupçons des algériens ;

• Sei et dernier point, sauf a vouloir sacrifier l’écrivaillon, en l’instrumentalisant à des fins autres que solidaires, les dits agités du bocal feraient mieux de calmer le jeu et laisser la justice algérienne juger sereinement le cas qui, pour des raisons humanitaires vu son âge finira, au bout de quelques mois à l’ombre, par être destitué de sa nationalité et expulsé rapidement du territoire algérien, que d’ailleurs il conteste, avec interdiction de remettre les pieds de son vivant en Algérie, ce qui au vu de la détestation de B. Sansal de son pays natal, ne devrait pas le traumatiser, ni même l’attrister.

Par ailleurs, pour qui se prennent les pantins dirigeant ce qui reste de la ripoublique française, leurs merdias à solde ainsi que tous ceux régurgitant leur logorrhée ?

Ou plutôt en quel siècle se croit ils tous ?

Y aura t il un jour une pacifique et convaincante possibilité, de leur faire comprendre une bonne fois pour toutes, que l’ère du suprémacisme est terminée, que le colonialisme est mort et que sa métastase néocoloniale est à l’agonie même en Afrique ?

Faudra t il qu’ils soient colonisés à leur tour durant des décennies,

comme Rima Hassan et son Peuple, pour le comprendre ?

La question se pose sérieusement, au vu de traineur de sabre ex chef d’état major, excusez du peu, envisageant tout aussi sérieusement de re-coloniser l’Afrique !?!

Peut être faudrait informer ce Gamelin des plateaux TV, que la politique des porte-avions est également terminée. . .