Le lexique savant et amusant de la trollosphère
Revoyons nos suffixes grecs, latins et français grâce à ce petit lexique savant et amusant du monde des trolls.
Trollade : remarque hostile, méchante d’un troll. Invite une riposte que l’on appelle « controllade » ou « controllarderie ». La « trollardise » désigne le bagout d’un troll ; la « controllardise » est l’habileté à répondre à un troll. Pour une trollade excessivement longue, voir « trollothon ».
Trollaillon : troll qui vous agace. Pour un troll féminin que l’on n’apprécie pas, l’Académie florentine recommande « trollasse » : « l’unique trollasse du forum ».
Trollalgie : mal de tête violent et persistant qu’éprouvent à la suite d’une trollomachie (voir sens plus bas) les rédacteurs qui se prennent trop au sérieux (ex : La Taverne aux Alouettes), spécialement lorsqu’ils ont eu le dessous (ce qui peut se vérifier aisément au nombre de votes négatifs obtenus). Se soigne au Démialgan.
Trollarche : (1) par contamination avec « patriarche », troll de longue date, vieux troll agorasant. Peut servir à décrire un troll ancien aux réponses particulièrement ingénieuses, spirituelles, fines et décapantes, d’où (2) titre du « Troll de l’An », élu le mardi gras de chaque année sur Agoravox. Le titulaire actuel est Le Chat (mais la concurrence s’annonce très rude pour l’année prochaine !). (3) Troll qui ouvre le feu sur un fil de discussion, position très enviée et âprement disputée sur certains fils. (4) Troll très populaire ou qui reçoit moult votes positifs.
Trollarchie : site ouèbe qui est dirigé ouvertement (ou en secret) par des trolls. De lourds et noirs soupçons pèsent sur Agoravox, notamment en raison de la présence de modérateurs enfoirés belges, et surtout depuis l’intervention de Carlo Revelli au début d’un fil de discussion particulièrement scabreux et trollogène du sulfureux D-W, ce qui lui vaut désormais le titre funeste de « shadow trollarche » voire de « trollocrate ». Une « trollarchie » peut désigner un site ouèbe où les trolls prospèrent en toute liberté. S’ils deviennent majoritaires, on parle généralement de « trollocratie ».
Trollémie : (1) pénurie de trolls causant une chute spectaculaire du nombre de commentaires sur un fil de discussion présentant par ailleurs un intérêt faible, voire nul ; (2) épuisement de la verve d’un rédacteur à la suite de ce phénomène. D. West en a souffert récemment, ce qui l’a conduit à se transsexualiser et à se rajeunir de plus d’un demi-siècle. On soupçonne même que c’est cette trollémie aiguë qui l’a empêché de publier sa tartine de conficulture quotidienne le 30 août, date qui restera dans les annales d’AV comme la « Journée sans Taverne ni Démian ». A l’instar des fameuses journées sans voitures, il y a de bonnes raisons de croire qu’il n’y en aura hélas qu’une dans l’année. Syn : trollorragie.
Trollerie : (1) plaisanterie ou remarque amusante de troll ; humour des trolls que l’on aime ; (2) élevage de trolls ; (3) ensemble des trolls présents sur un fil donné (péj. on dit « trollaille ») ; groupe de trolls.
Trollet (te) : troll que l’on aime et dont on cultive à l’occasion l’amitié par de petites flatteries cajoleuses et des votes positifs sur ses commentaires. Le verbe est « trolletter » : je trollette, tu trollettes, que je trollettasse, etc.
Trolliculaire : petit troll, troll débutant ; commentateur qui essaie en vain d’attirer l’attention en se faisant tout troll ; troll qui s’ignore (Claudette) ; troll de fin de fil et du lendemain que personne ne lit ; troll qui reçoit beaucoup de votes négatifs. Ant. : trollarche. Syn : trollicule.
Trollignol (le) : troll qui n’est pas drôle et ne fait rire personne.
Trollocène : au masc. et dérivé du grec « kainos » : période paroxystique durant laquelle un rédacteur souffre particulièrement des attaques de trolls ; ces attaques lorqu’elles sont massives et continuelles. « Vous ne comprenez pas, Claudette : je vis un véritable trollocène ! » (extrait de La Vie de Pécuchet de J. Florentin, Flammarion, 2007). (2) Au fém. et dérivé du latin « coena » : épisode lamentable d’une trollomachie au cours duquel deux trolls qui s’attaquaient au même auteur (que l’on appelle de ce fait parfois « comtrolls » ou « homotrolls »), oublient leur cible commune pour s’injurier mutuellement et devenir « hétérotrolls » (le terme, selon le prof. Piffard, s’écrit plus correctement « trolloscène »). (3) Par allusion biblique désigne un commentaire d’adieu d’un troll désintoxiqué ou trahi ; commentaire ou article larmoyant d’un auteur blessé par un troll.
Trollocéphale : signifiait à l’origine « fil de discussion ou site ouèbe dont il est avéré que son responsable est un troll ou un trollophile ». A cause sans doute d’une contagion regrettable et inculte avec « cynocéphale », la plus grosse espèce de babouins de la savane africaine, le terme est devenu une injure particulièrement blessante et raciste. A éviter sous peine de poursuites judiciaires lorsqu’on s’adresse à certains rédacteurs hypersensibles.
Trollocosme : site ouèbe ou fil de discussion peuplé de trolls drôles, spirituels et cultivés. Un terme avoisinant - et de connotation plutôt neutre - est celui de « trollosphère », le monde bariolé et gouailleur des trolls, en pleine expansion aux quatre coins de la fine Toile francophone et mondiale. L’adjectif « trollocosmique » est parfois utilisé pour désigner un commentaire ou un fil de discussion particulièrement trollesque ou comique : « une remarque trollocosmique qui l’a laissé sans voix et sans commentaire pendant trois jours ».
Trollocrate : personnalité mâle (rédacteur ou simple commentateur - de préférence n’ayant jamais publié d’article) qui s’impose en raison de ses dons de troll ou qui fait régner ses opinions par trolls interposés (trolls réels ou simples avatars). Toujours précédé de « sale ».
Trollocratie : péj. site ouèbe ou forum entièrement dominé par des trolls.
Trollodépendance : état d’un auteur ou d’un fil de discussion, voire d’un forum tout entier, qui ne pourrait survivre sans ses essaims de trolls butineurs. Le terme « trolladdiction » est condamné comme anglicisme par les puristes (voir N. Boileau, Revue du vrai français correct, n°419, 2006). L’adjectif « trollodépendant » est très usité aux côtés du savant « trollotributaire ».
Trollodoxe : digne d’un troll, se dit d’une opinion, d’un article ou d’un commentaire. Sous l’étiquette « Vegetal Trollodox » : nom d’un engrais pour trolls 100% naturel commercialisé par D-W et Zara Whites. L’entreprise mixte, dont la raison sociale se trouvait au 69, boulevard des Folliculaires grabataires, semble avoir fait faillite dès sa fondation.
Trollodoxie : commentaire de troll particulièrement stupide ou drôle (selon l’avis du lecteur) ; rassemblement de trolls ; fil de discussion où ce rassemblement a lieu ; par contamination avec « doxologie » : éloge de troll ou article d’éloge aux trolls (rare).
Trollodrome : péj. site ouèbe ou fil de discussion qui attire ou est infesté de trolls méchants et ennuyeux ; fil de discussion où des trolls rivalisent de drôlerie ou de méchanceté acide.
Trollogène : qui favorise l’apparition de trolls. Se disait des articles de D-W et de ses réponses.
Trollofuge : subst. : troll qui se réconcilie avec un auteur qu’il avait l’habitude d’insulter grossièrement ; troll qui après avoir agoni d’insultes un auteur tente de le flatter par bêtise, servilité conformiste ou compassion bouddhique mal placée (spécialité de Romain) ; adj. : qui lasse même les trolls les plus courageux et bavards par un excès d’obscurité, de platitude ou de fréquence d’apparition. S’applique depuis quelque temps aux articles de D-W.
Trollogramme : commentaire de troll court et particulièrement incisif, genre « va chier dans ta caisse, sale corniaud ! ». Spécialité bretonne.
Trollographe : troll prolifique en commentaires, troll répétitif et donc envahissant. Le Florentin selon la Taverne.
Trollite : lorsqu’un rédacteur se fait troller, on dit de lui qu’il souffre de « trollite », qui peut être aiguë ou chronique. Les rédacteurs qui sont à la fois bêtes ET sérieux en souffrent généralement de manière chronique.
Trollocomédie (abrégée parfois en « trollodie ») : discussion trollée qui est amusante ou se termine sur une note de gaieté. Son contraire est l’affreux et pitoyable :
Trollodrame : discussion entre trolls et un auteur qui tourne mal (procès, dénonciation auprès des modérateurs, menaces de suicide ou d’arrêt des publications, etc.)
Trollogamie : (1) action concertée de deux trolls ; complicité entre deux trolls allant parfois jusqu’au mariage de facto ; se dit particulièrement du couple contre nature Taverne-West, qui est justement appelé une union « trollogame ». La trollogamie n’est pas encore reconnue par la Loi, mais elle a ses avocats inconditionnels (Florentin Piffard). (2) On qualifie aussi de « trollogame » un commentateur/auteur médiocre ou honni qui s’envoie des compliments par un ou plusieurs avatars interposés (d’où les adjectifs recherchés de « monotrollogame », « polytrollogame ») ; se dit de cet avatar. Selon D-W, Florentin serait le trollogame de Marsupilami. D’où un sens supplémentaire de « trollogamie » : « discussion narcissique et onanique d’un auteur avec lui-même ou avec ses adulateurs, réels ou simplement trollogames ».
Trollologue : spécialiste des trolls ; on les consulte soit pour s’en débarrasser soit pour les attirer ; rédacteur qui écrit sur les trolls ; se dit parfois en guise d’insulte légère à un troll collant. Un nouveau sens est celui de « personne qui soigne un internaute qui souffre de son état de troll ou des attaques vicieuses de trolls ». Dans ce sens il tend à remplacer « trolliatre », terme tombé en désuétude.
Trollologie : (1) critique pompeuse antitroll venant d’un rédacteur harcelé. On rencontre parfois dans ce sens le terme bricolé de « diatrolle » formé sur « diatribe » : « Une vaine diatrolle qui ne fit qu’envenimer un débat déjà hargneux à souhait. » (2) Etude des trolls. L’adjectif « trollologique » est pédant : « une nouvelle encyclopédie trollologique signée Michel Piffard ». On lui préfère « trollesque » ou « trollique » voire tout simplement « troll » pour désigner tout ce qui est relatif à un troll : « un commentaire très troll ».
Trollomachie : (1) discussion sérieuse (sur l’art ou le MoDem de préférence) qui dégénère en empoignade verbale ou en échange de quolibets ; discussion haineuse entre un rédacteur trollé et ses trolls personae non gratae. Fréquentes dans les Cavernes du Finistère. Un sport sur les fils de D-W. Aspire à devenir un jour une discipline olympique à part entière. (2) Fil de discussion où le ton de la trollerie est plutôt méchant et sarcastique, voire injurieux.
Trollomane : qui raffole des trolls ; par déformation du sens originel se dit d’un auteur qui dégénère en troll (consciemment ou inconsciemment).
Trollopède : troll efféminé ou qui change de sexe ; troll pédant.
Trollopédie : (1) jeu du troll qui s’amuse à changer de sexe ; plaisanterie de troll efféminé ; (2) commentaire de troll précieux et pédant. (3) Fil de discussion où dominent les commentaires de trolls enjoués qui badinent plus qu’ils n’étrillent leur auteur.
Trollophage : (malgré l’étymologie) désigne un troll haineux et persistant ; s’emploie pour un troll qui s’attaque de préférence à un ou plusieurs auteurs qu’il parasite régulièrement. On dira de ces auteurs malchanceux (ou bénis, c’est selon) qu’ils ont des « trollôtes » ou qu’ils sont « trollophilisés ». On emploie parfois dans ce sens « fidélotroll », terme de formation lexicale douteuse : « Boileau était jusqu’à il y a peu un fidélotroll de D-W ».
Trollophager : attaquer et bouleverser par des commentaires trollesques au point que le sujet de l’article est complètement oublié à la fois des commentateurs et de l’auteur. Ce dernier, qui ne pense plus qu’à donner la réplique à ses trolls, est dans ce cas décrit comme complètement « entrollé » ; l’emploi du participe passé est particulièrement fréquent : « Aujourd’hui le fil de la Taverne a été trollophagé comme jamais. » Se faire trollophager. Subst. (tjs au masc.) : un trollophagé. Injure : « Espèce de trollophagé ! »
Trollophanie : (1) premier commentaire ou article d’un troll qui deviendra un troll fameux et apprécié. (2) Commentaire d’un troll brillant.
Trollophilie : degré de popularité auprès des trolls ; qui se mesure en trolls par minute (T/m) (grâce au trollomètre) ou par fil (T/f) (par le trolloscope), deux appareils ingénieux dus au génie inventif de Gatsy. Le record absolu est détenu par D-W sur son fil « CW Twombly baisé par Rindy Sam » (263 commentaires) : 15 T/m, soit 262 T/f.
Trollopole : fil de discussion dont le rédacteur est un troll notoire ; fil de discussion où tous les commentaires ou presque sont dus à la plume de trolls.
Trollose : maladie, dépendance douloureuse de celui qui, devenu un troll compulsif, ne peut plus redevenir un commentateur ou un rédacteur normal et validable. Les symptômes ont été décrits magistralement par J. Florentin sur Agoravox dans un article qui fait désormais autorité parmi les spécialistes. On emploie parfois « trollomanie » dans ce sens, mais cet emploi est critiqué par les puristes (voir C. Piffard de Bergerac dans Revue de Trollologie moderne, août 2007, p. 21).
Trollotaphe : (1) réponse à un troll qui lui cloue le bec, voire le fait disparaître du site ou du fil de discussion où il se faisait remarquer, ce qui se produit lorsque le troll en question révèle imprudemment son ignorance dans un domaine spécialisé ; (2) site ouèbe ou fil de discussion d’où les trolls sont éliminés ou où un troll a subi une défaite cuisante ; commentateur ou rédacteur qui excelle à clouer le bec aux trolls incultes ; son commentaire.
Trollopothéose (troll + apothéose) : triomphe complet et retentissant d’un troll ou d’une trollerie sur un fil de discussion conduisant à l’abandon permanent ou transitoire d’un auteur. Les termes contraires de « catatrollerie » ou de « détrollade », bien que dans le dictionnaire, ne sont utilisés que rarement, sans doute faute d’auteurs au talent antitroll suffisant.
Trollothèque : (1) site ou fil de discussion riche en trolls de haut niveau de langue et de culture. (2) Synonyme élégant de « trollocosme ». (3) Un sens récent et savant lui a été donné : celui de logiciel reproduisant de manière aléatoire des commentaires de troll typiques (cf. le générateur de Gatsy). A ne pas confondre avec « trollopithèque », injure simiesque rare qui ne s’entend que de la bouche des commentateurs les plus cultivés.
Trollothon (de troll + marathon) : fil de discussion rendu très long par l’accumulation de commentaires trolls ; discussion prolongée entre trolls ou entre un auteur et un troll ; long commentaire de troll, généralement pas piqué des hannetons.
128 réactions à cet article
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Article sympathique et amusant. Dommage qu’il ait perdu un peu de sa fraîcheur en raison de la redondance du sujet cette semaine sur AV.
P.S. : je vous préfère en néologiste qu’en réac’ de la langue.
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Pas d’accord avec les insinuations de l’article. Le sujet de la censure sur Agoravox n’est pas pour rire. On en arrive à un véritable contrôle de la Toile, en tant que moyen d’expression, par quelques-uns.
Tout ce baratin sur les « trolls » fait partie du répertoire de la pensée unique magouilleuse et partitocrate. La réalité est que les partis politiques et autres réseaux cherchent à contrôler les médias citoyens comme ils l’ont fait avec les syndicats, les associations...
Quelqu’un rappelait que les adhérents des partis politiques représentent un centième de la population. Et c’est dans ce genre de milieu que circule la prose sur les « trolls » dont on se sert pour intimider et pour lancer des attaques personnelles contre ceux qui émettent des opinions qui dérangent. Surtout lorsqu’ils n’acceptent pas la censure.
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Vous êtes un parfait « trolliculum », un commentatroll hypersérieux qui s’ignore et voit des cryptotrolls politisants partout.
Encore quelques trollonades du même genre et vous risquez de devenir un Torquématroll, un pesécuteur de trolls qui est lui-même un troll qui s’ignore.
Ah, les nuances des trollèmes !
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Cher auteur,
Votre article n’est pas très original. Avant les présidentielles de 2002, on faisait la chasse aux « trolls » dans un certain nombre de listes de discussion de « gauche ». Y compris, de la « gauche de la gauche ». Il y avait même un ou deux attachés parlementaires parmi les « modérateurs » qui jouaient à ce sinistre jeu. Tout ce qui n’était pas jospiniste était « troll ». Résultat : en tout cas, on a vu ce qui s’est passé en avril 2002. Quant au « retour » de Jospin...
Matière « trolls », parlons aussi de votre admirée Marina Le Pen. Force est de constater qu’elle a fait perdre une montagne de voix à son papa avec le « recentrage » du FN. Le FN était une force électorale tant qu’il promettait, on ne savait pas très bien quoi, mais en tout cas de la casse par rapport à un « système » qu’il dénonçait mais qu’il ne définissait pas. En voulant devenir plus « normal », le FN s’est démasqué et tout le monde a compris que c’est un parti des capitalistes comme les autres. Dès lors, aucun intérêt pour ceux qui en attendaient autre chose.
La « chasse aux trolls » est une expression du totalitarisme des groupes politiques et lobbistes qui cherchent à contrôler la Toile pour vendre leur camelote.
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S’il faut parler de « trolls », cherchons-les plutôt parmi les cybergorilles qui bannissent des adresses IP des forums de discussion (et alors ça peut tomber sur une adresse fixe collective avec des centaines d’usagers), parmi ces « modérateurs » qui roulent pour des politiques et assimilés, ou qui considérent les espaces de discussion comme leur propriété privée...
Et les vedettes de la politique ? Pour des « trolls », difficile de trouver mieux. Lire, par exemple, cet article sur Bayrou que la « modération » d’Agoravox avait censuré pendant la campagne électorale :
http://blog.360.yahoo.com/quicalt?p=79
François Bayrou, candidat entre deux eaux et à coloration variable
« Tous contre Bayrou », titre la une du Journal du Dimanche. Le candidat de l’UDF se présente comme une cible traquée. S’agirait-il d’un révolutionnaire ? Pour l’UMP, « Bayrou fait du Sarkozy en moins bien ». Le sénateur socialiste Jean-Marie Bockel n’est pas opposé à l’idée d’un gouvernement d’union nationale défendue par l’UDF. Mais le citoyen peut demander : l’union nationale, pour quoi faire ? François Bayrou s’en prend à une « guerre perpétuelle » entre le PS et l’UMP qui accablerait le pays. Cependant, la continuité de la politique française depuis trois décennies, au milieu de cohabitations et d’alternances, semble infirmer ces propos. Sur l’essentiel, les médias parlent peu de la politique que préconise vraiment François Bayrou et des intérêts qu’il représente. Y a-t-il vraiment une différence entre la « droite », la « gauche » et le « centre » ? Le candidat de l’UDF n’est, semble-t-il, ni de « droite », ni de « gauche », mais tout le contraire. Seulement, en quoi incarnerait-il une rupture avec la « politique unique » ?
(...)
[Note : « bayrou » est une transcription « phonétique » de l’occitan « vairon », le poisson d’après un dictionnaire occitan qui donne ce mot comme dérivé de « var » ou « vaire », à savoir : vair, mêlé de blanc et de gris ; voilé ; blafard ; qui change de couleur en mûrissant... Voir aussi le Wikipédia occitan où Bayrou s’appelle Francés Vairon :
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Sur Agoravox, les choses sont relativement simples : un « petit groupe compact » proche de deux trois partis politiques a l’air de bien contrôler la modération et de pouvoir sabrer ce que bon lui semble. Mais bien sûr, les « trolls » sont ceux que l’on censure.
Sur Wikipédia, c’est devenu plus complexe et on en apprend de bonnes pour ce qui est du noyautage des médias « citoyens ». Par exemple, dans cet article sur le site du Journal du Dimanche :
http://www.lejdd.fr/cmc/blogs/200735/la-wikibataille-est-entamee-_50001.html
Blog internaute Mardi 28 Août 2007 - 17:40
La Wikibataille est entamée !
(...)
Souvenez-vous. A l’occasion du débat qui a opposé les candidats à la présidentielle Nicolas Sarkozy et Ségolène Royal, un jeu de yo-yo avait pris place sur l’encyclopédie en ligne Wikipédia concernant la polémique sur le réacteur nucléaire de troisième ou quatrième génération. Tout au long de la soirée, le texte a été matraqué à coup de modifications et de mises à jour par des internautes désireux de favoriser l’un ou l’autre candidat. La polémique est lancée.
Déjà fortement critiqué sur la pertinence de ses informations, je rappelle que le site est uniquement alimenté par les internautes, Wikipédia se trouve une seconde fois mis à mal. Et la dérive fait froid dans le dos. Certaines définitions du site ne seraient que de propagandes et publicités mensongères mises en ligne par des manipulateurs. Et quels manipulateurs ! Monsieur X peut aller se coucher, là c’est du lourd. Je parle du Vatican, de l’ONU et de la CIA. Je parle d’entreprises, de groupes influents et de personnalités politiques...
(...)
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C’est honteux, vous avez mille fois raison, compère.
Bayrou vient de vairon ? Ah, le vairotroll est donc un troll bayrouiste.
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Mais non Marine n’a pas fait perdre des voix à son papa. C’est Sarko qui les lui a piquées, c’est tout. Et puis les électeurs n’ont pas voulu d’une répétition de la campagne précédente, sans parler du rouleau compresseur de la propagande pour le vote dit « utile ».
Ah oui, on appelle les trolls lepénistes : les boat-trolls. Allez savoir pourquoi...
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Merci Démian. Mais comment se fait-il que vous ne publiiez plus comme avant ? Vous me donnez l’air malin, moi qui ai dit que vous n’étiez découragé que pour un jour...
Vous souffres de trollospleen ?
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Un lexique avec trois mots, ce n’est pas un lexique !
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Enfin DW, inutile de nous faire croire que vous n’écrivez pas alors que vous commentez ! Auriez-vous un oeil toujours rivé sur Agoravox pendant que vous butinez ? Ne nous prenez pas pour des sots tout de même !
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Démian est l’exemple parfait de l’épicutroll, le troll épicurien, que lui-même décrit parfois aussi comme le « carpeditroll » (de « carpe diem » !).
Le professeur Piffard me rappelle que les trollogues désignent entre eux cette espèce jouisseuse de trolls par le terme savant d’« hortitroll ». « Hortus » en latin veut dire « jardin » et tout le monde sait, sauf Taverne et Philippakon sans doute, que si Platon avait une Académie, Aristote un Lycée et Zénon un Portique, Epicure, lui, enseignait dans un Jardin.
Démian est aussi un végétroll et un artroll, soit un troll végétarien et artiste. « Phytotroll » semble de moins en moins usité...
On le dit aussi « Picotroll » en raison de son savoir aussi étendu qu’étalé et toujours renaissant, et le roi des « trolle-à-tout ».
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Vous êtes et resterez l’alpha-troll, cher maître. Sans votre encyclopédie et vos glossaires, rien n’eût été possible.
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Ou dans une trollilogie.
Trollilogie : nom fém., recueil de propos de troll cultivé. Syn : trollilège, trollobible.
Quel nom donner à une anthologie d’injures et autres propos grossiers de trolls mal élevés ?
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@ Boileau 419
Tu as oublié les trollocréationnistes , qui interviennent à longueur de fil pour développer des théories biologiques démodées depuis le 24 novembre 1859 !
A noter que , selon ta nomenclature , tu es depuis un certain temps , ainsi que DW , atteint de trollopédie sur ton pictogramme adjoint à ton pseudonyme !
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Il faut se méfier de l’apparence des mots, chère petite bête à Bon Dieu.
D’après le « Glossaire de troll » de Jacques et Michel Piffard, « trollocréationniste » signifie surtout « rédacteur qui se croit persécuté par des trolls ou qui croit voir des trolls jusque dans son jardin » ; syn : trolloparanoïaque, trollonévrosé, trollalluciné, trollovisionnaire. Ah, quelle richesse dans la langue française quand il s’agit de décrire la trollosphère, j’en suis moi-même ébahi.
Le sens que vous indiquez est un anglicisme dérivé de « trollcreationist ».
Blague à part, depuis quand la vérité d’une idée se mesure-t-elle à son ancienneté, hmm ?
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végétrollie :
art d’élever des trolls végétariens rassemblement de trolls végétariens forum où les trolls végètent faute d’auteurs trollables d’où art de faire végéter les trolls situation de marasme trollique
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Salut Boileau,
Ben toa koment ke sa ce fé ke ta pu rékupééré une foto de l’Pàpy peti nenfan !
@+ P@py
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Marrant, mais il manque la fameuse Trollitude, qui se conquiert en grimpant à pied la non moins fameuse Muraille de Trollie !
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Long, j’avais décroché au bout de six définitions. C’est un article qui se regarde le nombril... Bref, en espérant qu’il n’y ait pas trop de commentaires afin d’éviter d’apporter de l’eau au moulin de l’auteur. Ce genre de pratique étant déjà une nuisance, on va pas en plus les remercier. Allez hop, poubelle, on passe à autre chose.
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Un article où chacun de nous à un moment ou à un autre se dit : Mais c’est tout moi ça !
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Salut Waterproof,
Ton article m’a donné du fil à retordre pour l’accepter. Enfin, un petit fil. Je me suis adressé à Carlo. Il y a un bug dans la soumission des articles à publier.
Celui qui ne choisit pas de rubrique, pas de modération possible. Par de bloc de choix.
Je suppose que Carlo se fera un plaisir de corriger le tir bientôt.
Ceci c’est pour la technique.
Cela m’a fait rire, sourire et surire ton lexique.
Il y a une lacune que personne n’a apparemment pas soulevé : « Boileau dans quelle catégorie se siture-t-il ? »
Est-ce par modestie ? Par volonté qu’on désigne la catégorie de celui que j’ai aimé appelé « Waterproof » ?
« Trollarchie : De lourds et noirs soupçons pèsent sur Agoravox, notamment en raison de la présence de modérateurs enfoirés belges »
>>> SVP me parler au singulier. Je n’ai pas un armada derrière moi. C’est vrai, je mange à tous les rateliers. Rédacteur-commentateur-modérateur, ça commence à bien faire.
Les lourds soupçons, Carlo pourra le dire, ce n’est pas de mon propre chef qu’ils puissent exister. Je « travaille » en stand alone. La transparence, j’adore.
Tu as mis les pieds à l’étrier en tant que rédacteur. Bravo, bienvenu au club.
Voilà, comme entrée en matière, cher compatriote.
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Phénomène passionnant, les trollèmes agoravociens évoluent en fonction des rédactrolls et commentatrolls. (Je rappelle en passant qu’un « commentatroll » est un intervenant troll qui n’a aucun article à son actif)
Ainsi, on constate que « Belgotroll » est en perte de vitesse en faveur d’« enfoiritroll », référence patente à notre bien-aimé modératroll bruxellois, dont l’absence brille rarement sur les fils de discussions trollophagés.
De même on constate que « lermatroll » a tendance à dangeureusement déborder sur sa droite le nicolasque « sarkotroll ». Certains, peut-être induits en erreur par Philippacon ou D-W, interprètent désormais « sarkotroll » comme un « troll qui s’oppose au végétarisme » à cause du grec « sarks », qui veut dire « viande » (et ne parlons pas de ceux qui y voient un synonyme de « sarcotroll », l’espèce rarissime de trolls qui trollent dans un sarcophage !).
Espérons quand même que la vogue d’enfoiritroll (ou enfoiratroll) ne fera pas disparaître l’amusant « trolleke » et l’hilarant « troll-frite », autres synonymes populaires du mal-aimé « Belgotroll ».
Notons quand même les nuances : un troll-frite désigne n’importe quel troll belge, alors qu’un trolleke (prononcer trolleukeu) est un troll bruxellois. Un fla(fla)troll est, en hommage à Brel et à sa chanson sur les Flamandes, un troll flamand qui baragouine le français.
Un peu d’espoir quand même pour ce vieux terme, puisque des enquêtes lexicologiques récentes du prof. Piffard ont révélé que « belgotroll » s’utilise de plus en plus dans le sens de « modérateur qui cherche à apaiser une longue et tenace trollomachie ».
J’y vois le signe que l’esprit de compromis qui caractérise la belgitude commence à être connu au-delà de nos frontières.
Enfin, le substantif féminin « belgatrolle », blague belge de troll, reste très vivace.
Ah, j’oubliais le terrrifique « WATERTROLL » : déroute d’un auteur trollophagé conduisant à son abdication éditoriale définitive.
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Le sens des mots et surtout des trollèmes est déroutant et défie parfois notre logique rationnelle :
qui pourrait ainsi croire que « fâchotroll » désigne non pas un troll fasciste, mais un « troll de gauche ou de pseudodroite bien pensant qui s’attaque grossièrement et haineusement aux trolls lepénistes et souverainistes » (Encyclotrolle de Piffard) ?
Le troll fasciste, c’est bien entendu un « bénitroll », de Benito Mussolini.
Apprenez à parler le troll, nabot nephilin.
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Mais oui né-vilain, tout le monde sait ou presque que votre pseudo signifie un géant extra-terrestre. Encore un mégalotroll de plus...
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Zara West la Tzigane, ayant trollé
TOUT l’été,
Se trouva fort dépourvue
Quand la grise censure fut venue.
Pas un seul petit morceau
De mouche florentine ou de ver mi-sot.
Elle alla crier « fuck, mon webzine ! »
Chez la Caverne bigoudine sa cousine,
La priant de lui prêter
Quelque fil ou adresse IP pour pertroller
Jusqu’à l’édition nouvelle.
« Je vous trollerai, lui dit-elle,
Avant l’oût, foi de troll,
De l’île de Sein à Paimpol. »
La Caverne, pour être vermine, n’est pas trolleuse ;
C’est là son moindre défaut.
« Que faisiez-vous au temps chaud ?
Dit-elle à cette hirsute pétrolleuse.
— Nuit et jour à tout venant
Je trollais, ne vous déplaise.
— Vous trolliez ? j’en suis fort aise.
Eh bien ! peignez-vous maintenant. »
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C’est un article écrit au trollotron ça, le robot qui génère automatiquement des trollages trollesques !!!
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Quel troll d’entrée en matière sur AV !
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Utilisons le mot juste : trollophanie ou introllisation.
On peut à la rigueur utiliser « trollunciamiento », mais les puristes le réservent pour la trollade tonitruante dans laquelle un rédactroll annonce son intention de trollophager un autre rédactroll qui l’a poussé à bout. S’utilise de préférence dans un contexte latino-américain (fil de discussion de l’inénarrable anti-chaviste Duquénal par exemple), mais peut s’appliquer aussi aux Bretons internationalistes comme La Taverne s’adressant à Démian.
Dans ce sens on emploie aussi parfois le terme plus court d’ultimatroll.
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alors maintenant des noms ,allez chiche des noms de trolls ?????
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L’auteur de l’article bien sûr, maître es trollage grossier, grand échansson du troll de foire à l’empoigne, facho notoire et atrabiliaire, qui devrait corriger ses épeuves au lieu d’écrire des conneries !
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le trollarche que je suis avait proposé dans une trollerie l’éléction du troll de la semaine , mais qui fera la trollacademy , sur agorendemoltéhéfin ?
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Avatar 31 août 2007 16:54A l’auteur,
J’ai signalé votre article pour « contenu commercial » aux webmasters.
Il s’agit en effet d’une infopublicité évidente pour Trollavox.
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LeChat est non seulement le trollarche attitré d’Agoravox, mais aussi un « angoratroll », càd un troll félin d’Agoravox (avec Gatsy et les autres greffiers du forum). C’est vrai qu’il faudrait plutôt l’appeler un « siatroll », mais le terme est déjà utilisé pour les trolls de Seattle et de Thaïlande.
Le terme argotique de « minoutroll » n’est pas à sa hauteur, je le crains.
Notons « chartroll », qui s’applique aussi bien aux chats qu’aux moines, et le mot « igloo », qui désigne dans le jargon troll un fil de discussion plutôt calme où viennent se reposer (et éventuellement faire leurs besoins naturels) des angoratrolls facétieux. Un « griffoir » est un fil de discussion égratigné par des matous en colère (cela arrive !). Un « ramasse-crottes » est...enfin, faut-il vraiment que j’explique tout ?
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Il ne faut pas tout lire. Juste choisir les termes qui paraissent les plus pittoresques. Je dois remercier Philippakos qui m’a donné l’idée de cet article.
Qui veut faire les préfixes ?
Mystotroll : troll qui ne trolle que par des commentaires sans commentaires (ex : prêtresse). Vient du grec « muo » qui veut dire « se taire ». Ne s’emploie qu’au féminin sur Agoravox : une mystotrolle.
Merci à notre compère l’Enfoiré pour son aide. J’ai été pris de court par cette publication soudaine. Je me serais attendu plutôt à voir mon autre article publié.
PS : Mon avatar actuel représente le regretté Pim Fortuyn.
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@Waterproof,
Non mais... Il faut savourer jusqu’à plus soif. Lire le « pit Oh » et le « resque ». C’est un bon exercice.
Ah, les préfixes... Je vais troller, je préviens. Je te conseillerais de jeter un regard sur l’esperanto. De ce côté, c’est la tasse de thé, ces machins qu’on avant, après et au milieu. On construit tout avec les pré, les post, les suf fixés. Legoland par excellence. Je fais de la pub gratuite pour Krokodillo.
Pim Fortuyn, serais-tu Hollandais et non Belge ? Pim, le hollandais le plus prisé chez les habitants d’en haut.
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Non,non, cet article est beaucoup mieux et plus complet que mon petit commentaire fatigué de fin de soirée étouffante de chaleur sur l’article de Piffard. Bravo Boileau pour ce travail, vous êtes mieux en rédacteur qu’en commentateur du tac au tac, qu’en troll quoi (à vous de trouver le préfixe et le suffixe)... Pour le premier article (celui qui n’est pas passé), alors on ne saura jamais le pourquoi de la chose ? Je demande, ici même, officiellement des explications au comité de rédaction. Ben voilà, il faut revenir, avec peut-être un thème un peu moins « private joke », histoire que ceux qui ne fréquentent pas « loisirs et culture » puissent suivre comme il se doit (mais il est sûr qu’on peut le lire sans connaitre DW et La Taverne). Je ne vous réclamerai pas de droit d’auteur, soyez-en sûr. Et merci de m’avoir cité.
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Merci.
Sachez que selon l’Encyclotrolle de Piffard vous êtes un « parthénotroll »= « troll qui prétend vivre en Grèce et s’y connaître en vierges antiques ».
A moins que vous ne préfériez « grammatrolle » : « troll plutôt ignare aidé par sa maîtresse ou sa femme qui cherche la petite bête aux rédactrolls dont la grammaire laisserait à désirer ».
La Trollopédia de Marsu et Pirouette, qui est nettement moins ironique, ferait plutôt simplement de vous un « trollos » ou mieux un « papantrollou » : « troll grec et grécisant hâbleur et très fier de son état ».
Je finis sur « phototroll » : « troll qui prétend éclairer les autres OU »troll photographe" (synonyme de graphotroll).
« Parthénotroll » peut aussi désigner le rédactroll qui s’autotrolle. Démian et moi sommes des spécialistes.
Sans rancune
Votre Marine/Pim adoré(e)
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A mon avis, le gosse illustrant le fil a réussi tous ses tests de citoyen modèle...
Le sarkozyen-type !
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@ L’auteur
Dans cette trop longue et parfois fastitieuse énumération manquent le Trolloscope et le Trollopédia. Mais justement, c’est l’objet de cet article.
T’aurais pas dû citer le nom de D.W. Ça a tué le charme et le suspense qui auraient du être insoutenables. Piffard était plus vachard en s’en tenant à la suggestion iconoclaste.
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Je comprends, mais un lexique avec seulement trois ou quatre mots, ça aurait été trop court, non ?
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Ne plus dire : « C’est trop long. »
Dire : « quel trollothon ! »
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Amusez vous, pendant ce temps, des choses très graves se préparent.
Lisez l’article sur l’Or bleu, et surtout, les derniers commentaires.
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Il faudrait savoir ce que vous voulez, Marsutroll !
D’un côté vous reprochez au rédactroll que je suis d’être long et fastidieux, et de l’autre vous vous plaignez que j’ai eu l’outrecuidance coupable d’omettre « trolloscope » et « Trollopédia », trollèmes qui ont été forgés par vous.
Sachez que je n’ai pas mentionné la « Trollopédia », que vous avez écrite avec M.Ripouette, pour ne pas déplaire au professeur Piffard, qui est l’autotroll de la non moins réputée « Encyclotrolle » ou pour être complet de « L’Encyclopédie trollologique moderne » (en huit volumes), qui a eu la gentillesse de parrainer cette trollogie.
Quant à « trolloscope », il s’y trouve. Il serait peut-être temps de vous acheter des lutrolles, non ?
Bref, vous êtes un coupeur de troll en quatre, un trollouillet comme on n’en fait plus.
lexique :
Autotroll : auteur qui est un troll ou qui trolle Rédactroll : rédacteur qui... Lutrolles : lunettes de troll Trollogie : article de troll Trollème : vocable troll Trollouillet : -sensible aux remarques des trolls -troll difficile à satisfaire
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Antitroll : commentateur sérieux qui ne trolle jamais
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Trolleybus ,troll fainéant qui préfère prendre les transports en commun au lieu de marcher à pieds Trollure ,troll prêt ( prête ) à tout pour se faire remarquer,peut adopter des propos équivoques ..... Trollocipède ,troll affichant certaines moeurs ....troll pédalant dans la semoule ...... Trollomètre ,troll qui débite des conneries démesurées au fil des articles...... Métrotroll,troll Parisien ......
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Vous oubliez le bagnotroll(cartroll !), l’aérotroll, le ferrotroll et le vélitroll...
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Boileau a fait un article sur les trolls comme Auguste le Breton a fait des polars. Rien ne vaut le vécu.
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Oh, que j’aurais aimé deviner les éleveurs de Trolls que vous citez ! Bref, troll tout de même, manque le trollicide, tueur de trolls, secte à laquelle je n’appartiens pas.
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..c’est comme chat peau, chat thon, chat d’eau, chat leur, chat vire, chat rond, chat grain, chat man, chat pitre, chat rade..bon on arrete, ça fatigue vite...trolle d’Humour qui fait rire qui ? On peu essayer avec pére peut etre que ce sera plus convaincant pere missionnaire, pere rond,...non ! tuyau de poele ?
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Troll c’est troll point n’en faut, cette circonvolution trollesque pleine de trolleries me fait perdre la tête. La trollerie de vos propos ne doit pas nous empêcher de contrôller nos trolls, car si nos trolls échappent à notre controll, alors le troll qui devait être troll, deviendra de fait bien moins troll. Gageons que l’emploi du troll sous controll puisse retrouver sa vrai vocation trollatique, et lui faire rendre tout son jus de citroll afin d’éviter une trop grande prise de con-trolls qui serait néfaste a la trollaterie de la situation. je finis la car je ne me con-troll plus la situation.
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Un métrotroll est un troll parisien ? J’en apprends décidément tous les jours ! Je croyais que le terme consacré était « Lutétroll » (de Lutèce) ??? Il est vrai que comme le disait l’autre jour l’éminent trollologue Piffard la culture classique se détrolle...
Enfin, rappelons quand même nos racines linguistiques en citant d’une part le bon vieux « Lugdutroll », le troll lyonnais d’origine celtico-latine, et d’autre part les hellénisants « Phocétrolls » marseillais, qui partagent avec les Nikatrolls niçois le don apprécié du bagou méridional.
Le « Burdigatroll » de Bordeaux peut se prévaloir de ses lointaines origines, tandis que le « Finistroll », le troll du Finistère, compense son étymologie récente par un surplus de haine parolière.
N’oublions pas qu’Agoravox est—pour combien de temps encore ?—l’un des principaux troll-havres de la trollerie des « Bordérotrolls », les trolls de Bordères, titre qui dans la droite ligne de l’esprit d’auberge fourre-trolls des Pyrénées-Atlantiques a été étendu à tous les trolls partisans de François Bayrou, le premier (et le dernier ?) des Robin des Trolls du centre plutôt à gauche.
Il est à noter que ces Bordérotrolls sont parfois désignés par leurs adversaires sarkotrolles (lermatrolles), ségotrolles et lepéno-marinotrolles par le terme méprisant de « nanotrolls », qui semble une allusion moins à leur petitesse physique et spirituelle qu’à leur nombre en savonneuse dégringolade...
Entre eux, il paraîtrait qu’ils s’appellent du nom de « francs-trolls », terme qui existait déjà dans le sens de « troll sans allégeance particulière qui parasite au hasard ». Ils l’interprètent de manière comme qui dirait créative comme le mariage inédit des concepts de liberté et de francité, sans oublier bien sûr l’allusion au prénom de leur grand alpha-troll.
Pouvez-vous confirmer, Taverne ?
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et vous avez oublié le nouveau moyen de transport du troll à Paris le trollway...
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Que penser d’un « site citoyen » qui n’ose pas dire franchement à deux de ses rédacteurs les plus en vue « déguerpissez et allez plutôt écrire sur des sites concurrents ! » ? Que dire d’un comité de rédacteurs qui permet à un scientologue raté et à un propagandiste du Front national, ligués dans une même vindicte bileuse, de tirer sans faire de quartiers sur deux rédacteurs reconnus, de régler leurs petits compte personnels ? Chacun appréciera, en toute honnêteté, la grandeur et la noblesse du procédé. Mais peut-être n’est-ce, après tout, qu’une forme inattendue (et inélégante) de remercier deux rédacteurs pour leur grand travail et leur dévouement désintéressé ?
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Trolichonnerie= remarque haineuse et sotte d’un rédactroll envieux qui se croit perpétuellement persécuté ou délaissé (c’est selon).
Un antitroll très troll.
Notons : l’exotroll est un rédactroll qui en trolle un autre. Taverne et Démian sont les principaux cas.
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Taverne « deux de ses rédacteurs les plus en vue »
« deux rédacteurs pour leur grand travail et leur dévouement désintéressé »
excusez-moi
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D’accord, Démian vous êtes l’alphatroll et Caverne est le bêtatroll. Cela vous va ?
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Dans ces circonstances, je me permettrai de ne pas répondre à la provocation de ce militant FN, viscéralement haineux envers le mouvement démocrate (voir la tirade de son commentaire ciblant nommément Bayrou) et je me dispenserai d’autant plus aisément de lui répondre que je le considère comme menu fretin. Qu’il aille dire à son maître que je le défie publiquement où il veut et quand il veut pour un débat public, et que je le mettrai au tapis en moins de deux, que je ridiculiserai son clan jusqu’à la fin des temps.
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Sur ce, je vais me coucher avec la satisfaction de constater que l’auteur a veillé tardivement, attendant sans doute fébrilement mon commentaire sous son article qui est un torchon dans l’esprit. Je vais m’endormir sereinement, avec le coeur confiant du citoyen qui, s’il ignore son but, sait qu’il a choisi la bonne direction auprès des Français qui ont rallié le Mouvement Démocrate, dont l’essor est l’espoir de ce pays qui n’en aura bientôt plus beaucoup coincé entre les partis extrêmes et le totalitarisme sarkoziste. Bonne nuit à ceux qui vont se coucher à cette heure.
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Bah, tout le monde sait que les trolls bayrouistes ne sont que des « cinématrolls » !
kinema veut dire « mouvement » en grec, hehe.
Comment s’appelle un troll citoyen ?
Un Robestroll. Il embastrolle tous les trooollls. Puis il les fait guillotroller. Un vrai dictatroll, ce mec.
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Trollimero : troll poète breton, peut être ancien druide, ayant une taverne sur la tête en forme de coquille d’oeuf dont le leitmotiv est « c’est trop injuste, moi grand fournisseur de AV, tout le monde fait rien que se moquer »
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@boileau
Vous êtes le Vergès des hôtes de ces bois, l’infatigable défenseur des causes indéfendables.
Je vous préfère nettement ainsi, en joueur de flûte de Hamelin, à user de votre talent pour attirer la vermine loin des articles « sérieux », plutôt qu’en avocat des Créationistes et autres démocracides.
Ceci dit, si une bonne trollémie ne ferait pas de mal à AV, une atrollie l’occirait à coup sûr.
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Les duettistes Pâle tocard et Paltoquet sont deux trolls insatiables qui prônent des idéologies peu recommandables. Ce sont les Boileau et Narcejac, le talent en moins. Il y a dans le nom du premier l’indice qu’il rejette le nectar au profit de l’eau plate, et dans celui du second les racines « narce » de narcissisme et « jac » de Jacques le vulgaire, le paysan du Moyen Age qui a laissé son nom dans l’Histoire à jacquerie.
C’était pour compléter le lexique de Jean-Marie Le Boilen.
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Les Trolliculum Vitae de Pétochard et de Pète-hochet sont lacunaires. Il faut savoir y décoder des parts d’ombre : scientologie pour l’un, nationalisme et intégrisme religieux pour l’autre.
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Florentin Piffard, j’accepte vos excuses. Mais il faut reconnaître aussi que cet article de Boileau a eu pour effet de prolonger la polémique que je pensais close, en jetant même volontairement de l’huile sur le feu. Et j’y ai vu des messages de connivence de Boileau à votre intention. Par ailleurs, vous n’avez guère fait preuve de promptitude pour rectifier le soupçon de scientologie à votre propos. Bref ! tout un ensemble de choses qui fait que la guerre ne s’est pas arrêtée facilement. J’ajouterai même que le comité de rédacteurs a joué de provocation en publiant trois articles à la suite sur le « trolling » et faisant allusion clairement à West et à moi. Je ne suis pas quelqu’un qui se livre à l’agression gratuite. Mais je ne suis pas quelqu’un qui s’écrase non plus.
Quant à mes articles, ils ne font pas l’unanimité mais si l’on observe froidement les statistiques, on constate que sur 145 articles, rares (2 ou3 ?) sont ceux qui sont en-dessous de 50 % d’opinions favorables. C’est donc votre subjectivité qui parle : laissez à chacun son opinion.
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« et ce n’est pas fini » ? Il y aurait d’autres articles de ce type en attente ? De Balourd419 sans doute...C’est un jeu ou bien l’équipe d’Agoravox veut qu’on fasse de l’animation !!!
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Piffard, je ne fais pas de sarcasmes sur les croyants ou les bigots mais je ne suivrai pas votre conseil d’article, car les religions m’indiffèrent. Si je puis vous donner un conseil en retour, ce serait de ne pas trop fréquenter ce voyou de Balourd419.
Mais ce n’est qu’un conseil et vous faites comme bon vous semble.
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Le trolliculum vitae !!!!!! Oh, j’adoooore.
Quelle gâterie de votre part !!!
En récompense je vous livre mon dernier bébé :
Comment s’appelle un troll de Quimper ?
Un « Quimpérotroll » ou plus simplement un « pétroll », espèce de troll hautement inflammable qui fait partie des kérosétrolls. A ne pas confondre avec les pyrotrolls, qui sont des trolls qui jettent de l’huile sur le feu...
Que pensez-vous du Trolley Canyon, troll qui mazoute les fils de discussion sur la Bretagne ?
On en sort tout gluant, beurk !
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Quand on extrait l’essence de cet article ça sent le pêt troll.
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Piffard
Vous n’avez toujours pas répondu à la question essentielle. En quoi votre prose a intéressé la scientologie.
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Je pense que si les idées de Piffard ont intéressé les scientologues c’est qu’elles rentrent dans leur idéologie. Leur technique de manipulation et de prise de pouvoir passe par des subterfuges subliminales. les nommer dans le cadre d’un article n’est pas anodin.
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Par ailleurs il propose un deal à la Taverne : je t’échange Pécuchet contre scientologue. Cet échange l’avantage autrement il ne le proposerait pas.
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Et la feinte modestie de Piffard est son obscurité.
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ouhlala ! ça sent mauvais par ici, c’est un endroit pour moi ça. j’arrive !
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Houlà ! mais ne vide pas les poubelles, il faut que je mange !
Où est-ce que je vais aller moi si tout est propre partout ? 
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Il faut traduire son PS obscur en réponse à la Taverne concernant la relation entre le catholisisme et la scientologie.
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..d’autre jeux de mot ici ?
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..C’est quoi c’t’affaire de scientotologue...une totolaugos qui s’mord la queue d’l’anneau en huit
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Ce Piffard répond toujours à côté et jamais aux bonnes questions. Qui ne dit rien consent.
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...« anneau de Moebius », cherchez vous meme ! si vous voulez,j’vais pas vous faire un cours de géométrie non euclidienne
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..A c’t’heure j’preferre troller dans les coins
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Moebius
L’anneau je connais c’est pas le problème, mais des fois j’ai du mal a vous suivre. Et quand je comprend j’apprécie. De quelle UP ?.
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En quoi votre prose a intéressé la scientologie ?
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Propos de Mr PIFFARD
« Je suis pour l’instant et à ma connaissance, l’unique représentant de cette nouvelle science (Emmanuelle Compagnon rechigne à admettre que la modernologie est une discipline d’avenir, comment lui donner tort en un sens ?). Les seules marques d’intérêt pour la modernologie qui se sont manifestées proviennent d’endroits inattendus. Ainsi, des scientologues m’ont récemment approché pour me proposer de faire une conférence sur cette toute nouvelle discipline (moyennant une avance sur frais de 5000 euros que j’aurais due débourser), mais j’ai été obligé de décliner leur offre, ma religion et l’état de mes finances me l’interdisant. »
Où est la plaisanterie lorsqu’il évoque la scientologie ?
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Piffard « Il s’agissait d’une plaisanterie »
C’est toujours dans une plaisanterie inattendue que se cache la vérité non avouée par son auteur. Il essaye de présenter son idée sous un air drôle pour la « faire passer » sans en avoir l’air et comme s’il n’y pensait pas. Mais il y pense certainement sinon, pourquoi en parle-t-il ? Internet est transparent, nous nous voyons mieux que si nous étions à coté l’un de l’autre.
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Demian, je trouve que tu as très bon goût, je veux dire, charnel.
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Heu, n’oublie pas d’enlever le nom du site web qui traine en bas parfois sur certaines de tes photos. N’oublie pas que je suis une mouche qui regarde partout et particulièrement là.
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Pas compris myspace, il y a trop de fenêtres partout. ça clignote de tous les cotés. ça pue le robot. Une mouche ne se pose pas sur les robots, rien à manger.
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Celle-là est plus ... space justement
Tu l’as trouvé à une soirée chez Prêtresse j’imagine. -
à pixel : Remarquez quand même que Piffard dit « Les seules marques d’intérêt pour la modernologie qui se sont manifestées proviennent d’endroits inattendus. » Il parle d’endroits inattendus, ce qui veut dire que, pour lui, la « modernologie » n’a pas de lien avec la scientologie. Ce sont les scientologues qui y verraient un rapport. C’est un cas courant de voir les sectes ou mouvements apparentés s’intéresser aux penseurs isolés pour tenter de les intégrer. Un penseur est toujours en quête de reconnaissance et la secte peut lui offrir cela quand tout le monde vous ignore (« Les seules marques d’intérêt » sont venues de ces gens) Dans ces conditions, je laisserai à Piffard le bénéfice du doute. N’oubliez pas Voltaire et la déclaration des droits de l’homme : tout homme est présumé innocent tant qu’il n’est pas prouvé qu’il est coupable.
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C’est de plus en plus difficile de se concentrer, à cause de certaines photos.
torrides... -
La Taverne
Piffard a écrit qu’il avait évoqué la scientologie en plaisantant ce qui n’est pas le cas et pourquoi le contenu de la « modernologie » peut s’intègrer dans l’idéologie des scientologues au point que la secte lui demande de faire une conférence à ses membres.
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ça je l’admets, Piffard a un sens de l’humour très particulier. Il ne m’a pas déridé une seule fois.
Je crois pouvoir affirmer qu’il n’aurait pas pu suivre une vocation de comique. ah ça non ! c’est pas possible... -
Piffard
Je me permet de mettre votre texte en regard de votre commentaire afin de l’illustrer.
« Je suis pour l’instant et à ma connaissance, l’unique représentant de cette nouvelle science (Emmanuelle Compagnon rechigne à admettre que la modernologie est une discipline d’avenir, comment lui donner tort en un sens ?). Les seules marques d’intérêt pour la modernologie qui se sont manifestées proviennent d’endroits inattendus. Ainsi, des scientologues m’ont récemment approché pour me proposer de faire une conférence sur cette toute nouvelle discipline (moyennant une avance sur frais de 5000 euros que j’aurais due débourser), mais j’ai été obligé de décliner leur offre, ma religion et l’état de mes finances me l’interdisant. »
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Pecuchard, heu pardon...Piffard : On veut bien concéder que vous avez fait l’école du rire. Mais n’essayez tout de même pas de nous faire avaler que vous en êtes sorti diplômé !
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Bon ! je n’envoie pas d’article pour demain. Le comité de rédacteurs a un tel embarras du choix entre Balourd419 et Florentin Pécuchard, sans parler des émules qu’ils ont suscités...
Ici Léon Zitroll : à vous Cognac Jay !
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West, vous n’exhibez plus vos pépées trolleuses ? Dommage...
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Me reposer, c’est ce que je vais faire aussi tant il y a abondance d’articles de trolls reconvertis. Les prochains seront-ils signés « IP115 » ou « DANTONcul » ? Je n’en serais guère étonné.
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« DANTONcul », suivi -cela va de soi- de Aïcha Fémal !
à ceux qui ne le sauraient pas : « DANTONcul » est un pseudo qui existe déjà. Quand on voit les gracieusetés qu’Agoravox autorise dans le choix des pseudos, on n’est pas étonné du niveau qui baisse...
A côté de ça, se faire traiter de « vermine » par un Balourd419 dans une fable détournée, ce n’est rien.
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Dans la seconde version de la fable par Balourd419, cela devient « La Caverne, pour être cabotine , n’est pas trolleuse ». « vermine » a été changé en « cabotine ». Trop tard ! On a vu l’âme de l’auteur en proie à sa haine ordinaire...
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Comment ? Pas d’artille à parasitroller ? Je m’en vais de ce pas me plaindre au Comité.
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Trollera bien qui trollera le dernier
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Ce n’est pas parce que j’ai publié un article qu’il faut en faire une maladie, Caverne. Je préfère vous voir ici que dans votre bureau de publicain breton en train de maquillonner des feuilles d’impôt, franchement.
Ah, comment appeler un rédactroll qui publie jusqu’à deux articles par jour sur Agoravox ?
Un cétacé.
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La collusion Balourd419-Pécuchard est de plus en plus manifeste ! Sinistre clique...
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Ah, vous vous prenez pour un rédacteur sérieux !
Sachez qu’il existe une rubrique humour et parodie sur Agoravox, mon ami.
De toute évidence, vous n’aimez que l’humour qui est dirigé contre vos adversaires.
Un vrai Napoléotroll.
Napoléotroll : troll qui se prend pour le centre du monde. En langage savant se dit aussi « omphalotroll ».
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Zara West la Tzigane, ayant trollé TOUT l’été,
Se trouva fort dépourvue
Quand la grise censure fut venue.
Pas un seul petit morceau
De mouche florentine ou de ver mi-sot.
Elle alla crier « fuck, mon webzine ! »
Chez la Caverne sa cousine,
La priant de lui prêter
Quelque fil ou adresse IP pour pertroller
Jusqu’à l’édition nouvelle.
« Je vous trollerai, lui dit-elle,
Avant l’oût, foi de troll,
De l’île de Sein à Paimpol. »
La Caverne, pour être vermine, n’est pas trolleuse ;
C’est là son moindre défaut.
« Que faisiez-vous au temps chaud ?
Dit-elle à cette hirsute pétrolleuse.
- Nuit et jour à tout venant
Je trollais, ne vous déplaise.
- Vous trolliez ? j’en suis fort aise.
Eh bien ! peignez-vous maintenant. »
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On notera le jeu de mot génial avec « peignez-vous », triple référence à la chevelure batailleuse et invaincue, aux talents artistitiques et, last but not least, au narcissisme aussi profond que fécon(d) de notre Picassoll androgyne.
Entendre aussi en sourdine l’exression savoureuse de « peigne-zizi », qui s’applique fort à propos à notre rédactroll, que nous espérons voir bientôt republié pour la joie de tous les commentatrolls.
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Zara West la Tzigane, ayant trollé
TOUT l’été,
Se trouva fort dépourvue
Quand du mésamour la bise fut venue.
Pas un seul petit morceau
De mouche florentine ou de ver miso.
Elle alla crier « fuck, mon webzine ! »
Chez la Caverne sa cousine,
La priant de lui prêter
Quelque fil pour pertroller
Jusqu’à l’édition nouvelle.
« Je vous trollerai, lui dit-elle,
Avant l’oût, foi de troll,
De l’île des Seins à Paimpol. »
La Caverne, pour être cabotine, n’est pas trolleuse ;
C’est là son moindre défaut.
« Que faisiez-vous au temps chaud ?
Dit-elle à cette hirsute pétrolleuse.
Nuit et jour à tout venant
Je trollais, ne vous déplaise.
Vous trolliez ? j’en suis fort aise.
Eh bien ! peignez-vous maintenant. »
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« L’île des Seins », c’est un lapsus linguae qui sied parfaitement à Démian.
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quand on parle des trolls on les voit, et alors la sur cet article c’est vraiment tres troll...
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Dominik S’Toll Khan ,ex guerrier ventru du PS ... /Troll de Phallompes, Trompes de fallope ../By Ak Troll ,Dieu des boutons sur le nez ........
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Boileau-Fraiche de La Fontaine se prend pour un fabuliste fabuleux mais il souille, le bileux, le courant de l’onde pure où l’agneau vient se désaltérer.
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Trollimero : troll poète breton, ayant une taverne sur la tête en forme de coquille d’oeuf se prend désormais pour un agneau fraîchement né.
Quant à comparer AV à une onde pure... Je ne sais pas auprès de quel volcan ce situe ce joli courant mais il sentait le souffre depuis bien longtemps.
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voilà les photos réalisées en Bretagne du troll des cavernes http://par.toutatis.free.fr/moria/page3.html
il est bien précisé qu’on le voit rarement , occupé qu’il est à rédiger des articles sur avox !
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Tout ceci est consternant, d’un niveau cours d’école.
Je crois que cette idée géniale d’une information/contradiction citoyenne va finir en eau de boudin, quelque chose comme un blog d’ado.
Quel dommage !
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Ce n’est plus le comité de rédacteurs d’Agoravox qui décide du choix des articles, c’est un comité de saboteurs qui a pris le pouvoir et décide qui doit rester, qui doit partir. Une fois en ligne, l’article est immédiatement pollué par un commentaire de Boileau. Une série de votes négatifs s’abat sur l’article sans qu’il soit lu ni évalué par ces saboteurs. Suivent des messages de trolls destinés à dire n’importe quoi pour casser le fil de discussion afin que les intervenants de bonne foi soient dissuadés de parler. Quand cela ne suffit pas, les insultes fusent afin de pourrir définitivement le forum. S’il se trouve encore quelqu’un pour dire que ce jeu est l’expression saine de la démocratie, qu’il s’explique !
Pour finir, Agoravox encourage les articles des trolls nuisibles en leur ouvrant une rubrique « règlements de comptes et injures » pour descendre les rédacteurs sérieux.
Ce n’est plus le comité de rédacteurs d’Agoravox qui décide : un comité de sabotage a pris sa place.
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Un petit plug-in utile pour contrer les trolls existe depuis quelque temps, amusez-vous bien : http://www.pcworld.be/fr/fiches/articles/internet/cave-your-trolls-un-terme-aux-trolls-de-l-internet.cfm
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