bonsoir
Si la richesse n’a pas de
limites, la misère a la sienne, qui est le fondement même de la
condition humaine, là où elle est le plus concernée par la
démographie ; là où, absolue, elle peut descendre au niveau
zéro, en-deçà duquel règne l’inexistence sociale.
Comme le disait Orion plus haut,
notamment les gains de productivité peuvent permettre à l’humanité
de vivre différemment, de bannir définitivement la pauvreté la
misère et la maladie. Or c’est justement l’inverse qui se produit,
car nous atteignons le stade final du capitalisme, celui ou il
détruit les forces productives, ( les usines etc) pour accroitre de
manière très ponctuelle la rentabilité. Et cela à un prix social
exorbitant.
Combattre la richesse favorise la
pauvreté et réciproquement, sans favoriser le partage.
Au delà des slogans des uns et des
autres, il faut peut-être regarder la vérité en face : comment
s’est constituer la richesse des grandes familles au cours de
l’histoire. Sur la base de la spoliation et de l’extorsion. Vaste
sujet de débat ….