Il me semblait, là aussi, que le Gouvernement Québecois, à cause du statut particulier de la Province, bénéficiait d’une dérogation d’Ottawa en matière de sélection des immigrants, afin justement de favoriser l’immigration francophone.
Mais comme vous le faîtes remarquer, la vrai souveraineté sur le territoire québécois est tjs entre les main d’Ottawa, qui est donc libre de favoriser une immigration non-francophone afin de ramener la brebis perdue quebécoise.
Et cela prouve aussi, que l’absence de revendications fermes du gvt québecois en la matière, prouve sa collaboration avec Ottawa.
La collusion d’intérêts entre Ottawa et Québec sur cette question est avant tout économique : le maintien du niveau de vie l’a emporté sur la défense de la langue française, c’est une certaine idée du Québec qui est morte !