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Frédéric BOYER

Frédéric BOYER

Simple citoyen
 
Passionné d'histoire.
 
 

Tableau de bord

  • Premier article le 13/04/2007
  • Modérateur depuis le 26/10/2009
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Derniers commentaires



  • Frédéric BOYER Frédéric BOYER 15 juin 2007 22:29

    Les ralliements au vainqueur sont proprement écoeurants. Si Sarkozy peut purger, c’est le mot juste, la gauche et le centre d’un bon paquet d’opportunistes, il faut l’en remercier.

    Quelques rares hommes de gauche ont soutenu, depuis bien avant l’élection présidentielle, la candidature de Nicolas Sarkozy, et c’était bien leur droit. Max Gallo en est le meilleur exemple. Son attitude était digne, car motivée par une profonde conviction. Il vient de refuser un poste au gouvernement, parce que c’est un personnage de grande classe, et qu’il est un grand historien.

    De 1420 à 1940, en passant par 1815, il sait qu’il ne fait pas bon entrer dans l’histoire de France par une certaine porte. La porte des chiottes.



  • Frédéric BOYER Frédéric BOYER 25 mai 2007 02:01

    Il y a quelque chose d’écoeurant à voir les mêmes qui s’aplatissaient devant lui se ruer à la curée.

    François Hollande était le seul socialiste qui conjuguait maîtrise du parti et carrure présidentielle. Fin tacticien, brillant orateur, sa grande modestie l’a empêché de se mettre en avant et de se porter lui-même candidat. Jouant les Mazarin, il a préféré inventer d’y propulser sa femme, comptant bien qu’elle se désisterait in fine en sa faveur. Mais la gentille marionnette médiatique a voulu échapper à son mentor, voler de ses propres ailes. Il a feint de jouer le jeu. Elle manquait de fond et il le savait. Elle n’était pas à la hauteur, il ne pouvait pas être complice d’une imposture.

    Il faut les avoir vu ensemble, elle, resplendissante dans une toilette inouïe, superbement coiffée et maquillée, très séduisante, mais bredouillant un interminable galimatias ; lui, mal coiffé, des lunettes en cul de bouteille, un costume fripé sorti d’Emmaüs, mais balançant chacune de ses phrases comme une salve sur l’adversaire, pour comprendre que nous avons assisté tout au long de la campagne au triomphe des apparences sur la vérité.

    Il connaît maintenant l’amertume d’une double défaite. Très complexe, il n’en reste pas moins un homme de convictions, et devrait inspirer, à l’heure où se dévoile le cynisme politique le plus débridé, un minimum de sympathie.



  • Frédéric BOYER Frédéric BOYER 16 mai 2007 01:19

    Très bonne tribune.

    Je vais adhérer au Mouvement Démocrate et pense qu’il constitue un évènement politique majeur.



  • Frédéric BOYER Frédéric BOYER 21 avril 2007 13:01

    Merci pour votre tribune.

    On peut reconnaître à Jean-Marie LE PEN un exceptionnel talent d’orateur, et une très vive intelligence, sans pour autant souscrire à ses idées.

    C’est mon cas.



  • Frédéric BOYER Frédéric BOYER 19 avril 2007 22:39

    Merci pour la qualité de votre tribune.

    Il n’y a pas de pire cauchemar pour la caste dirigeante que de voir bouger les lignes. Le journal « Le Monde » en général, et Jean-Marie Colombani en particulier, incarnent au plus au point le désir de l’élite politico-médiatique qu’en apparence deux camps bien délimités s’opposent, pour qu’au fond, rien ne change.

    Ce désir de rester entre-soi a pris, au fil des années, un caractère de plus en plus pathétique. Il convient d’organiser une alternance factice, qui place tantôt les uns, tantôt les autres, aux commandes. Ceux qui perdent l’élection se consolent de leur sort en pantouflant dans de confortables fonctions consultatives, et attendent leur tour.

    A la sortie de l’ENA, il a fallu qu’ils choisissent entre le Neuilly des Sarkozy et le Boulogne des Hollande : cruel dilemme.

    S’ils sont plutôt « rive gauche », genre Closerie des Lilas ou Les Deux Magots, ils s’inscrivent au PS, et militeront pour les droits inaliénables de l’homme germanopratin.

    S’ils sont plutôt « rive droite », genre Fouquet’s ou Maxim’s, ils choisissent l’UMP, et défendront la noble cause de la rentière du seizième.

    Qu’est ce que ce Bayrou du terroir vient faire ici sur son tracteur, il va tout foutre en l’air, semble nous dire l’élégant Colombani.

    Cordialement.

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