@mac
Comparer le Brésil avec la France, c’est vrai qu’il faut être un peu... quand même !
rosemar ne s’intéresse ni au Brésil ni à la santé, en fait. Elle nous prouve juste qu’elle sait compter.
Beaucoup, comme elle, découvrent :
- qu’il existe dans les hôpitaux des patients dans des états graves, tous les jours, de toute l’année, et depuis des décennies.
- qu’une partie de ces patients meurent, quoiqu’on fasse pour eux (même si on confine la population !)
- et que la grossesse est un état physiologique comportant, malgré tout, quelques risques — d’où un suivi, d’où un arrêt-travail, et d’où l’existence de maternité de niveau 3...
rosemar, c’est l’émoi de bon aloi, le frisson facile, le poncif sentimental. Elle ne se préoccupe pas des maux, mais des mots seulement.