@ Avatar
Merci de commentaire.
Vous avez raison. Bruce Riedel, analyste
auprès de la Brookings Institution, relève que les deux témoins ont remis un
rapport sérieux mais laissé de côté plusieurs points fondamentaux. La guerre interchiite à Bassorah, la
deuxième ville d’Irak, a été passée sous silence. La diminution des effectifs
des contingents alliés, passés de 15.000 en janvier à 11.000 aujourd’hui, n’a
pas été abordée. Le risque d’un nouveau conflit à Kirkouk,
dans le Nord, n’a pas non plus été évoqué. Mais surtout, ils n’ont pas fait
beaucoup d’efforts pour expliquer comment les Irakiens allaient parvenir à la
réconciliation nationale. C’était pourtant l’objectif du renfort décidé en
janvier. (Le Monde)
Je vous recommande les analyses
du Brookings Institute. Voici un lien qui vous permettra de vous faire une idée.
Pierre R.