Cela dit les modifications de protéines elles-mêmes ne résultent pas uniquement d’un phénomène d’épissage alternatif tels qu’évoqué par GFP.
Ce qu’il faut bien retenir, c’est que lorsque l’on fait une transgénèse, il n’y a aucun contrôle total possible. Le vivant n’est pas contrôlable à l’échelle génétique, il y a beaucoup trop de facteurs collatéraux en jeu, qui sont notamment éludés par les instances scientifiques promouvant ces produits, dont le commerce et la brevetisation apparaissent très rentables.