Joffrin dit : "Il la réduisait à une image naïve que, selon lui, certains se feraient, de journalistes travaillant sous la dictée de patrons, une oreillette à l’oreille, ou prenant leurs ordres par téléphone tous les matins."
Désolé Joffrin quand on a un patron qui veille au grain, il n’y a pas besoin de coup de téléphone. L’épée de Rothschild (majoritaire à Libé) suffit largement à vous faire filler droit.