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Accueil du site > Tribune Libre > Au bon vieux temps du juke-box et du flipper

Au bon vieux temps du juke-box et du flipper

Nous sommes au cœur des sixties. En un temps où, les cours terminés, l’on se retrouvait à quelques potes, plus rarement des copines, au bistrot le plus proche du lycée. Le temps des diabolo menthe sur fond de musique diffusée par le juke-box. Le temps des parties de flipper et de leur cortège d’exclamations de jubilation ou de dépit...

Le bistrot s’appelait Le Balto, Le Narval ou Le Maryland, en référence au tabac que vendait son patron quand il cumulait les fonctions de limonadier et de buraliste. Ailleurs, le troquet se nommait Le Longchamp ou Le Vincennes lorsqu’il accueillait les turfistes venus tenter leur chance aux courtines à la caisse du PMU. Sans oublier les incontournables Bar des Sports ou Café de la mairie, si présents sur le territoire national.

Durant ces années-là, notamment en ville, les plus avisés des patrons avaient doté leur établissement de deux appareils rapidement devenus incontournables aux yeux de ceux qui entendaient jouer la carte de la modernité : le juke-box – plus rarement un Scopitone – et le flipper. Une manière pour les tauliers d’atteindre un double objectif : vivre avec leur temps en répondant aux attentes des jeunes, et les inciter, 20 centimes après 20 centimes, à étoffer leur pelote. 

On écoutait alors les chanteurs et chanteuses yéyé popularisés par l’émission Salut les Copains née quelques années plus tôt sur les ondes d’Europe 1. Plusieurs des titres en vogue figuraient en bonne place sur le juke-box : Richard Anthony entendait siffler le train, Sylvie Vartan voulait être la plus belle pour aller danser et Claude François aurait voulu avoir un marteau tandis qu’Adamo demandait poliment à un monsieur d’emprunter sa fille.

De son côté, loin des élucubrations d’Antoine et des cactus de Jacques Dutronc, Pascal Danel laissait la plage aux romantiques, sourd à la poupée de cire France Gall ainsi qu’au bruit des portes du pénitencier de Johnny Halliday. Quant à Françoise Hardy, elle regardait avec envie tous les garçons et les filles de son âge, indifférente à l’adieu à Capri d’Hervé Vilard ou aux déchirants cris de Christophe pour qu’Aline revienne.

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Juke-box des années 60

On écoutait également des titres étrangers sur le juke-box : Les Rolling stones ne pouvaient obtenir satisfaction et Gigliola Cinquetti, la pauvrette, n’avait pas l’âge d’aimer. Un amour que les Beatles ne pouvaient pas acheter et que Ray Charles aurait voulu connaître, pour peu que son cœur soit libéré. Chubby Checker voulait, quant à lui, encore danser le twist tandis que Petula Clark vantait la ville, remède à la solitude.

Du côté des Beach Boys, on ressentait de bonnes vibrations. En revanche, pas de lait pour Herman’s Hermits, malheureux en amour, contrairement à Sonny and Cher qui se déclaraient une appartenance réciproque sans se soucier de Tom Jones qui demandait des nouvelles à son chaton bien-aimé. Parfois, un instrumental servait d’intermède, à l’image du romantique Petite fleur de Sydney Bechet ou du vitaminé Telstar des Tornados.

Gare au tilt !

L’alcool étant interdit aux moins de 18 ans, on buvait principalement des diabolos menthe ou des Coca-Cola. Et sur un ton animé, ponctué de moments de franche rigolade, l’on parlait de tout et de rien. Des profs, du « surgé » et des « pions », pour vilipender les « peaux de vache ». Mais aussi du cyclisme, marqué par la rivalité Anquetil-Poulidor qui opposait jusque dans nos rangs les partisans du Normand à ceux du Limousin. Autre sujet récurrent : le football, alors dominé par les « Canaris » du FC Nantes et les « Verts » de l’AS Saint-Étienne. Et bien sûr, l’on parlait – en leur absence –, des filles du « bahut  » dont les mieux « gaulées » alimentaient les fantasmes.

Parler, c’était sympa. Mais jouer, c’était autrement plus jubilatoire. Et l’on ne s’en privait pas depuis que les flippers – dont l’usage était à cette époque interdit aux moins de 16 ans – avaient peu à peu trouvé leur place dans les bistrots. On prenait alors plaisir à s’affronter dans des joutes entre copains – It’s more fun to compete ! affirmait la machine – ou à tenter de battre les meilleurs scores réalisés jusque-là par les plus adroits d’entre nous. Avec une motivation décuplée si l’on bénéficiait de l’attention des filles.

Certains n’avaient guère de dispositions pour ce jeu. Ceux-là étaient plus souvent spectateurs qu’acteurs. D’autres, en revanche, excellaient à rentabiliser au mieux les bumpers qui se renvoyaient la bille, et à tirer le meilleur parti des slingshots ou des spinners. Le sommet de l’art résidait toutefois dans la qualité des amortis réalisés avec les flippers (batteurs) afin, la bille contrôlée, de viser avec le maximum de précision les targets qui rapportaient le plus de points.

Donner un coup sec à bon escient sur l’appareil pour éviter de perdre une bille en déviant sa course faisait également partie du jeu et du plaisir que l’on y prenait. Encore fallait-il faire preuve de dextérité pour éviter le tilt fatal, le plus souvent accompagné d’un juron de dépit. Par chance, certains flippers délivraient de temps à autre une extra ball (bille supplémentaire), ce qui donnait une possibilité accrue d’atteindre le score donnant lieu au gain d’une partie gratuite. Lorsque c’était le cas, un claquement sonore en annonçait le crédit.

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Afficheur du flipper Ship- Mates

En ce mois de février 2024, mon flipper favori, le Ship-Mates – je le préférais à son contemporain, le Liberty Belle, tous deux des créations Gottlieb – fête ses 60 ans. Nombre d’entre nous, parmi les moins jeunes, ont naguère connu ce flipper emblématique d’une époque très largement révolue. Le temps passant, sont arrivés les jeux vidéo d’arcade auxquels ont succédé les jeux vidéo sur consoles dédiées. Les ordinateurs portables ont ensuite pris le relais en termes de support. Peu à peu devenus ringards aux yeux des jeunes, les flippers ont, depuis belle lurette, disparu des bistrots et des salles de jeux.

Doit-on dire pour autant, de manière définitive, Game over  ? Non, car des mordus de tous âges dans différents pays ont à cœur de restaurer ces appareils et d’en faire profiter leurs amis. Un loisir prisé par tous, des plus âgés, nostalgiques d’une époque où leurs articulations n’étaient pas douloureuses, aux adolescents quelque peu blasés de l’univers numérique de leur temps qui trouvent là une étonnante source de plaisir et de convivialité. Pas si ringarde qu’elle en a l’air.

Autres évocations :

Un bistrot de la « Bastoche » au printemps 1992 (2021)

Quels souvenirs gardons-nous de nos profs ? (2020)

Les funérailles d’un chaud lapin (2020)

Quand les souvenirs olfactifs alimentent la nostalgie de l’enfance (2020)

1957 : le cinéma et moi (2016)

1957 : jour de batteuse (2013)

Jour de vacances (2010)

1965 : un dimanche au village (2009)

Le village englouti (2009)


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153 réactions à cet article    


  • Brutus S. Lampion 16 février 09:02

    Et le baby-foot, alors ?

    Là où on se prenait des gamelles...

    C’était collectif.


    • Brutus S. Lampion 16 février 09:05

      @S. Lampion

      aujourd’hui, le café du commerce, c’est ici


    • Fergus Fergus 16 février 09:17

      Bonjour, S. Lampion

      « le baby-foot », oui. J’y ai d’ailleurs pas mal joué lorsque j’étais un jeune adulte. Mais il était nettement plus rare, eu égard à la place qu’il prenait (la surface du baby augmentée de celle que prenaient 2 ou 4 joueurs quelque peu agités).
      Sans compter les vociférations qui accompagnaient parfois les parties les plus disputées. smiley
      On le trouvait surtout dans les grands cafés ou brasseries et les salles de jeu.


    • Brutus S. Lampion 16 février 09:55

      @Fergus

      Sans compter les fantasmes sur de belles passantes éphémères


      "Mais un type est entré

      Et le charme est tombé

      Arrêtant le flipper, oh

      Ses yeux noirs ont lancé

      De l’agressivité

      Sur le pauvre juke-box, oh oh

      La fille aux yeux menthe à l’eau

      A rangé sa mégalo"


      lien


    • Brutus S. Lampion 16 février 10:05

      @S. Lampion

      ça y est
      le tdc est réveillé
      il va moinsser partout
      c’est sa façon de marquer son territoire le matin


    • cevennevive cevennevive 16 février 10:17

      @Fergus, bonjour,
      Un air de nostalgie...
      Voyez-vous, lors de la fermeture du casino d’Alès (il y a de nombreuses années) j’ai acheté un de leur baby foot à l’ancienne. Un gros meuble très lourd que j’ai logé dans l’une des pièces de ma vieille maison.
      Si vous saviez comme les petits enfants, les gendres et même les mamans, s’excitent sur ce baby foot lorsqu’ils sont là !
      En effet, ce sont des cris, des coups sourds, des rires et des gros mots parfois. Ils font autant de sports que sur la piste de football !
      Quant à « salut les copains », à la sortie de l’école j’allumais la TSF, mais en cachette de mon père qui détestait cela...
      Croyez-vous que les jeunes d’aujourd’hui, avec leurs tablettes ou smartphones
      sont plus heureux que nous l’étions ?
      Cet air de liberté, après mai 68, que j’ai bu jusqu’à la lie, et que maintenant beaucoup de mes semblables critiquent (parce qu’ils en sont jaloux, peut-être ?)


    • Fergus Fergus 16 février 10:35

      @ S. Lampion

      Eddy Mitchell et les « yeux menthe à l’eau », merci pour ce lien qui fleure bon la nostalgie. Hélas ! à cette époque j’avais déjà la trentaine bien sonnée. smiley


    • Francis, agnotologue Francis, agnotologue 16 février 10:37

      @cevennevive
       
       ’’Croyez-vous que les jeunes d’aujourd’hui, avec leurs tablettes ou smartphones
      sont plus heureux que nous l’étions ?
      ’’
      >
       Ça, il ne faudrait pas le leur dire. Au mieux ils ne nous croiraient pas.


    • Fergus Fergus 16 février 10:47

      Bonjour, cevennevive

      Un vrai baby-foot chez soi, j’imagine très bien l’ambiance avec enfants et petits-enfants. Succès assuré.
      Idem avec un billard américain. Mais cela demande beaucoup d’espace, et gare aux accroc dans le tapis.

      « Quant à « salut les copains », à la sortie de l’école j’allumais la TSF »
      Comme beaucoup d’entre nous. Par chance, mon père était au boulot et ma mère ne s’y opposait pas, à condition que mes soeurs et moi de délaissions pas nos devoirs pour autant.

      « Croyez-vous que les jeunes d’aujourd’hui, avec leurs tablettes ou smartphones
      sont plus heureux que nous l’étions ?
       »
      Plus, non, certainement pas. Moins, je n’en sais rien. Mais ils ont assurément perdu en convivialité, eu égard au temps considérable qu’ils passent, les yeux rivés sur les écrans.

      « Cet air de liberté, après mai 68 »
      Un temps difficile à imaginer pour les plus jeunes. Les conditions de vie étaient pourtant encore très austères pour beaucoup, mais le fait est que l’on s’éclatait quasiment sans entraves après qu’ait été donné ce grand coup de pied sociétal.


    • Brutus S. Lampion 16 février 10:54

      @Fergus

      « Couleur menthe à l’au » est sortie en 1980

      Eddy Mitchell avait 38 ans (il a maintenant 81 ans, le Schmoll).

      Moi, je n’en avais que 35.


    • Fergus Fergus 16 février 11:14

      @ S. Lampion

      Et moi, 33. Souvenirs...


    • Seth 16 février 12:41

      @S. Lampion

      On a tous des tdc plus ou moins rapides. Pour certains on se demande s’il font autre chose de leur journée que moinsser leur.s proie.s.

      Et tout cela sans la moindre réponse ni argument. Je trouve cela plutôt drôle. J’appelle le mien « l’haineux ». smiley


    • zygzornifle zygzornifle 16 février 12:51

      @S. Lampion

       Les curés étaient des adeptes du baby foutre ....


    • Fergus Fergus 16 février 14:03

      Bonjour, Seth

      Comme le rhino, c’est rosse ? lien.


    • Fergus Fergus 16 février 14:04

      Bonjour, zygzornifle

      Pas faux, hélas !
      Par chance, tous ne pouvaient être mis dans le même sac.


    • Seth 16 février 14:05

      @Fergus

      Tout dépend comment on le prend or je m’en fous un peu. Pourquoi, c’est toi l’haineux ? smiley


    • Fergus Fergus 16 février 14:30

      @ Seth

      Simple boutade. Et non, ce n’est pas moi, « l’haineux ». smiley


    • Seth 16 février 15:00

      @Fergus

      C’était aussi une boutade de ma part. smiley


    • roby roby 16 février 19:00

      @Fergus
      Bien analysé


    • Fergus Fergus 16 février 19:32

      Bonsoir, roby

      Merci.


    • Astrolabe Astrolabe 16 février 21:12

      Bonsoir les darons !

      Babyfoot bonzini, poignées longues et balle dure uniquement. smiley

      Pissettes autorisées en compet mais fortement déconseillé au bistrot

      Gamelle=1 point et marqué des demis=possible en compet mais règle des + ou 2 après suivant le prochain but

      roulette simple possible (360°) en compet et mal vu au rade

      Râteau toléré en compet et criminel au bar

      épicétou smiley


    • Fergus Fergus 17 février 09:20

      Bonjour, Astrolabe

      Paroles de spécialiste. 
      Pour les béotiens (dont je suis) : lien.


    • mmbbb 17 février 18:00

      @cevennevive au moins a cette époque les filles etaient avenantes et nous nous posions pas tant de questions a la Kon qu aujourd hui .

      et draguer quoique je fus timide n etait pas considere comme une agression sexuelle .

      Quant au flipper , je n aimais pas trop les bars cette ambiance de cloppes alcool et de lourdingues a petite dose .

      le baby foot pour tuer le temps le plus souvent !

      J ai en souvenir d avoir acheter Lui que je pliais dans le Monde pour paraitre l intello de service .

      Aslan avait le genie de la Pin Up . 

      Je ne suis pas nostalgique : 


    • Fergus Fergus 17 février 19:51

      Bonsoir, mmbbb

      « Je ne suis pas nostalgique »
      Même pas des superbes « filles d’Aslan » ? smiley

      « nous nous posions pas tant de questions a la Kon qu aujourd hui »
      Je ne crois pas que les jeunes d’aujourd’hui soient particulièrement inhibés.
      Les filles ayant plus de répartie défensive, seuls les plus beaufs, auteurs de propos et d’attitudes lourdingues, sont exposés à de gros râteaux.


    • Decouz 16 février 09:48

      J’allais dire, une chanson c’est peu de chose mais

      https://fr.wiktionary.org/wiki/aller_savoir_pourquoi

      parfois elle vous revient des années après et vous ne pouvez plus l’enlever de votre tête, au moins quelques paroles et la mélodie.


      • Fergus Fergus 16 février 10:50

        Bonjour, Decouz

        C’est vrai. Parfois de manière obsédante des heures durant. Mais cela n’a rien de désagréable. Bien au contraire car cela s’accompagne souvent de souvenirs de cette époque.


      • Seth 16 février 12:50

        @Decouz

        parfois elle vous revient des années après et vous ne pouvez plus l’enlever de votre tête, au moins quelques paroles et la mélodie.

        C’est ce qui arrive à Rosemar avec son Fly me to the Moon.

        Si ce n’est déjà fait, faudrait qu’elle s’arrange pour se trouver un jukeuboxe pour se donner des frissons poétiques. smiley


      • Jean-François Dedieu Jean-François Dedieu 17 février 16:43

        @Decouz

        les chansons, expressions artistiques à part entière, accompagnent nos vies et en marquent les époques rappelant parfois des épisodes durs à passer. 


      • Arthur 16 février 10:04

        Chez Laurette ...


        • Parrhesia Parrhesia 16 février 10:16

          @Arthur
          Bonjour Arthur, et merci ! On s’y croirait !
          Malheureusement plus pour longtemps !


        • Fergus Fergus 16 février 10:51

          Bonjour, Arthur

          Eh oui, « c’était bien, c’était chouette ».


        • Seth 16 février 12:53

          @Arthur

          Je me rappelle avoir passé quasi en boucle Sag Warun de Camillo dans un bar alors que aussi bien les juke box que la chanson n’étaient plus de mode et que j’étais tout jeune... smiley


        • Parrhesia Parrhesia 16 février 10:13

          Bonjour Fergus,

          Il restera à expliquer comment nous avons pu laisser tout cela disparaître en même temps que notre indépendance nationale, nos lits d’hôpitaux et notre Liberté d’Expression au profit d’Ursula von der Leyen, de Joe Biden, de « l’E.N.A. et de Sciences-Po. New-Look », de « nique ta mère » et de « En Marche Arrière Toute » !


          • Brutus S. Lampion 16 février 10:20

            @Parrhesia

            « comment nous avons pu laisser tout cela disparaître en même temps que notre indépendance nationale, »

            la réponse est dans la question

            juke-box et flipper étaient les signes majeurs de la colonisation culturelle américaine dans laquelle la plupart des gens se sont engoufrés
            nous avons « laissé tout cela disparaitre » quand nos maitres yankees nous ont entrainés dans le passage de l’électronique au numérique et, en gros, du juke-bax au smartphone
            nous n’avons pas tellemenbt de marges de manoeuvre dans le choix de nos jouets : c’est le père Noël (alias oncle Sam) qui décide


          • Fergus Fergus 16 février 11:02

            Bonjour, Parrhesia

            Les loisirs ne me semblent pas à mettre sur le même plan que l’économie et la géopolitique.
            Les premiers sont directement liés aux effets de mode conjugués aux avancées technologiques. Ce phénomène a toujours peu ou prou existé. En nettement plus accéléré depuis la seconde moitié du 20e siècle.
            Les seconds aux évolutions de la société entraînée dans la voie de la mondialisation par la pression des grands lobbies industriels et financiers, sous la houlette des Etasuniens. Sur ce plan, je partage le point de vue de S. Lampion.


          • Aristide Aristide 16 février 11:50

            @Fergus

            Les loisirs ne me semblent pas à mettre sur le même plan que l’économie et la géopolitique.

            Il me parait que tout est lié, après, on peut contester l’angle de vue sur ces sujets.

            Lampion insiste sur la seule origine de tout cela, point de vue qui limite la réflexion au caractère « invasif » de toutes ces « avancées ». Il me semble que l’on peut essayer d’aller au-delà et se poser la question de la nature même de ces « avancées ».

            Un exemple, internet et IP est une invention militaire américaine. Est-ce qu’il s’agit d’un méfait, d’une mondialisation qui n’est autre qu’une nouvelle forme de colonisation. Ou peut-on penser que c’est un outil indispensable pour libérer les communications de toutes natures.


          • Parrhesia Parrhesia 16 février 11:50

            @S. Lampion
             Ainsi que dans les restes de la France, la situation internationale se durcit dangereusement.
            Il est donc opportun de faire observer que nombre de ceux qui nous ont amenés les juke-box et les flippers reposent toujours dans d’émouvant cimetières en Normandie, ceci quel que soit le jugement que l’on puisse porter sur les différents pouvoirs anglo-saxons et « financiers » qui ont été à l’origine de cette situation.
            En outre, je continue à prétendre que l’anti américanisme primaire et viscéral et à peu près aussi fondé et respectable que la russophobie primaire et viscérale actuellement de rigueur. 
            D’autre part, Il est indécent qu’un peuple comme le nôtre, qui s’est montré assez ridicule pour virer Charles de Gaulle et le Gaullisme au profit de la clique maintenant au pouvoir, se permettent de condamner toute autre nation, quelle qu’elle soit !
            Enfin, ce n’est pas l’oncle Sam qui décide ! Ce sont maintenant les patrons de l’oncle Sam, c’est à dire le N.O.M., c’est-à-dire, en définitive, les mêmes patrons que nous !!! 
            Les péripéties de la prochaine élection aux États-Unis, à l’instar des pressions officielle sur la liberté d’expression en France en témoignent !


          • Parrhesia Parrhesia 16 février 11:54

            @Aristide
            Merci pour cette intervention qui nous apporte un peu de la neutralité et de l’objectivité en voie de disparition.
            Bonne soirée à vous.


          • Brutus S. Lampion 16 février 12:00

            @Parrhesia

            « Enfin, ce n’est pas l’oncle Sam qui décide ! Ce sont maintenant les patrons de l’oncle Sam, c’est à dire le N.O.M., c’est-à-dire, en définitive, les mêmes patrons que nous !!! »
            je partage ce point de vue, mais pour l’instants, les bases militaires disséminées sur tout le globe pour assurer l’« ordre » en question sont celles de l’armée américains
            le N.O.M. n’a pas encore d’armées, mais c’est vrai qu’il contrôle t utilise celle de l’état le plus puissant qu’il finance.


          • Parrhesia Parrhesia 16 février 12:00

            @Fergus
            N’oublions que si nous n’avions pas écouté le chant des sirènes d’alerte, nous devrions vivre aujourd’hui dans la Civilisations des Loisirs prévue par les futuristes du siècle dernier.
            Il s’agit d’un tout indissociable.
            Mais, bonne journée...


          • bouffon(s) du roi bouffon(s) du roi 16 février 12:01

            @S. Lampion

            et qui sont les maitres des « maitres yankees » ? ^^


          • Parrhesia Parrhesia 16 février 12:15

            @S. Lampion
            Le N.O.M. n’a pas d’armée, certes, mais il contrôle Biden !
            De la même façon qu’il contrôle Macron, qui est chef des armées des restes de la France !
            Ce qui revient donc très exactement au même.
            A ce sujet, et si l’information n’est pas démentie, Macron devrait recevoir aujourd’hui Zelenski afin de signer un « accord de sécurité » avec l’Ukraine !
            Est-ce que l’on réalise bien jusqu’ou cette dinguerie peut nous emmener ?

            Exercice de second degré à l’intention des anti-gaullistes :
            "Heureusement que certains ont saqué la politique de neutralité

            gaulliste, sinon, aujourd’hui, nous pourrions bien être dans la M...  !"


          • Fergus Fergus 16 février 14:06

            @ Aristide

            « Est-ce qu’il s’agit d’un méfait, d’une mondialisation qui n’est autre qu’une nouvelle forme de colonisation. Ou peut-on penser que c’est un outil indispensable pour libérer les communications de toutes natures »

            Les deux, à mon avis.


          • Christophe 16 février 16:29

            @S. Lampion

            juke-box et flipper étaient les signes majeurs de la colonisation culturelle américaine dans laquelle la plupart des gens se sont engoufrés

            Même si je conçois y avoir passé un peu de mon temps sur les flippers (ça me rappelle les paroles de Téléphone ... on joue sa vie comme on joue au flipper, ...), la plupart des cafés où j’allais jeune adulte c’était principalement pour y jouer au billard ... du billard français. J’avais la chance de vivre à Paris parce que j’ai vite remarqué une fois parti de cette ville que mis à part les académies de billard, le billard français était très peu usité en province.

            Au delà du billard lui-même, c’était les rencontres que j’y faisais, des rencontres intergénérationnelles que j’ai toujours trouvé très intéressantes.

          • bouffon(s) du roi bouffon(s) du roi 16 février 10:43

            Musée - salle de jeux - flipper - bornes d’arcade à Moscou ^^ > http://www.gopinball.ru/


            • Fergus Fergus 16 février 11:05

              Bonjour, bouffon(s) du roi

              Où se trouve ce musée du flipper ? A Moscou, j’imagine...


            • bouffon(s) du roi bouffon(s) du roi 16 février 11:20

              @Fergus

              Salut Fergus, oui tout en bas de la page, il ya la carte avec l’adresse ^^


            • Fergus Fergus 16 février 11:23

              @ bouffon(s) du roi

              Merci, c’est bon à savoir si je décide un jour d’aller faire un tour à Moscou. smiley


            • Opposition contrôlée Opposition contrôlée 16 février 13:19

              @Fergus
              Pour en trouver près de chez vous https://findapinball.com/fr/


            • Fergus Fergus 16 février 14:09

              @ Opposition contrôlée

              Merci pour ce lien. Je ne connaissais pas ce site.


            • Aristide Aristide 16 février 11:02

              Pour moi, c’était le Bar le Milan, un troquet du centre commercial qui venait de se créer dans une banlieue populaire de Toulouse. 

              Je retrouve bien notre adolescence avec le flipper, le jukebox et le babyfoot agrémentés de diabolo menthe, de Rolling Stones, de Salut les Copains et de lendemain de « Âge tendre et tête de bois »…

              Le patron du troquet était un Aveyronnais qui avait quitté sa campagne pour une vie en ville comme disait Jean Ferrat. Son sens des affaires l’avait poussé à organiser son bar. Même si nous étions assez dociles, notre musique de sauvage, le bruit des balles de babyfoot ou les « clacs » des flippers pouvaient déplaire à d’autres clients. 

              Berlin lui avait donné une idée, il s’agissait d’isoler cette jeunesse. La salle du fond, peu lumineuse, nous était réservée. Sans qu’il ait eu besoin de construire un mur ni nous demander de s’exiler. La seule présence des sources de désagrément qu’etaient ces machines infernales nous aimantait à ce réduit pour la jeunesse.

              Certains, dont je fus, se posaient la question de savoir ce qui se passait de l’autre côté de cette frontière virtuelle. Quelle fut ma surprise de constater que notre patron aveyronnais avait organisé la même chose pour une autre clientèle. Les « vieux ». 

              Il avait installé les lieux près du comptoir, il fallait bien limiter les déplacements pour l’approvisionnement de cette clientèle férue d’autres breuvages plus rentables que le diabolo. La télévision qui passerait en couleurs en 1967 avait une place de choix, visible de tous les recoins. Le défi était de faire une place de roi aux « manilleurs » et « beloteurs » qui restaient des heures entières et contribuaient assez grassement au chiffre d’affaires. Pour les satisfaire, il avait installé des petites tables carrées qui servaient d’arène à des débats qui n’étaient pas toujours ludiques. 

              J’ai un souvenir particulier de tous ces démêlés politiques. Par un hasard, enfin je crois, deux joueurs partageaient la même tablée, pas dans la même équipe. L’un défendait bec et ongles le Général De Gaulle, l’autre était un espagnol chassé de son pays par Franco qui ne cessait de menacer de quitter la table si cela continuait.

              C’était épique, c’est peut-être à cette occasion que j’ai pris le gout de l’opposition franche, de la castagne comme on dit à Toulouse… 


              • Fergus Fergus 16 février 11:13

                Bonjour, Aristide

                Merci pour ce témoignage dans lequel je retrouve bien l’ambiance de cette époque.

                Les « bougnats », comme cet Aveyronnais, ont été  à Paris notamment, mais également dans des métropoles régionales  à la pointe des transformations que vous décrivez fidèlement. Souvent, c’était en effet une arrière-salle qui était dédiée aux jeunes, et c’était très bien ainsi.

                Sur les différends politiques, le fait est qu’il opposaient les « vieux » venus « taper le carton » comme on disait alors ou les actifs venus « s’en jeter un » au comptoir. Car du côté des jeunes, on s’en fichait pas mal, reconnaissons-le.


              • Aristide Aristide 16 février 11:34

                @Fergus

                Pour les différends qui se terminaient en baston (en paroles) , je suis certain qu’il s’agissait d’une sorte de gymnastique intellectuelle. Ils se connaissaient tous, et ils savaient que cela ne pouvait qu’arriver.

                Du gaulliste au communiste, oui, il y en avait encore à l’époque, ils étaient tous unis dans le même désir d’en découdre. Toutes les armes étaient autorisées. De la mauvaise foi au refus des évidences, rien ne manquait pour s’opposer à son adversaire préféré... 

                J’étais assez admiratif d’un militant communiste, opposé à son adversaire de choix qu’était le gaulliste de base. Il arrivait à faire passer Staline pour un humaniste, et décrivez les USA comme le repère de nos pires ennemis. Une dialectique implacable. J’ai assez vite compris qu’il en jouait, quand il se retournait vers moi avec un petit clin d’œil complice voulant dire « Il est un peu tendre le gaulliste !!! ». Ce qui était vrai d’ailleurs ... 

                C’était pour moi une sorte de récréation où les adultes qui jouent et les jeunes regardent et jugent.


              • Parrhesia Parrhesia 16 février 12:58

                Aristide
                Salut Aristide, et merci !
                A travers votre post je retrouve, dans un « Point Central » que je retrouverais bien avec plaisir, les amis d’un vieux collège de respectables pierres anciennes maintenant abattues

                 !
                Et j’y retrouve les mêmes discussions...
                Bien cordialement !


              • Fergus Fergus 16 février 14:12

                @ Aristide

                Amusante évocation de ces joutes politiques quelque peu surjouées entre relations de bistrot. J’y reconnais des situations vécues.


              • Aristide Aristide 16 février 15:05

                @Fergus

                Ce que je constatais et qui a complètement disparu, enfin je crois, c’est la distance politique que toutes ces personnes souvent modestes et sans grande formation, et même très engagées, la distance qu’ils mettaient entre leurs discours et leur réalité.

                Ils savaient que les discours étaient pris pour ce qu’ils étaient ... Et ils savaient que leur réalité n’en dépendrait jamais…


              • Fergus Fergus 16 février 18:42

                @ Aristide

                Il arrive qu’il y ait encore de telles discussions dans les cafés, mais c’est effectivement devenu rare.


              • gruni gruni 16 février 11:22

                Bonjour Fergus

                ♫ Souvenirs souvenirs

                Je vous retrouve en mon coeur

                Et vous faites refleurir 

                Tous mes rêves de bonheur ♫

                (Johnny 1960)

                Le juke-box, c’est un peu la machine à remonter le temps, un temps révolu mais qui restera gravé dans les mémoires des yéyés, les vieux d’aujourd’hui. 


                • Fergus Fergus 16 février 11:25

                  Bonjour, gruni

                  Et pour une fois, un sujet qui ne divise pas, ce qui est bon à prendre dans le climat morose qui prévaut actuellement.
                  Merci pour ta visite.


                • Aristide Aristide 16 février 11:36

                  @Fergus

                  Et pour une fois, un sujet qui ne divise pas, 

                  C’est vous qui le dites, comme à cette époque deux clans, continuent d’exister, « Rolling Stones » ou « Beatles »…


                • Brutus S. Lampion 16 février 11:54

                  @Aristide

                  bon, peut-être, mais c’était un peu comme les inconditionnels de Canon ou de Nikon : les deux clans sont en fait dans les mêmes salons et les mêmes revues, comme les groupes Yéyé passaient dans les mêmes salles


                • Aristide Aristide 16 février 12:14

                  @S. Lampion

                  Un second degré qui vous échappe ? J’aurais pu opposer « slip » ou « caleçon », « cravate » ou « nœud papillon », ....


                • bouffon(s) du roi bouffon(s) du roi 16 février 12:21

                  @Aristide

                  Entre les 2, juste un coup de com. qui devait toucher différents publics ^^

                  D’ailleurs ces groupes étaient une fabrication des renseignements anglais via l’institut Tavistock, et n’ont été que les 2 faces de la même opération. On peut rappeler que le premier disque à succès des Stones a en fait été écrit par les Beatles, et c’est George Harrison, membre des Beatles, qui a mis en place les arrangements pour leur premier contrat d’enregistrement.

                  Comme quoi smiley


                • Brutus S. Lampion 16 février 12:23

                  @Aristide

                  « pile » ou « face », les deux côtés d’une même pièce...


                • bouffon(s) du roi bouffon(s) du roi 16 février 12:29

                  @S. Lampion

                  C’est plutôt marrant pour les Stones et les Beatles, le 1ers étant des « fils de bonnes familles » que l’ont à fait passer pour « mal élevés », sales, drogués, etc. ; alors que les Beatles étaient des petites frappes sortis de la rue pour les faire passer pour des garçons bien propres, bien coiffés (enfin c’est relatif hein ^^), le « gendre idéal » en sommes ^^


                • Aristide Aristide 16 février 13:20

                  @bouffon(s) du roi

                  Bon, j’ai eu faux avec cette opposition contrôlée ... Mais alors, Johnny et Antoine, c’était aussi du flan ? 


                • bouffon(s) du roi bouffon(s) du roi 16 février 13:34

                  @Aristide

                   smiley
                  j’ai pas recherché ^^, mais d’une manière générale, cela participe au contrôle social et il s’avère que l’on étudie les relations entre les expérimentations artistiques et les techniques de conditionnement psychologique


                • Fergus Fergus 16 février 14:20

                  @ Aristide

                  « C’est vous qui le dites, comme à cette époque deux clans, continuent d’exister, « Rolling Stones » ou « Beatles » »

                  Personnellement, je n’ai jamais opposé les uns aux autres, leur registre et leur inspiration n’étant pas les mêmes.

                  Je dois quand même reconnaître que dans ma base de données de titres enregistrés sur des compilations de mon cru (au total 4156) figurent 54 titres des Beatles contre 24 des Rolling Stones. Mais également 26 des Kinks que je regrette de n’avoir pas cités.


                • cevennevive cevennevive 16 février 14:47

                  @Fergus

                   Ah, moi, ce sont les Creedence cleairwater revival, que j’écoute souvent encore.
                  Le rock aujourd’hui ce n’est plus ce que c’était. Les groupes « brament » une médiocrité pénible.
                  Mais je suis une vieille soixante-huitarde...


                • Fergus Fergus 16 février 14:56

                  cevennevive

                  Ah ! Creedence Clearwater Revival, quelle énergie et quelle maîtrise, tant instrumentale que vocale.
                  Un grand nom du rock américain que je mets sur un pied d’égalité avec mon autre groupe américain préféré des sixties et des seventies, Canned Heat.
                  Je place même ces deux-là au-dessus des Doors, c’est dire à quel point ils figurent en bonne place dans mon panthéon ! smiley


                • Gollum Gollum 16 février 15:13

                  @Fergus

                  Ben... Et Pink Floyd ? Led Zeppelin ? Chicago ? les Who ? Deep purple ? 

                  Y a plus rien aujourd’hui... Quelle époque on a eu droit nous les vieux maintenant !

                   smiley


                • pemile pemile 16 février 16:02

                  @Gollum « Deep purple ? »

                  J’ai rendez-vous vendredi 26/7 avec Shaka Ponk et dimanche 28/7 avec Deep Purple à l’Ecaussysteme de Gignac.


                • Fergus Fergus 16 février 16:24

                  Bonjour, Gollum

                  OK pour Led Zeppelin et Deep Purple, des valeurs sûres à mes oreilles.
                  Mais en ce qui me concerne, je n’ai jamais accroché  je sais, cela relève de l’hérésie smiley  à Pink Floyd, The Who ou Chicago.
                  En revanche, j’ai été un fan des Flamin’ Groovies.


                • Fergus Fergus 16 février 16:29

                  Et aussi Lynyrd Skynyrd et Mott The Hoople...


                • Christophe 16 février 16:35

                  @Aristide

                  C’est vous qui le dites, comme à cette époque deux clans, continuent d’exister, « Rolling Stones » ou « Beatles »…


                  Ni l’un, ni l’autre ... plutôt Led Zeppelin, Stevie Ray Vaughan, Pink Floyd ... de la musique quoi smiley

                  J’ai toujours trouvé les musiques des deux groupes que tu cites comme des précurseurs non pas de la musique mais du commerce de la musique ; pour moi il y a une sacrée nuance.


                • Gollum Gollum 16 février 16:52

                  @Fergus

                  L’égout et l’éboueur comme disait l’autre... smiley smiley

                  Pink Floyd est nettement mon préféré...

                  Chicago, des solos de guitare superbes..

                  Flamin’ Groovies connais pas.. Je ferai des recherches.. smiley


                • Gollum Gollum 16 février 16:56

                  @pemile

                  Super ! Je préfère les versions studio que les versions live en général, mieux peaufinées dans l’ensemble.. Une exception pour un live des Who et un autre des Pink Floyd mais les Stones par exemple c’est souvent catastrophique en concert..

                  M’enfin là encore c’est subjectif.


                • pemile pemile 16 février 17:30

                  @Gollum « Je préfère les versions studio que les versions live en général »

                  Essaye alors Shaka Ponk en live ?


                • Christophe 16 février 18:26

                  @Gollum

                  les Stones par exemple c’est souvent catastrophique en concert

                  Je confirme. J’étais allé voir un concert des rolling stones dans les années 80 et c’était d’une platitude ennuyeuse. Par contre la première partie de Nine Below Zero était super.

                • Christophe 16 février 18:31

                  @Gollum

                  Super ! Je préfère les versions studio que les versions live en général, mieux peaufinées dans l’ensemble.

                  Pour Deep Purple, je pense pourtant que leur meilleur album est un album live Made in Japan. Avec un Lazy d’anthologie ;)

                • Christophe 16 février 18:50

                  @Fergus

                  Et aussi Lynyrd Skynyrd

                  Très bon groupe texan, mes préférés c’est simple man, T for Texas, That smell.



                • Gollum Gollum 16 février 18:58

                  @Christophe

                  Y a le live at leeds des Who aussi un vrai régal, bien meilleur que la version studio, ils se donnent à fond...

                  Je regarderai pour Deep Purple.


                • Gollum Gollum 16 février 18:59

                  @pemile

                  Ok je chercherai.


                • Fergus Fergus 16 février 19:31

                  @ Christophe

                  Oui, et Call Me The Breeze, Four Walls Of Raiford, Saturday Night Special, Crossroads, Berneice, et d’autres encore...


                • pemile pemile 16 février 21:25

                  @Gollum

                  Pas mal de morceaux live de 8 à 10 minutes


                • Aita Pea Pea Aita Pea Pea 16 février 21:49

                  @pemile
                  T’en foutrai ...Un bon Ramones dure 2mn30 maxi ...


                • pemile pemile 16 février 21:56

                  @Aita Pea Pea « T’en foutrai ...Un bon Ramones dure 2mn30 maxi »

                  Et un Pink Floyd monte à 23 minutes !


                • Aita Pea Pea Aita Pea Pea 16 février 22:05

                  @pemile
                  Mon préféré « Wish you were here  »...putain d’album... Une claque .


                • Astrolabe Astrolabe 16 février 22:09

                  @Aita Pea Pea
                   
                  Parfois la voix d’un chien me donne le blues


                • pemile pemile 16 février 22:10

                  @Aita Pea Pea

                  Un ptit Child in time de 10 minutes tu t’endors avant la fin ?


                • Astrolabe Astrolabe 16 février 22:15

                  @pemile
                   
                  Si atom heart mother faisait bien 23 ’ et prenait toute une face du 33 tour, Shine on your crazy diamond est cependant le plus long morceau enregistré avec 3 minutes de plus ;)


                • Astrolabe Astrolabe 16 février 22:16

                  (pour les floyd)


                • Astrolabe Astrolabe 16 février 22:18

                  puis decoupé ensuite


                • Aita Pea Pea Aita Pea Pea 16 février 22:26

                  @Astrolabe
                  génial ...


                • Astrolabe Astrolabe 16 février 22:31

                  @Aita Pea Pea
                   
                  J’kiffe pas trop les reprises mais cet instrumental de knockin’on the heaven’s door
                  vaut le détour


                • Aita Pea Pea Aita Pea Pea 16 février 22:33

                  @pemile
                  J’ai décroché du Purple il y longtemps , mais mon tonton me le rappelle lorsque je vais chez lui en me foutant le « Live in Japan » ... Rhaaa


                • Astrolabe Astrolabe 16 février 22:35

                  à comparer avec l’original de 1973 de bob dylan en b.o du western pat garett & billy the kid
                  faut rendre à césar...


                • pemile pemile 16 février 22:41

                  @Aita Pea Pea

                  Toi qui aime les grateux, t’arrives à comprendre ce que fait ce Marcin que j’ai découvert la semaine dernière grâce à AVox bleu ?

                  Bach’s Toccata https://www.youtube.com/watch?v=nUtTfjq7CyU

                  Kashmir Led Zep https://www.youtube.com/watch?v=fA3jFMDBiu4


                • Aita Pea Pea Aita Pea Pea 16 février 22:47

                  @Astrolabe
                  Il fut un temps où je jouais à la gratte seule comme ici « Brothers in arms » de Dire Straits . La guitare est un petit orchestre , comme disait Berlioz qui composait en partie dessus.


                • Astrolabe Astrolabe 16 février 22:51

                  @pemile
                   
                  Nan mais là c’est du viol d’instrument dans un style metal acoustic classique frimeur.
                  Dans le mme style andy mcknee


                • Astrolabe Astrolabe 16 février 22:51

                  mais sans la frime et tranquille smiley


                • pemile pemile 16 février 22:56

                  @Astrolabe « frimeur. »

                  l’a l’excuse de la jeunesse, mais sa version de Kashmir est bien déjantée !


                • Fergus Fergus 16 février 22:58

                  @ pemile

                  Child In Time, un morceau d’anthologie.


                • Astrolabe Astrolabe 16 février 23:00

                  @pemile
                   
                  Oui mais pour moi c’est un jeune tommy emmanuel : maitrise totale de toute les possibilités de l’instrument en tant que percussion, corde etc...
                  C’est tres fort mais ca manque d’ame perso


                • Aita Pea Pea Aita Pea Pea 16 février 23:04

                  @pemile
                  Étonnant... Impression que l’électro -acoustique a des micros partout , y compris dans le manche. Sinon grande maitrise main droite classique et flamenco , et « tapping » main gauche... Après mystères..


                • pemile pemile 16 février 23:07

                  @Astrolabe « mais ca manque d’ame perso »

                  Oui, un peu tête à claque, mais il est né en 2000, faut laisser mûrir ?


                • Aita Pea Pea Aita Pea Pea 16 février 23:31

                  @pemile
                  BB King joue une seule note , et je le reconnais...


                • pemile pemile 17 février 10:20

                  @Aita Pea Pea

                  T’inquiètes, aux virtuoses de la technique je préférerai toujours les mélodies les plus simples, à écouter sous un ciel étoilé du désert !

                  https://www.youtube.com/watch?v=KPE4X1u_wfg


                • @pemile
                  Pour toi ce n’est pas que les mélodies qui doivent etrent simples
                  Quoique pour la connerie t’es un virtuose dans ton genre  smiley smiley


                • SilentArrow 19 février 02:20

                  @cevennevive

                  CCR, Yes !
                  Le premier LP que je suis arrivé à me payer.


                • cevennevive cevennevive 19 février 08:18

                  @SilentArrow, bonjour,

                  Oui, je l’ai. Et c’est l’un de mes préférés !


                • pasglop 16 février 12:26

                  Bon, les jeunes, un petit coup de Taylor Swift, histoire de ne pas trop céder à la nostalgie ? smiley


                  • Parrhesia Parrhesia 16 février 13:13

                    @pasglop
                    Allez ! J’en connais qui remonteraient bien jusqu’à « Guitare Boogie ! »
                    Mais là, vraiment, ça ne nous rajeunit pas !


                  • Fergus Fergus 16 février 14:21

                    Bonjour, pasglop

                    Bof ! pas tenté.


                  • Fergus Fergus 16 février 14:25

                    @ Parrhesia

                    Guitar Boogie, mais aussi, quelques années plus tôt, Apache. J’écoutais celui-ci en boucle. smiley


                  • zygzornifle zygzornifle 16 février 12:49

                    Fanny paye un pot .....


                    • Fergus Fergus 16 février 14:26

                      @ zygzornifle

                      Eh oui, c’est la règle.


                    • ETTORE ETTORE 16 février 13:42

                      Ouahaaa ! Fergus.....

                      Bravissimo !!!!!

                      Vous avez envoyé balader, cannes, béquilles, youpala, prothèses et dentiers,....

                      Comme ça, juste par des souvenirs...

                      Comment se fait il, que nous ayons si bien en mémoire, la recette du bonheur, et que personne, personne, dans cette « NEX GENERATION » n’est capable, ne serais ce, QUE d’imaginer un monde où l’insouciance, serait la règle pour tous ?

                      Plutôt que de l’enlaidir par des souvenirs, qui ne seront jamais évoqués, simplement parce que les récipiendaires, à courte vie, n’auront plus le temps de les partager.

                      Voyez Fergus, on peut constater la survivance joyeuse de ces expériences, en nous.

                      Mais maintenant, nous enregistrons tout, nous surveillons tout, nous analysons tout, et tout cela à des fins de servilité, qui ne dit pas son nom.

                      Et bientôt, qui sait, même ces souvenirs, seront considérés « décadents »

                      « anti productifs » « pas dans la norme existentielle du pays »

                      On vote, Fergus, on vote pour tout et n’importe quoi, pour réduire les libertés...

                      Et les souvenirs, n’en deviennent, de fait...que plus .Douloureux !


                      • Fergus Fergus 16 février 14:28

                        Bonjour, ETTORE

                        Eh oui, très largement d’accord avec vous.
                        Et cela ne me réjouis pas. Non pour moi ou mes « classards », comme on disait naguère, mais pour les jeunes, confrontés à une société décidément bien morose, hélas !


                      • jymb 16 février 15:51

                        SI l’on souhaite avoir toutes les tables chez soi : la version numérique 

                        Les vidéos sont bluffantes de réalisme 

                        https://ma-borne-arcade.fr/accueil/pincab/


                        • Fergus Fergus 16 février 16:26

                          Bonjour, jymb

                          Merci pour ce lien. Je ne connaissais pas.


                        • Pie 3,14 16 février 19:21

                          Jolie évocation d’une jeunesse des années 60 où le bar était un lieu important de la sociabilité masculine dès l’adolescence.

                          Les ados d’aujourd’hui fonctionnent différemment. Il y a plus de mixité, ils sont en communication constante via le numérique au point que leur téléphone semble vissé à leur main. Ils se rencontrent dans des lieux divers mais pas si souvent dans des bars et rarement pour y jouer. Ils sont en communication constante avec leur tribu car c’est bien là l’obsession de l’adolescence.

                          Un peu plus jeune que vous j’ai connu une période de transition avec des bars comme les vôtres en voie de disparition, l’arrivée des jeux électroniques (ah le tétris des débuts), des DJ ou des patrons mélomanes qui remplacent le juke-box. Cela dit le bar était encore un lieu essentiel. Il est aujourd’hui toujours important pour les jeunes adultes mais beaucoup moins pour les ados.


                          • Fergus Fergus 16 février 19:40

                            Bonsoir, Pie 3,14

                            Merci pour votre commentaire.
                            Je partage très largement vos observations.

                            « le bar (...) est aujourd’hui toujours important pour les jeunes adultes mais beaucoup moins pour les ados »
                            En effet. ces derniers préfèrent se réunir ailleurs, ce qui pose parfois des problèmes lorsque c’est autour d’une bouteille de vodka.


                          • pemile pemile 16 février 19:59

                            @Pie 3,14

                            Et en centre bretagne des villages de 1500 habitants avec une dizaine de bars.


                          • Pie 3,14 16 février 20:15

                            @pemile
                            Vous avez raison mais le centre Bretagne est une des dernière « forêt primaire » de bars dans notre pays.
                            Cela relève presque maintenant de l’archéologie.
                            C’est une des raisons d’aimer la Bretagne. 


                          • Fergus Fergus 16 février 20:47

                            @ pemile

                            Même en Bretagne, il y a beaucoup moins de bars qu’avant. Et quand on se balade en France, il y a des villages de plus en plus nombreux qui ne comptent plus le moindre bistrot.
                            Le plus préoccupant est que, lorsqu’il y en a un, il est souvent tenu par un homme ou une femme persuadé(e) que personne ne reprendra l’affaire à leur départ en retraite. Il est vrai que les chiffres d’affaires ne cessent de chuter.


                          • Aristide Aristide 17 février 11:30

                            @Fergus

                            Et dans ceux qui restent : fini le distributeur de cacahuètes et son tas de coupelles douteuses en plastique, disparu le présentoir d’œufs durs, terminé le panier de croissants. Les cendriers ont fait la malle aussi…


                          • Fergus Fergus 17 février 11:44

                            Bonjour, Aristide

                            Vrai, sauf pour le panier de croissants qui s’est raréfié mais existe encore ici et là sur le comptoir.

                            « son tas de coupelles douteuses en plastique »
                             : !-)

                            Quant aux cendriers, c’est évidemment directement lié à l’application de la loi de 2006.


                          • ETTORE ETTORE 16 février 20:19

                            Vous savez Fergus, ce qui me pose problème, c’est cette multitude qui cache son visage derrière son écran .

                            Lors des concerts, lors d’évènements familiaux, et même de baston....

                            Comme si c’était un paravent à une nudité intellectuelle ! Objet tenu et présenté comme un ciboire à intelligence artificielle...

                            Ils fixent tout et n’importe quoi, genre « ça peut servir » à « regarder après », et mettent de fait, entre la réalité ( parfois joyeuse à vivre dans son instant T) ce frénétique enregistreur temporel, qui vas recracher.... après, multiplier .... après, mais en s’étant interposé, délibérément, avant, entre le fait réel, et ce qui en est attendu en le manipulant.

                            Il y a quelque chose de perdu dans tout cela, même si on pense avoir tout dans la boite.


                            • Fergus Fergus 16 février 20:57

                              @ ETTORE

                              Les plus étonnant, c’est de voir des personnes filmer en concert. Outre que c’est en général interdit, cela détourne l’attention de ce qui se passe sur la scène. 

                              « Ils fixent tout et n’importe quoi »
                              Oui, beaucoup font cela, et de manière compulsive, sans que rien ne le justifie la plupart du temps.

                              Que font-ils de toutes ces vidéos, mis à part les poster sur Tik Tok ou Instagram ? 


                            • LeMerou 17 février 08:04

                              @Fergus

                              « Oui, beaucoup font cela, et de manière compulsive, sans que rien ne le justifie la plupart du temps. »

                              La question est : Sont ils venus pour filmer ou assister au concert, ou vivre au travers des yeux des autres ? 


                            • Fergus Fergus 17 février 09:15

                              @ LeMerou

                              Bonne question. 
                              En tout état de cause, s’ils sont venus « assister au concert », ils perdent beaucoup du fait de l’attention détournée par l’usage de leur smartphone.


                            • Aita Pea Pea Aita Pea Pea 16 février 20:46

                              Black Sabbath . Les Stooges , MC5 ...


                              • Fergus Fergus 16 février 20:59

                                Bonsoir, Aita Pea Pea

                                J’aime bien Black Sabbath. Et Mötörhead.


                              • ETTORE ETTORE 16 février 20:59

                                @Aita Pea Pea
                                Black Sabbath.....« IRON MEN » ;; ;; HMMMMMM !!!!


                              • Aita Pea Pea Aita Pea Pea 16 février 21:19

                                @ETTORE
                                Groupe : Black Sabbath. Album : Black Sabbath. Morceau : Black Sabbath. L’invention du metal. 1969 .


                              • Aita Pea Pea Aita Pea Pea 16 février 20:58

                                Pour le baby -foot un René-Pierre. Épicétout . Les Stella a la déchetterie.


                                • Fergus Fergus 16 février 21:02

                                  @ Aita Pea Pea

                                  Avis de connaisseur. Personnellement, je ne connais rien à ce sujet, même si j’ai assez fréquemment joué au baby-foot dans ma jeunesse.


                                • Aita Pea Pea Aita Pea Pea 16 février 21:23

                                  @Fergus
                                  Ma mère tenait un café lorsque j’étais gamin...


                                • Fergus Fergus 16 février 22:57

                                  @ Aita Pea Pea

                                  Un estaminet ?


                                • Aita Pea Pea Aita Pea Pea 16 février 23:12

                                  @Fergus
                                  Café pêche -chasse . Il y avait vente de cartouches , de plombs et hameçons et même pas de pompe à bière. Tout à la canette. Mémoire du fin fond du Pas de Calais des 70 ’ ...


                                • Fergus Fergus 17 février 09:03

                                  Bonjour, Aita Pea Pea

                                  Il y avait naguère une très grande disparité de bars dans notre pays. Comme celui de votre mère.
                                  Ou comme ce bistrot que j’ai connu dans la campagne d’Amboise : le patron, également coiffeur dans le même local, délaissait les ciseaux le temps de servir un verre de montlouis ou de bourgueil. 


                                • Aita Pea Pea Aita Pea Pea 18 février 00:08

                                  @Fergus
                                  Au début vers 74 il y avait un coiffeur pour hommes dans un petit espace a part.Comme quoi , vu votre vécu ailleurs , ce devait être un peu courant.


                                • Fergus Fergus 18 février 09:15

                                  Bonjour, Aita Pea Pea

                                  La fait est que dans beaucoup de villages le café offrait des services variés aux habitants. Cela les dispensait de se déplacer au chef-lieu de canton.

                                  J’ai écrit « le café », mais en réalité, il y en avait souvent plusieurs qui disposaient de la licence IV. Dans un village d’Auvergne auquel je suis très attaché, il y avait 3 bistrots pour une population d’une centaine de personnes dans le bourg. Le principal d’entre eux, tenu par l’épouse d’un paysan, cumulait plusieurs de ces fonctions de service. Tous ont fermé.


                                • LeMerou 17 février 08:01

                                  @Fergus

                                  Merci, de ce rappel, quoique, faire ressurgir les bonheurs simples de notre jeunesse qui ont quand même duré jusqu’au milieu des « seventies » font un peu mal parfois......shoot-again smiley

                                  A mon sens, jouer avec un flipper aujourd’hui, ne permet pas de se projeter dans l’époque, car c’était un tout. Raaaaah je ressent encore le contact du bouton en bakélite sous les doigts.


                                  • Fergus Fergus 17 février 09:09

                                    Bonjour, LeMerou

                                    Faire appel aux souvenirs ne peut pas faire de mal. Sauf si l’on s’enferme dans la nostalgie en portant un regard uniquement négatif sur le temps présent. Ce qui n’est évidemment pas votre cas. Ni le mien.

                                    « jouer avec un flipper aujourd’hui, ne permet pas de se projeter dans l’époque, car c’était un tout »

                                    Je suis d’accord. Bien que plaisant, jouer au flipper sans l’atmosphère de l’époque n’a pas la même saveur. 


                                  • Jean-François Dedieu Jean-François Dedieu 17 février 16:58

                                    Flipper « GAUCHO » du même fabricant, très cousin du vôtre (années 60). 

                                    dans un des cafés, le juke-box et le baby-foot étaient dans une salle à part, pour ne pas gêner les vieux joueurs de cartes. dans celui que je fréquentais, nous pouvions jouer au billard français, dans des soirées au prix d’un café parfois « arrosé ». 

                                    A 15-16 ans, Madeleine (c’était beau et pas que chez Laurette) nous servait la bière sans problème... 

                                    Merci Fergus pour cette nostalgie positive... 


                                    • Fergus Fergus 17 février 19:40

                                      Bonsoir, Jean-François Dedieu

                                      C’est vrai que le Gaucho est de la même époque. J’ai très rarement joué sur celui-là.

                                      « dans un des cafés, le juke-box et le baby-foot étaient dans une salle à part, pour ne pas gêner les vieux joueurs de cartes »
                                      Une configuration qu’a évoqué plus haut Aristide et que j’ai moi aussi connue.

                                      Les billards français étaient rares, probablement à cause de la place qu’ils nécessitaient. J’ai bien connu cela, sans y jouer moi-même, dans une grande brasserie proche de la place Denfert-Rochereau à Paris où je me rendais le dimanche après-midi pour voir les résultats sportifs tomber sur le ruban du telex.

                                      Des Madeleine ou des Laurette, pas mal d’entre nous en ont rencontré. Et en gardent un excellent souvenir.

                                      Merci à vous pour ces évocations.


                                    • SilentArrow 19 février 02:23

                                      @Fergus

                                      Merci pour cette anthologie. Ça ne m’a pas arraché des larmes de sang, mais presque.


                                      • Fergus Fergus 19 février 09:06

                                        Bonjour, SilentArrow

                                        Rien de tel, de temps à autre, qu’une petite plongée dans nos souvenirs pour échapper, fût-ce de manière très temporaire, à la morosité sociétale et géopolitique du temps présent.

                                        Ce qui ne veut évidemment pas dire qu’il n’y a pas de bons moments qui vont, à leur tour, alimenter la fabrique des souvenirs. smiley

                                        Merci à vous !

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