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Accueil du site > Tribune Libre > Rumeurs de « fake news » sur Gardasil et cancer, au sujet de données (...)

Rumeurs de « fake news » sur Gardasil et cancer, au sujet de données officielles des registres des cancers de pays étrangers !

 INQUIETUDES A PROPOS DU GARDASIL A L’ETRANGER 

Contrairement à l’affirmation du docteur Jean Gondry «  dans le reste de l’Europe, il n’y a pas de fake news  ! », le sujet taraude de nombreux pays européens. Deux chauds partisans déclarés de la vaccination A Castanon en Grande Bretagne et Dillmer en Suède viennent de reconnaître récemment la réalité de l’augmentation des cancers du col dans leurs pays respectifs depuis la vaccination. Au Danemark, en Grande Bretagne, en Autriche, comme en France des témoignages sur les complications graves du vaccin ont fait chuter spectaculairement la vaccination. En Irlande, de nombreuses manifestations des victimes du Gardasil et de leurs familles ont récemment eu lieu.En Italie, les manifestations contre l’obligation vaccinale et le tout récent rapport sénatorial prouvant la toxicité des vaccins administrés lors de la guerre du Golfe montrent que l’inquiétude est ici aussi croissante.

 références au bas de l'article.

 

Rumeurs de « fake news » au sujet de données officielles des registres des cancers de pays étrangers ! On n’arrête pas le progrès en France-Titanic.

 

Michel Cymes, le Parisien, l’agence France Presse, de nombreux médias classiques et web prétendent dénoncer des « Fake news » alors qu’ils en diffusent quasi quotidiennement ! Ignorance, crédulité ou corruption ?

Réponse à leurs désinformations, par Dr G et N Delépine, cancérologues.

 

 Les journalistes s’étonnent de la défiance montante de la population envers leurs pratiques, dont le mouvement des gilets jaunes incarne la puissance du rejet. Mais jadis les journalistes vérifiaient les informations qui leur parvenaient avant de les diffuser. Apparemment ce n’est plus le cas, ni au Parisien libéré, ni à l’émission de Michel Cymes[1], ni à l’Agence France Presse[2], ni sur France info, LCI [3] ou le site « Pourquoi docteur »[4] (entre autres sites web).

 Beaucoup de ces médias se sont fait de plus complices du non-respect de la loi par les médecins auxquels ils ont donné la parole (obligation de déclaration signalée dans l’article de leurs liens d’intérêt). Nous avons déjà dénoncé cette nouvelle « habitude » il y a quelques semaines sur agoravox et notre site [5] [6] et exhorté les journalistes à étayer leurs affirmations par des sources fiables et non des « rumeurs »[7] ou des simulations (sans le préciser clairement).

Nous avons tenté d’inciter collègues et journalistes à plus de clairvoyance lors de leur attaque sans tact ni modération de l’ex député et lanceur d’alerte le docteur G Bapt [8], oubliant qu’il fut le lanceur d’alerte politique efficace dans l’affaire Médiator qui a néanmoins trop duré, permettant de nouvelles victimes dans l’attente du « réveil » de l’agence du médicament.

 

 Le quotidien le Parisien, les rumeurs et les fake news. Orwell toujours : la paix, c’est la guerre, la liberté, c'est l'esclavage, l'ignorance c'est la force.

La vérité, c’est le mensonge.

Que les philosophes nous expliquent encore cette reproduction régulière des maux les plus graves de l’Humanité… Orwell l’a écrit. [9]

 

 L’ augmentation du taux de cancer du col chez les jeunes femmes vaccinées serait une fausse information !

 Dans un article du 9 1 2019 intitulé : «  vaccin contre le cancer du col de l’utérus : les gynécologues en guerre contre les fake news  » Elsa Mari, journaliste au Parisien propage de fausses informations, prétendant, entre autres, « qu’il n’y a pas d’augmentation du nombre de cancers du col chez les jeunes après la vaccination ». Cette désinformation est grave et préjudiciable aux jeunes ciblés (filles et bientôt garçons) et aux contribuables qui vont payer pour des vaccins non efficaces et parfois dangereux (effets secondaires connus et répertoriés par l’ ANSM et accélération probable d’apparition de cancer du col de l’utérus).

 

Le plan cancer quand il arrange pour imposer les traitements nouveaux aux dépens des traitements éprouvés. [10] Des cancérologues n’auraient pas la compétence pour étudier les cancers du col utérin ?

 Dans cet article, le gynécologue Jean Gondry[11] dénonce deux médecins (le docteur Nicole Delépine et le docteur Gerard Delépine ) avec pour argument « ce ne sont même pas des gynécologues ». Prétend-t-il qu’il est inapproprié de parler de cancer quand on est cancérologue ? Remet-il en cause le plan cancer qui impose la présence d’un cancérologue aux réunions de concertation multidisciplinaire pour les cancers du col de l’utérus comme pour tous les cancers ?

 

 AUCUNE ARGUMENTATION SCIENTIFIQUE SUR DES FAITS AVERES ET CONFUSION INFECTION ET CANCER

Curieusement, l’argumentation qu’il développe pour démentir l’augmentation de cas et d’incidence des cancers invasifs après vaccination ne cite aucun chiffre brut, ni d’incidence de cancer invasifs avant et depuis vaccination, mais parle seulement d’infections à HPV, et des anomalies prétendument précancéreuses CN1, CN2 et CN3 qui, rappelons-le, sont des lésions bénignes qui précèdent parfois, mais très rarement, un cancer [12] ( risque qu’une telle lésion précède un jour un cancer de 1% pour les CN1, 5% pour les CN2 et 12% pour les CN3 selon leurs grades !).

 

Il oublie aussi de préciser que ces informations qu’il juge « erronées et dangereuses » représentent l’exacte reproduction des données des registres officiels du cancer en particulier d’Australie, de Grande Bretagne et de Suède.

Comme nous sommes bienveillants, (ainsi qu’il sied aux relations entre confrères), nous cherchons des explications à ses propos calomnieux, qui confinent à la diffamation [13] : peut-être que sa qualité de gynécologue ne l’a pas habitué à consulter les registres du cancer ou qu’il n’en a pas le temps.. Nous lui rappelons donc les informations publiées dans ces registres, qui sont de plus parfaitement détaillées dans notre récent livre[14] qui donne toutes les références des sources afin qu’il puisse facilement les vérifier par internet, de même que toutes les personnes dubitatives.

 

 RAPPEL DES DONNEES PUBLIEES

L’Australie a été le premier pays à organiser la vaccination systématique pour les filles de 12 -13 ans (dès 2007), avec vaccinations de rattrapage pour les 14-26 ans (dès 2009), ce que parait ignorer -ou veut ignorer- la Société française de colposcopie et de pathologie cervico-vaginale, lorsque son président proclame « les premières jeunes filles vaccinées en 2007, date de mise en place du vaccin, et qui avaient à l'époque autour de 11 ou 12 ans, n'avaient pas encore 20 ans en 2014, à la fin de l'enquête. Ce qui invalide totalement le raisonnement ». En 2014 le groupe des premières filles de la vaccination atteignaient l’âge de 19-20 ans, et celui des vaccinations de rattrapage 19-31 ans[15]. Ces femmes appartenant aux groupes d’âge vaccinés ont vu leur risque de cancer invasif augmenter fortement : l’incidence[16] a augmenté de 100% pour celles de 15 à 19 ans (de 0.1 en 2007 à 0.2 en 2014)[17] 113% d’augmentation (de 0.7 à 1.5) pour celles de 20 à 24 ans, 36% (5.9 à 8) pour le groupe 25-29 et 33% (9.9 à 13.2) pour celles de 30 à 34 ans peu vaccinées, car seules les moins âgées ont été exposées aux vaccinations « de rattrapage ». Durant la même période, les femmes plus âgées (et donc non vaccinées) ont vu leur risque de cancer continuer à diminuer grâce au dépistage : -17% pour les femmes de 55 à 59 ans (de 9.7 à 8.1), -13% pour celles de 60 à 64ans (de 10.3 à 8.9), -23% pour celles de75 à 79 ans (de11.5 à 8.8) et même moins 31% pour celles de 80 à 84 ans (de 14.5 à 10).

La Grande Bretagne a organisé la vaccination pour les filles de 12 à 13 ans, avec un rattrapage pour les 14-18 ans dès 2008. D’après le Public Health England, la couverture vaccinale complète des filles âgées de 13 à 14 ans à 3 injections atteignait 86.7% en 2013/14. Les résultats cancérologiques sont franchement mauvais, ainsi que l’a reconnu un apôtre de la vaccination, A Castanon [18]«  on s'attendait à ce que les taux de cancer du col chez les femmes ans diminuent à partir de 2014, à mesure que les cohortes des adolescentes vaccinées entraient dans leur deuxième décennie. Cependant en 2016, les statistiques nationales ont montré une augmentation brutale et importante du taux de cancer du col utérin. Les femmes de 20 à 24 ans vaccinées pour plus de 85% d’entre elles, alors qu’elles avaient entre 14 et 18 ans, ont vu leur risque de cancer augmenter de 70% en 2 ans (de 2,7 en 2012 à 4,6 en 2014) et celles de 25 à 29 ans qui avaient entre 17 à 23 ans au moment de la campagne de vaccination ont vu leur risque de cancer doubler entre 2007 et 2015 (de 11 à 22). D’après Cancer Research United Kingdom, les femmes de 25 à 34 ans, (moins vaccinées, car seulement exposées aux vaccinations « de rattrapage »), ont vu leur risque augmenter de 18% (de 17 en 2007 à 20 en 2014). Et sur l’ensemble de la population exposée au cancer du col (femmes de 25 à 64 ans) l’incidence standardisée a augmenté, passant de 12.6 en 2007 à 14.1 en 2016.

En Suède, le Gardasil est utilisé depuis 2006, et le programme de vaccination a été généralisé en 2010, avec une couverture vaccinale des adolescentes âgées de 12 ans de près de 80%.[19] En 2012–2013, avec un programme de rattrapage, la quasi-totalité des jeunes filles de 13 à 18 ans étaient vaccinées. En 2015 (derniers chiffres publiés par Nordcan, registre officiel scandinave, en octobre 2018) les jeunes femmes ciblées prioritairement par la vaccination atteignaient l’âge de 18 à 23 ans. Depuis la vaccination, ces femmes de 20 à 24 ont vu leur risque doubler, l’incidence observée passant de 1.86 à 3.7. Plus globalement, en Suède depuis la vaccination, le nombre de nouveaux cas annuels a augmenté de 27% (de 440 à 562)[20] et l’incidence standardisée du cancer invasif du col de l’utérus est passée de 9.36 en 2006, à 9.7 en 2009, 10.3 en 2012 et 11,51 en 2015.

 A l’opposé, en Suède, comme en Australie et comme en Grande Bretagne, une diminution de l’incidence de cancer invasif a été généralement observée chez les femmes de plus de 50 ans, groupe non concerné par le programme de vaccination. L’incidence du cancer invasif du col de l’utérus a ainsi baissé entre 2007 et 2015 de 6% pour les femmes âgées de 50 à 59 ans (de 14.24 à 13.34), de 4 % pour celles de 60 à 69 ans (12.63 à 12.04,) de 17% pour celles de 70 à 79 ans (de 15.28 à 12.66) et de 12 % pour celles de plus de 80 ans (de 15.6 à 13.68).

Pourquoi le docteur Gondry et la société française de colposcopie négligent-ils les données des registres anglais et suédois des cancers ?

 

 

Comment peut-on qualifier de « fake news  » ou d’« informations erronées et dangereuses  » les chiffres publiés par les registres officiels des cancers des pays concernés ?

Si ces données publiées sont dangereuses, c’est uniquement pour le très lucratif business model de Sanofi Pasteur, MSD et GSK[21] dont les prétentions de protection contre le cancer sont cruellement démenties.

 

 INQUIETUDES A L’ETRANGER

Contrairement à l’affirmation du docteur Jean Gondry : «  dans le reste de l’Europe, il n’y a pas de fake news  ! » le sujet taraude de nombreux pays européens. Deux chauds partisans déclarés de la vaccination A Castanon en Grande Bretagne[22] et Dillmer[23], en Suède viennent de reconnaître récemment la réalité de l’augmentation des cancers du col dans leurs pays respectifs depuis la vaccination. Au Danemark[24], en Grande Bretagne [25], en Autriche, comme en France [26] des témoignages sur les complications graves du vaccin ont fait chuter spectaculairement la vaccination. En Irlande, de nombreuses manifestations des victimes du Gardasil et de leurs familles ont récemment eu lieu.[27] [28]. En Italie, les manifestations contre l’obligation vaccinale et le tout récent rapport sénatorial prouvant la toxicité des vaccins administrés lors de la guerre du Golfe montrent que l’inquiétude est ici aussi croissante[29].

 

Le lien direct de causalité entre un médicament et des complications observées est toujours difficile à démontrer. Le doute raisonnable devrait conduire à l’application du principe de précaution.

Nous n’avons jamais affirmé que cette augmentation brutale et importante du risque de cancer depuis la vaccination était due directement et/ou uniquement à celle-ci. Mais la possibilité que les particules vaccinales élaborées par génie génétique pour reproduire celles de la capsule virale agissent comme des accélérateurs du cancer invasif constitue une hypothèse crédible à prendre en compte par les autorités avant généralisation, voire obligation de la vaccination.

Il est par ailleurs certain que si les registres des cancers avaient montré une baisse d’incidence du cancer aussi nette que l’augmentation actuellement observée, nos contradicteurs auraient crié victoire et affirmé haut et fort que le vaccin en était le seul responsable.

 

SIGNAUX D’ALERTE ADDITIONNES : SIGNAL FORT

Les signaux d’alerte de la vaccination anti HPV pris séparément par groupe d’âge et par pays peuvent aujourd’hui paraître faibles, mais leur convergence dans tous les pays concernés et dans tous les groupes concernés par la vaccination, alors que les femmes âgées (non vaccinées) et la France (peu vaccinée) ne sont pas victimes de ce sur risque constitue un signal particulièrement fort. Les réponses du président de l’INCa, et du directeur général de la santé (DGS) informés officiellement de ces signaux d’alerte par l’ancien député Gérard Bapt, seront scrutées avec attention.

 Rôle des autorités et vigilance

Pour remplir leur rôle de protection sanitaire du public, elles doivent au minimum initier des études urgentes par des chercheurs indépendants du lobby vaccinal et modifier les termes des annonces officielles sur le vaccin Gardasil. Elles peuvent, certes, adopter la position administrative classique de l’autruche et ne rien faire. Mais, avec les informations qui leur ont été transmises publiquement, les autorités sanitaires ne pourront plus prétendre qu’elles ne savaient pas, lors des procès potentiels futurs des familles qui auront perdu une jeune femme de cancer du col, alors qu’ils la croyaient protégée par la vaccination [30].

 

 Liens d’intérêt et médecine : une loi amputée de son sens, à revoir rapidement

Les liens d’intérêts des médecins et des experts chargés de notre sécurité sanitaire constituent un cancer de notre société plus dangereux que bien des « tueurs »[31] et un anachronisme légal en pays démocratique.

Pour s’assurer l’activité vaccinale, l’état corrompt l’indépendance des médecins en accordant une prime aux gynécologues et aux pédiatres qui parviennent à faire vacciner contre le HPV une proportion élevée de leurs patientes. La démocratie repose sur l’indépendance des juges tant du pouvoir politique que des parties en présence. Un juge ne peut plus recevoir d’« épices », comme au temps des rois..

Mais les experts sanitaires peuvent allègrement cumuler des fonctions grassement rémunérées par les firmes et leur rôle de surveillance ou de promotion des produits de ces mêmes firmes. Ils ont même été encouragés à le faire par le décret de Marisol Touraine qui exclue de toute déclaration de liens d’intérêt les contrats commerciaux (affirmant ainsi la primauté des affaires sur la sécurité sanitaire) et par A Buzyn déclarant publiquement que la qualité d’un expert se juge à l’aune des ses liens avec les firmes. Quand disposerons-nous d’un vaccin efficace contre ce cancer des liens d'intérêt. 

 

[1] qui cite cet article comme « modèle d’information qu’il faut encourager »

[2] © AFP / Jean-Pierre Muller 10 janvier 2019

[3] 10 janv. 12:09 - La rédaction de LCI

[4] Papillomavirus : les gynécologues partent en croisade contre les rumeurs, par Raphaëlle de Tappie publié le 11 01 2019

[7] docteur.nicoledelepine.fr/information-grand-public-exigeons-des-medias-quils-precisent-leurs-sources-simulations-versus-resultats-reels/

[8] docteur.nicoledelepine.fr/le-dogme-ou-la-soumission-a-lautorite-en-place-peuvent-ils-remplacer-largumentation-scientifique-en-medecine/ 24 déc 2018

[9] « 1984, Troisième partie, Chapitre 3. Ainsi, à travers l’histoire, une lutte qui est la même dans ses lignes principales se répète sans arrêt. Pendant de longues périodes, la classe supérieure semble être solidement au pouvoir. Mais tôt ou tard, il arrive toujours un moment où elle perd, ou sa foi en elle-même, ou son aptitude à gouverner efficacement, ou les deux. Elle est alors renversée par la classe moyenne qui enrôle à ses côtés la classe inférieure en lui faisant croire qu’elle lutte pour la liberté et la justice.
Sitôt qu’elle a atteint son objectif, la classe moyenne rejette la classe inférieure dans son ancienne servitude et devient elle-même supérieure. Un nouveau groupe moyen se détache alors de l’un des autres groupes, ou des deux, et la lutte recommence ».

[10] Le cancer, un fléau qui rapporte. Nicole Delépine Editions Michalon 2013. : ici un nouvel exemple sur peur et marché avec la publicité énorme pour un vaccin censer prévenir le cancer du col qui tue 1000 femmes par an en France et dont 700 seraient évitables si elles pratiquaient le dépistage par frottis. Donc on vise une réduction de mortalité de 300 femmes pour 65 millions d’habitants dont la moitié de femmes environ. Si les bénéfices visés n’entrent pas dans le sujet, le père Noel existe bien.

[11] Qui ne respecte pas la loi qui impose à tout médecin qui s’exprime en public de préciser ses liens d’intérêt avec les entreprises du médicament et en particulier avec Sanofi Pasteur et GSK qui commercialisent les vaccins anti HPV

[12] Le risque qu’une telle lésion précède un jour un cancer est de 1% pour les CN1, 5% pour les CN2 et 12% pour les CN3

[13] Car il nous accuse publiquement de « manipuler les chiffres et leurs interprétations »

[14] Gérard et Nicole Delépine, "Hystérie vaccinale – Vaccin Gardasil et cancer : un paradoxe", paru chez Fauves Editions en octobre 2018.

[15] Qui oublie ce groupe des rattrapages en prétendant :ce qui invalide totalement le raisonnement

[16] Nombre de nouveaux cas annuels pour 100000 femmes

[17] Le cancer invasif du col est rare à cet âge et pour cette raison la différence n’est pas statistiquement significative mais passer de 2 à 4 cas annuelsl après un vaccin censé supprimer le risque constitue un signal inquiétant aux conséquences dramatiques pour les jeunes filles concernées.

[18]Alejandra Castanon, Peter Sasienia : Is the recent increase in cervical cancer in women aged 20–24 years in

England a cause for concern  ? Preventive Medicine 107 (2018) 21–28 https://doi.org/10.1016/j.ypmed.2017.12.002

[19] Nationellt Kvalitetsregister för Cervix cancer prevention (NKCx), http://nkcx.se/templates/_rsrapport_2017.pdf [en suédois]

[21] A ce jour, plus de 200 millions de doses de vaccins anti HPV ont été vendues, rapportant près de 25 milliards de dollars.

[22] Alejandra Castanona, Peter Sasieni Is the recent increase in cervical cancer in women aged 20–24 years in

England a cause for concern ? Preventive Medicine 107 (2018) 21–28

[30] Ce qui a déjà malheureusement été le cas de Sarah Taite, championne olympique d’aviron aux JO de Londres décédée depuis du cancer du col après avoir été vaccinée avec au moins 1 risque/ 2 de la responsabilité vaccinale.

[31] Le palmarès des tueurs en série atteint rarement 50 victimes. Le Vioxx a tué plus de 30000 américains même si cette catastrophe sanitaire aurait soit disant épargné notre pays comme le nuage de Tchernobyl. ,

 

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106 réactions à cet article    


  • leypanou 15 janvier 2019 11:12

    Les liens d’intérêts des médecins et des experts chargés de notre sécurité sanitaire constituent un cancer de notre société plus dangereux que bien des « tueurs »[31] et un anachronisme légal en pays démocratique 

     : c’est çà le plus important, et on en parle rarement sur les médias mainstream.

    La France, c’est çà : quelques « experts » et « bons » invités que l’on voit et entend tout le temps sur différents sujets, comme la médecine, la politique étrangère, l’économie, les sujets de société, l’écologie, etc ainsi qu’un certain nombre de lignes.


    • njama njama 15 janvier 2019 11:38

      @ Raymond75

      complotisme ? « fake-news » ? je vous invite à lire cet article fort documenté :

      “Rien ne justifie de recommander le vaccin Gardasil contre les papillomavirus”
      11/01/2019 par Vanessa Boy-Landry
      (Extraits) [...] Dès que Cochrane a démarré sa revue sur ces vaccins, il y a six ans, Catherine Riva, et d’autres chercheurs, ont identifié des failles éthiques et méthodologiques graves : conflits d’intérêts des auteurs de la revue Cochrane avec les fabricants des vaccins anti-HPV, insuffisances méthodologiques dans le protocole prévu, communication de résultats favorables dans les congrès, bien avant que l’analyse soit terminée et publiée... Mais surtout, Catherine Riva et ses collègues ont alerté les auteurs de la revue Cochrane sur les fameuses données d’efficacité non publiées par le laboratoire. Une « limitation essentielle » dont ils connaissaient l’existence depuis 2014 mais dont ils n’ont pas tenu compte.

      [...] Avec ses collègues (Dr Jean-Pierre Spinosa, gynécologue, et Serena Tinari, journaliste d’investigation), Catherine Riva considère que Cochrane devrait rétracter cette revue et tout reprendre depuis le début. Mais l’organisation est restée sourde aux doléances qu’ils lui ont adressées suite à la publication de la revue. Son refus d’entrer en matière est la goutte de trop qui les amène aujourd’hui à tout rendre public. Le 10 décembre, leur analyse critique de la revue Cochrane sur les vaccins anti-HPV était dévoilée sur « BMJ-EBM », une publication du prestigieux « British Medical Journal ». L’ensemble des données et des tableaux à l’appui de leurs conclusions ainsi que leurs six ans de correspondance avec Cochrane sont désormais en accès libre sur la plateforme open source Zenodo.org.


      • njama njama 28 janvier 2019 22:32

        Oups ! Erreur 404

        La page que vous demandez n’existe pas.

        Je me dois de signaler que la Page de l’excellent article “Rien ne justifie de recommander le vaccin Gardasil contre les papillomavirus”

        a été retirée de la publication web

         ??? censure ? pression de lobbies ?


      • Gérard 29 janvier 2019 09:40

        @njama

        Incroyable, encore un coup de Bill Gates ça !



      • njama njama 15 janvier 2019 11:55

        HPV vaccine safety : Cochrane launches urgent investigation into review after criticisms Published 09 August 2018
        Cochrane HPV vaccine review severely compromised by conflicts of interest
        17 September 2018, Elizabeth M Hart

        The recently published Cochrane HPV vaccine review[1] is severely compromised and cannot be trusted due to the conflicts of interest of authors on the original protocol and the final review document.

        Due to serious conflicts of interests, Cochrane should withdraw this review [The BMJ].

        In February 2016, I challenged David Tovey, Editor in Chief of Cochrane, directly about protocol author Lauri Markowitz’s conflicts of interest.

        Catherine Riva et al raised the problem of conflicts of interest in December 2014 in a comment on the original protocol[2], specifically pointing out the failure to properly disclose conflicts of interest by Lauri Markowitz and Marc Arbyn. Arbyn remained an author throughout all stages.

        Lauri Markowitz is an employee of the US Centers for Disease Control and Prevention (CDC), and is involved in HPV vaccination promotion.

        The US Government benefits from the sale of HPV vaccine products, i.e. a letter to Dr Eric Suba from the US National Archives and Records Administration (November 2010) discusses royalties the US National Institutes of Health (NIH) receives from the sales of HPV vaccines. (See a copy of the letter via this link : http://www.vietnamcervicalcancer.org/dmdocuments/ogis%20suba%2024%20nove...)
        [...]
        The Bill and Melinda Gates Foundation has been very influential in promoting HPV vaccination[5]. In regards to the Cochrane HPV vaccine review, Cochrane has a conflict of interest in that it is a beneficiary of Bill and Melinda Gates Foundation funding, i.e. to « support the development of Cochrane’s next generation evidence system, with a specific focus on maternal and child health ».[6] The World Mercury Project has provided critical analysis of Cochrane’s conflicts of interest via the Bill and Melinda Gates Foundation and other organisations[7].
        [...]


        • njama njama 16 janvier 2019 12:27

          Lauri Markowitz is an employee of the US Centers for Disease Control and Prevention (CDC), and is involved in HPV vaccination promotion.
          La preuve >> CDC Activities for Improving Implementation of Human Papillomavirus Vaccination, Cervical Cancer Screening, and Surveillance Worldwide Virginia Senkomago,corresponding author Denise Duran, Anagha Loharikar, Terri B. Hyde, Lauri E. Markowitz, Elizabeth R. Unger, and Mona Saraiya
          https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC5711299/

          La réputation de Cochrane va prendre du plomb dans l’aile ... ce qui va dans le sens de la conclusion de l’article du BMJ qui appelle à ce que Cochrane retire sa publication : (trad.) « En tant que citoyen intéressé par la vaccination contre le HPV, j’avais espéré pouvoir me fier à une analyse de Cochrane qui n’était pas entachée de biais, mais je ne peux me fier à cette analyse et ne la considère pas comme un document de valeur.

          L’analyse Cochrane du vaccin HPV est gravement compromise. Compte-tenu de l’implication de Markowitz, au moins, elle n’est manifestement pas indépendante et on ne peut donc pas se fier à elle.
          L’analyse Cochrane du vaccin HPV devrait être retirée.

          Cochrane doit également examiner de toute urgence sa propre position en ce qui concerne les conflits d’intérêts et l’impact sur la crédibilité, l’indépendance et la fiabilité de Cochrane. »


        • njama njama 22 janvier 2019 14:22

          Le CDC surveille-t-il de près la sécurité des vaccins HPV ?

          Voici ce qu’il en est de la « surveillance » des vaccins HPV aux USA (et quid de l’Europe ?) 9 janvier 2014 (extraits)

          ENCÉPHALOMYÉLITE AIGUË DISSÉMINÉ (Global – tous âges – tous les vaccins)
          Depuis l’introduction en 2006 du programme de vaccination HPV, il y a eu une augmentation de 8100% de cet effet secondaire rare (VAERS)
          On pourrait penser qu’une augmentation moyenne de 8100 % de rapports de cette maladie rare après l’introduction des vaccins contre le HPV ait pu représenter un fameux signal d’alarme. Ce n’est apparemment pas le cas pour le Dr Schuchat, malgré le fait que l’ADEM soit un effet indésirable connu de certains vaccins.

          SYNDROME DE TACHYCARDIE ORTHOSTATIQUE POSTURALE comparativement aux autres vaccins (Toutes les régions, tous les âges de juin 2006 à novembre 2013 (VAERS) - Rouge : % de vaccins HPV ; bleu : % de tous les autres vaccins)
          Depuis l’introduction du programme de vaccination HPV en 2006, il y a eu une augmentation de 137% de cet effet secondaire rare dans les données du VAERS

          PURPURA THROMBOPÉNIQUE (Global – Tous âges – tous les vaccins)
          Depuis l’introduction du programme de vaccination HPV en juin 2006 il y a eu une augmentation de 68% de cet effet secondaire rare (VAERS)

          Les vaccins HPV et l’infertilité
          INFERTILITÉ (Tous âges – tous les vaccins)
          Depuis l’introduction du programme de vaccination HPV en 2006, il y a eu une augmentation de 790% de cet effet secondaire rare dans les données du VAERS.

          Vaccins HPV versus les autres vaccins dans les données du VAERS

          (Effets secondaires - rouge : % vaccins HPV ; bleu : % de tous les autres vaccins –
          Totaux pour toutes les régions, tous les âges de juin 2006 à novembre 2013)

          Source Sanexax How closely does the CDC monitor HPV vaccine safety ?

          Traduction initiative citoyenne.be lire l’article en entier :

          http://initiativecitoyenne.be/article-voici-ce-qu-il-en-est-de-la-surveillance-des-vaccins-hpv-aux-usa-et-quid-de-l-europe-121982090.html


        • njama njama 15 janvier 2019 12:12

          @ Raymond75

          « Paris Match », une revue complotiste qui relaie des « fake-news » ? à moins que ce Journal aurait eu un sursaut d’éthique journalistique pour courageusement publier un article critique à contre-courant de la propagande actuelle pour la vaccination anti-HPV ?

          A vous de vous faire une opinion ...


          • Dr Destouches Dr Destouches 15 janvier 2019 14:16

            « les jeunes femmes ciblées prioritairement par la vaccination atteignaient l’âge de 18 à 23 ans. Depuis la vaccination, ces femmes de 20 à 24 ont vu leur risque doubler, l’incidence observée passant de 1.86 à 3.7  »

             ? pas très clair


            • CoolDude 15 janvier 2019 14:35

              @Dr Destouches

              Ben, si j’ai bien compris, les vaccinations ont lieu entre 14 et 18 ans...
              Puis l’incidence de détection d’une pathologie cancéreuse augmente 5 à 10 ans plus tard.

              C’est un classique pour une tumeur.

              Ça commence toujours par une cellule maligne, puis deux, puis quatre...
              1->2->4->8->16, etc...

              Et son origine remonte toujours bien avant que le pathologie soit détectable.

              Et cette incidence double si on en croit les chiffres, ce qui est « quand même » remarquable.

              Bref, affaire à suivre dans les médias étrangers apparemment, parce qu’en France, la Messe est déjà dite.


            • CoolDude 15 janvier 2019 14:19

              Pour s’assurer l’activité vaccinale, l’état corrompt l’indépendance des médecins en accordant une prime aux gynécologues et aux pédiatres qui parviennent à faire vacciner contre le HPV une proportion élevée de leurs patientes.

              La sensibilité à l’incitation...

              Et il me semble que ce n’est pas les seules incitations que ce milieu, le milieu médical perçoit.

              Ça créait souvent des comportements très étonnants pour atteindre ces objectifs... Et qui n’intéresse qu’en réalité que le prescripteur et celui-ci se défausse de ses responsabilités par la même occasion.

              Personnellement, je pense qu’il faudrait plutôt donner des primes à ceux qui ont le plus grand nombre de patients en bonne santé, enfin qui ont retrouvés la santé, mais bon... Et je ne suis pas sûr que l’on parle de ce sujet qui touche tous les milieux est qui est bien comme vous le dites de la « corruption active ».


              • HELIOS HELIOS 15 janvier 2019 15:04

                @CoolDude
                ... une prime pour ceux qui ont le plus de patients en bonne santé... oui, et moi je rajouterai, dans le même esprit un taux d’impôt proportionnel au ratio bénéfice net/nb d’employé le plus petit... bonne réponse au chomage, n’est-ce pas (ou à la baisse des prix) !


              • CoolDude 15 janvier 2019 15:25

                @HELIOS

                moi je rajouterai, dans le même esprit un taux d’impôt proportionnel au ratio bénéfice net/nb d’employé le plus petit.

                Il faut se méfier de ce genre d’incitation, parce ce que l’on peut imaginer facilement, via des astuces comptable, une optimisation fiscale (comme ils disent) de ce ratio. Et il ne se privent déjà pas de le faire actuellement.

                Et c’est vrai que la fiscalité peut être une incitation forte.

                -> Au lieu de parler de bénéfice, parlons plutôt chiffre-d’affaire par salarié, voir même de capital par salarié par exemple.

                L’enfer est pavé de bonne intention et les incitations sur des objectifs bien précis est assez piégeux car il invite à les tenir par tous les moyens possibles et certaines personnes ont beaucoup d’imaginations.

                Mais bon, on sort du sujet...


              • CoolDude 15 janvier 2019 15:28

                @HELIOS

                Personnellement, j’ai travaillé avec des commerciaux qui fonctionnaient aux primes et j’ai vu des choses, des trafics incroyables.

                On a la même chose dans les Banques, la Finance, etc...


              • HELIOS HELIOS 15 janvier 2019 17:17

                @CoolDude

                Merci pour votre intervention.

                Je n’ai en aucun cas de solution magique, mais ce que je sais c’est qu’on peut sûrement trouver une méthode pour que les sociétés (acteurs économiques) paticipent à la solidarité nationale, à travers l’impôt, en ayant, comme pour la fiscalité des familles, un ratio proportionnel au nombre d’employé qu’ils ont.

                A la limite, peu importe qu’il existe quelques déchets, tricheurs etc, si globalement le système est nettement plus juste et plus efficace....


              • sls0 sls0 15 janvier 2019 16:52

                Passer de 50 à 100, c’est 100% d’augmentation.

                Passer de 0,0005 à 0,001 c’est aussi une augmentation de 100%.

                Au début du Gadarsil, une mère de famille sachant que j’étais assez bien vacciné m’a demandé mon avis.

                Je lui ai répondu que ma couverture vaccinale était due au fait que j’allais souvent dans des zones à risques où je n’étais pas confronté à de l’hypothétique.

                Comme j’avais un pote médecin qui n’écoutait pas trop les représentants farmaceutiques, je lui ai posé la question.

                Il m’a répondu qu’il n’y avait pas assez de recul pour faire le rapport bénéfices/risques.

                Habituellement on fait des observations ensuite on fait des hypothèses. C’est scientifique.

                Au sujet du Gadarsil entre autres, on a des hypothèses et on regarde si des observations les valident.

                Effectivement il y a une augmentation, il y a deux mois j’ai regardé d’autres stats gravitant autour du sujet.

                Il y a aussi eu augmentation des contrôles, plus de contrôles, plus de cas recensés.

                Plus de contrôles des personnes à risques, très forte augmentation. Plus de contrôles de personnes à moindre risques, baisse du pourcentage.

                Bref, vu que l’on était derrière la virgule en pourcentage, on était dans un bruit de fond, bien inférieur à l’écart type. On ne peut rien sortir de ces chiffres, c’est impressionnant quand on parle d’augmentation ou baisse de 100% mais sur des chiffres derrière la virgule c’est de la daube.

                Cela dit une mère de famille me redemanderait la même chose, je répondrai qu’il n’y a toujours pas de variation du bénéfice/risque et qu’il est urgent d’attendre.

                Quand on emploie de l’émotionnel, la peur, des 150% d’augmentation sur du bruit de fond, je me méfie du message. Dans ce cas ci les pro et les anti emploient la même tactique.

                Les deux ont peut être raison, les deux ont peut être tord, l’un a peut être raison, le bruit de fond des stats ne peut pas les départager pour l’instant.

                La sagesse populaire c’est dans le doute abstiens toi.

                Coté industrie farmaceutique il y a eu des abus mais il n’y pas eu que des abus, même là dessus on ne peut pas se baser.

                Heureusement que ce n’est qu’un commentaire et non un réponse à une mère de famille, je lui dirai certainement de s’abstenir mais j’aurai de gros doutes.


                • Francis, agnotologue JL 15 janvier 2019 17:32

                  @sls0
                   
                   ’’La sagesse populaire c’est dans le doute abstiens toi.’’
                   
                   C’est ce qu’on appelle le principe de précaution, on pourrait dire : préservation.
                   
                   Et effectivement, ce principe décliné par les économistes libéraux c’est : << dans le doute, on préserve les profits >>
                   
                   Pas touche au sacro-saint PIB.


                • njama njama 16 janvier 2019 10:42

                  @JL
                  Pas touche au sacro-saint PIB.

                  Les liens d’intérêts sont souvent évoqués, voire heureusement dénoncés parfois, concernant des médecins et des experts chargés de notre sécurité sanitaire

                  , mais très rarement ceux qui lient l’État à Big Pharma !

                  Il ne s’agit pas de complot, tout est public, mais comme personne n’en parle « l’affaire » est peu connue, y compris des médias ! Les liens entre le monde politique et les labos sont bien établis très officiellement.

                  "les laboratoires pharmaceutiques constituent les partenaires naturels des pouvoirs publics" 
                  La France est le premier pays producteur de vaccins et exporte 85 % de sa production
                  .« »Cette situation favorable doit être confortée par les pouvoirs publics par une politique ambitieuse d’installation et de maintien des sites de production,"
                  (Sénat, Rapport n° 476 (2006-2007)

                  https://www.agoravox.fr/commentaire4297689

                  Suite à quoi, il est naïf d’attendre une impartialité de jugement sur les vaccins de la part des autorités de santé comme des autorités politiques en général ...


                • Mylène 16 janvier 2019 02:09

                  Le pire étant que le vaccin avait imposé en milieu scolaire.

                  Je ne sais plus comment çà s’était passé mais de mémoire, c’est l’école qui motivait la vaccination. .

                   .


                  • njama njama 16 janvier 2019 09:59

                    @Mylène
                    Il semble que l’avenir ne se dirige pas de suite vers une obligation vaccinale concernant la vaccination anti-HPV, c’est du moins ce qu’il ressort du PLFSS 2019 relatifs à l’évolution de la politique vaccinale dans ce document :

                    https://www.cjoint.com/doc/18_12/HLAkx2M2SGh_lfss2019.pdf

                    Voir l’Article 60 (pages 40/41). Il est question de développement (expérimentation dans 2 régions) de la couverture vaccinale contre les papillomavirus incluant (après avis de la HAS) les garçons.

                    La vaccination en milieu scolaire est peu probable, on ne cornaque pas des ados comme des nourrissons, et filles et garçons ciblés par cette « expérimentation »

                    ne se laisseront peut-être pas piquer comme du bétail... quant à les évincer de l’école ce n’est pas possible ! Y-aura-t-il des mesures coercitives contre les récalcitrants ? Il faut attendre le « décret en Conseil d’État » pour connaître les modalités et détails de cette « expérimentation » !

                    L’an passé le décret avait été publié le 25 janvier.

                    Un prochain mouvement Gilets Jaunes dans les collèges pour manifester contre ces politique vaccinale ?  smiley


                  • njama njama 16 janvier 2019 10:02

                    Article 60
                    I. – L’Etat peut autoriser, pour une durée de trois ans, dans deux régions volontaires dont au moins une région d’outre-mer, à titre expérimental, le financement, par le fonds d’intervention régional mentionné à l’article L.1435-8 du code de la santé publique, des frais occasionnés par l’amélioration des pratiques des professionnels et établissements de santé pour le développement de la vaccination contre les infections liées aux papillomavirus humains chez les jeunes filles et, sous réserve de l’avis de l’autorité mentionnée à l’article L. 161-37 du code de la sécurité sociale, chez les garçons.
                    II. – Un décret en Conseil d’État précise les modalités de mise en œuvre de cette expérimentation, notamment les caractéristiques du projet à présenter dans chaque région ainsi que les conditions d’évaluation de l’expérimentation.
                    Les ministres chargés de la santé et de la sécurité sociale arrêtent la liste des régions participant à l’expérimentation.

                    Le contenu de chaque projet d’expérimentation régional est défini par rapport à un cahier des charges arrêté par le directeur général de l’agence régionale de santé concernée.
                    III. – Un rapport d’évaluation est réalisé au terme de l’expérimentation et fait l’objet d’une transmission au Parlement par le Gouvernement.


                  • njama njama 16 janvier 2019 10:26

                    Questions...
                    Cette « expérimentation se limitera-t-elle pour 3 ans aux 2 seules régions ainsi que l’indique le PLFSS 2019 ?

                    Quid de la suite ? sachant que le rapport d’évaluation réalisé au terme de l’expérimentation doit être transmis au Parlement par le (prochain) Gouvernement ? Aucune conclusion ne devrait donc être rendue publique avant une période de 4 ans...

                    Autre éventualité, la question de généraliser cette vaccination faisant débats et controverses, cette »expérimentation" ne serait qu’un cheval de Troie pour amadouer les consciences et promouvoir à grande échelle cette vaccination anti-HPV ?


                  • njama njama 16 janvier 2019 11:51

                    « Gardasil, combien de vierges sacrifiées sur l’autel de la vaccination ? » Magazine NEXUS 15 septembre 2018

                    Sous couvert de protection contre le cancer du col de l’utérus, le projet de loi du 27 juin 2018 vise à ajouter le vaccin contre le papillomavirus à la liste des vaccins obligatoires (1). Qu’en est-il des effets secondaires et des limites d’efficacité de ce vaccin ? Le rapport bénéfices-risques est-il si favorable que ça ? Quelle place reste-t-il pour le débat citoyen ?

                    Extraits de Nexus n° 118 : « Dès l’introduction des premiers vaccins anti-HPV (Gardasil quadrivalent et Cervarix), de nombreuses jeunes filles ont rapporté des troubles du fonctionnement ovarien survenus après l’injection. Si l’on ignore les effets potentiels de l’administration de neuf protéines de papillomavirus (on peut imaginer une forme de réaction auto-immune locale), l’on sait pourtant qu’un risque est associé aux autres composants : l’aluminium dont on connaît les effets neurotoxiques, le polysorbate et le borax. Le polysorbate ou Tween 80 provoque des perturbations hormonales, des déformations des ovaires et la destruction de follicules, lorsqu’on l’injecte à des souris, et il est utilisé dans les vaccins pour la stérilisation des animaux (2). Quant au borax, c’est l’ingrédient de la mort-aux-rats (…)

                    Aux États-Unis, le taux de natalité a connu une baisse drastique de 11 % suite à l’introduction du vaccin HPV, alors qu’il avait augmenté de 8 % durant la décennie précédente. Les chiffres analysés par Gayle Delong interpellent : sur 8 millions de femmes entre 25 et 29 ans, on note que 60% des non-vaccinées ont démarré au moins une grossesse, pour seulement 35 % chez celles ayant reçu un vaccin anti-HPV. Dans la catégorie des femmes mariées, l’écart reste marqué, avec 75 % de conception chez les non-vaccinées, pour seulement 50 % chez les femmes “immunisées” (3). »

                    &#128073; L’article complet à lire dans Nexus n° 118 (sept.-oct.). Une revue 100 % indépendante disponible en kiosque et sur notre site : http://bit.ly/2HnIb9n

                    #VaccinGardasil #MagazineSansPubs

                    (1) http://www.assemblee-nationale.fr/…/propositio…/pion1118.asp

                    (2) Gajdova M., Jakubovsky J., Valky J., « Delayed effects of neonatal exposure to Tween 80 on female reproductive organs in rats », Food Chem. Toxicol., 31 mars 1993 (3) : 183-190. PMID : 8473002.

                    (3) 12. DeLong G., « A lowered probability of pregnancy in females in the USA aged 25-29 who received an HPV vaccine injection », Journal of Toxicology and Environmental Health, vol. 81, Issue 14, p. 661-674, 2018.

                    source :https://www.facebook.com/magazine.nexus/photos/-gardasil-combien-de-vierges-sacrifi%C3%A9es-sur-lautel-de-la-vaccination-sous-couver/10160727444870244/


                    • Gérard 17 janvier 2019 14:18

                      @njama
                      Citer Mme DeLong est une injure à la sciences des vaccins. C’est sans doute pour cela que Initiative Citoyenne s’appuie aussi sur cette étude pour diffuser sa propagande nauséabonde.
                      Cette prof d’Économie et de Finances (! !) a réalisé une étude biaisée et de qualité médiocre. En omettant de prendre en compte les facteurs de confusion, elle en arrive à tirer des conclusions biaisées.

                      Vos sources n’ont aucune crédibilité. Et ne parlons même pas de Nexus.

                      PS : Au fait, ce n’est pas parce qu’une revue comme Nexus est indépendante (ou soi-disant indépendante) que ça l’empêche de dire des conneries.
                      Afficher qu’on est « indépendant » c’est bien, mais ça ne prouve rien du tout !


                    • njama njama 18 janvier 2019 10:15

                      @Gérard
                      Les qualités de Mme Gayle Delong lui permettent de produire des études statistiques fiables, de même que Gérard Delepine a également ses qualités.
                      Que dit-elle..., elle constate ! et alerte ... sur un fait sociologique en lien avec le vaccin anti-HPV qui est un signal non négligeable, lequel aurait une incidence significative sur la fertilité des femmes. Une étude qui mériterait donc d’être corrélée avec d’autres pays qui pratiquent la vaccination anti-HPV. L’article A lowered probability of pregnancy in females in the USA aged 25–29 who received a human papillomavirus vaccine injection

                      avait tout de même été publié dans le Journal of Toxicology and Environmental Health.

                      (traduction) : En utilisant la régression logistique pour analyser les données, la probabilité d’être enceinte a été estimée pour les femmes ayant reçu un vaccin contre le VPH par rapport aux femmes n’ayant pas reçu l’injection. Les résultats suggèrent que les femmes qui ont reçu le vaccin contre le VPH étaient moins susceptibles d’avoir déjà été enceintes que les femmes du même groupe d’âge qui n’ont pas reçu le vaccin. Si 100% des femmes de cette étude avaient reçu le vaccin contre le VPH, les données suggèrent que le nombre de femmes ayant jamais conçu aurait eu diminué de 2 millions. Une étude plus approfondie de l’influence du vaccin contre le VPH sur la fertilité est donc justifiée.

                      Using logistic regression to analyze the data, the probability of having been pregnant was estimated for females who received an HPV vaccine compared with females who did not receive the shot. Results suggest that females who received the HPV shot were less likely to have ever been pregnant than women in the same age group who did not receive the shot. If 100% of females in this study had received the HPV vaccine, data suggest the number of women having ever conceived would have fallen by 2 million. Further study into the influence of HPV vaccine on fertility is thus warranted.



                    • njama njama 18 janvier 2019 10:29

                      lien :A lowered probability of pregnancy in females in the USA aged 25–29 who received a human papillomavirus vaccine injection

                      https://www.tandfonline.com/doi/abs/10.1080/15287394.2018.1477640?journalCode=uteh20


                    • Gérard 18 janvier 2019 11:04

                      @njama

                      "Les qualités de Mme Gayle Delong lui permettent de produire des études statistiques fiables, de même que Gérard Delepine a également ses qualités.

                      « 

                      Euh, pour des antivax de votre acabit qui se foutent pas mal de la science, c’est vrai que ce genre d’étude bidon est idéal pour répandre votre bouse.

                      Mais la »vraie" science en rigole bien vous savez. Cette étude pourrait être utilisée en exemple dans les Universités pour montrer tout ce qu’il ne faut pas faire.


                    • njama njama 16 janvier 2019 12:45

                      NEXUS Numéro 118 Septembre-octobre 2018
                      Au Sommaire :
                      « ... Comme le ROR, le Gardasil comporte tant d’effets secondaires graves, irréversibles et mal évalués que la balance bénéfices-risques ne plaide clairement pas en sa faveur. Et Bill Gates se met dans la partie ! La science mal en point que ce soit du fait des biais dans la recherche médicale ou la quête du profit ou du prestige dans les publications scientifiques, la science, notamment la médecine et la biologie sombrent dans des travers qui tuent !... »

                      https://www.nexus.fr/magazine/numero-118/


                      • Gérard 17 janvier 2019 14:03

                        @njama
                        Nexus, grosse référence en complotisme, fake news et pseudo-sciences.

                        Abandonnez ce genre de source d’informations. Ça vous décrédibilise terriblement.


                      • foufouille foufouille 17 janvier 2019 14:29

                        @njama
                        il suffit de payer pour être publier dans ce genre de torchon ........


                      • Shaw aka CVN42-OSe-F-HD Shaw 17 janvier 2019 14:32

                        @foufouille

                        Ça y’en a payeraient veugra cher pour se débarrasser d’un zombi lexical de ton acabit ( ^^ smiley ?) !


                      • njama njama 17 janvier 2019 09:36

                        ... « dans le reste de l’Europe, il n’y a pas de fake news ! », le sujet taraude de nombreux pays européens.

                        Effectivement, dire qu’il n’y a pas de controverses en €urope c’est ignorer ou sous-évaluer les prises de positions politiques de partenaires €uropéens, comme celle très prudente et ferme de la ministre de la santé de la Communauté française de Belgique, Mme Catherine Fonck (par ailleurs elle-même médecin néphrologue) devant les six autres ministres de la conférence interministérielle de la santé, laquelle déjà en décembre 2008 s’opposait à une vaccination en milieu scolaire et plaider pour un vaccin anti-HPV libre.
                        « Je ne refuse pas l’apport de ce vaccin, je refuse qu’on le rende automatique en l’incluant dans la médecine scolaire, qu’on l’impose en négligeant une décision éclairée et informée des parents. Trop d’incertitudes planent encore sur ce vaccin. Dans deux ou cinq ans, on en saura peut être davantage, mais dans l’état actuel des connaissances, je m’y refuse ».

                        Et la ministre de souligner aussi le fait que « le vaccin peut être un outil, mais l’arme majeure contre le cancer du col de l’utérus, c’est la protection et le dépistage systématique. C’est lui qu’il faut renforcer pour dépasser le taux actuel de 60% de femmes qui y recourent. Pas le vaccin anti-HPV imposé. Qui, au passage, coûte la peau des fesses : 390 euros, par personne, avec des cohortes de 27.000 jeunes filles, c’est un marché considérable. Et proposer le vaccin à celles qui ont commencé leur vie sexuelle, alors que son efficacité risque d’être nulle, cela va au-delà de l’entendement », dit notamment Catherine Fonck dans Le Soir. (belga/ca)

                        source : https://www.7sur7.be/7s7/fr/1517/Canal-You/article/detail/536106/2008/12/08/Fonck-ne-veut-pas-imposer-le-vaccin-contre-le-cancer-du-col-de-l-uterus.dhtml


                        • Gérard 17 janvier 2019 13:54

                          @njama
                          Le vieil argument (2008 !) sur la position de Catherine Fonck sur ce vaccin est totalement dépassé. C’est l’un des arguments-phares (lol) qu’utilise Initiative Citoyenne pour critiquer la vaccination anti-HPV. Elles utilisent aussi un vieux communiqué de presse de Vie Féminine, une association féministe belge.

                          Outre le fait que ça ne constitue en aucune façon, une preuve de quoi que ce soit, je remarque plusieurs choses :

                          Mme Fonck (et Vie Féminine aussi d’ailleurs) n’a plus émis de réserve sur l’efficacité ou la sécurité du vaccin HPV depuis lors. Notons que, même si elle avait continué à émettre des réserves sur le vaccin, ça n’aurait en aucun cas constitué la preuve de quoi que ce soit.
                          Une décision politique (ou juridique) n’est pas forcément le reflet d’un consensus scientifique (il est possible de citer de nombreux exemples pour illustrer cela).
                          —Mme Fonck n’est actuellement plus Ministre de la santé. Par contre, elle fait partie du même parti (le CDH) que l’actuelle Ministre de la santé (Alda Gréoli). Celle-là même qui souhaite étendre la vaccination scolaire anti-HPV aux garçons.

                          https://www.lecho.be/economie-politique/belgique/general/la-vaccination-du-papillomavirus-generalisee/10069063.html

                          Si vous souhaitez être un petit peu crédible, abandonnez ce genre d’arguments qui n’a ni queue ni tête.


                        • njama njama 17 janvier 2019 09:46

                          Les années ont passé depuis cette prise de position de Mme Fonck, et l’efficacité n’est toujours pas démontrée ! La version Gardasil 9 n’apportant rien de plus que la très controversée précédente ainsi que le reconnaissait publiquement la HAS.

                          Cancer du col de l’utérus : le nouveau vaccin Gardasil-9® ne protègera pas davantage 20 octobre 2017

                          ... Un nouveau sera prochainement disponible : le Gardasil-9®. Il protège contre 5 souches supplémentaires de HPV. La HAS avait estimé en septembre 2017 qu’il n’apportait « pas d’amélioration du service médical rendu par rapport à Gardasil® dans la prévention des lésions pré-cancéreuses et cancéreuses liées à certains HPV ».

                          Un vaccin « modérément utile »

                          Selon la Commission de transparence de la HAS, la réduction absolue de l’incidence des cancers du col associée à la couverture des HPV additionnels 31, 33, 45, 52 et 58 ne serait que de 0,2 pour 100 personnes-années à 43 mois de suivi. « Le vaccin 9 valent sera modérément utile en France car il ne contient pas les 3ème, 6ème et 7ème génotypes qui sont les plus fréquents chez nous qui sont les HPV 51, 56 et 53 » avait déclaré Isabelle Heard de l’Institut Pasteur au site médical Medscape, en 2014.


                          • njama njama 17 janvier 2019 09:53

                            Le docteur Gondry et la société française de colposcopie négligent-ils les données publiées par la HAS ?

                            HAS Gardasil 9

                            Amélioration du service médical rendu (ASMR)
                            V (absence)
                            Compte-tenu :
                            - de l’efficacité de GARDASIL dans la prévention des lésions précancéreuses de haut grade dues aux HPV 6, 11, 16 et 18,
                            - du faible surcroit d’efficacité de GARDASIL 9 par rapport à GARDASIL, limité aux HPV additionnels 31, 33, 45, 52 et 58 (réduction absolue de l’incidence de 0,2 pour 100 personnes-années à 43 mois de suivi),
                            - des incertitudes concernant l’efficacité qui sera obtenue en termes de prévention des cancers dans les populations recommandées en France,
                            la Commission considère que GARDASIL 9 n’apporte pas d’amélioration du service médical rendu (ASMR V) par rapport à GARDASIL dans la prévention des lésions ano-génitales précancéreuses et cancéreuses liées à certains HPV (cf. paragraphe 06), dans les populations recommandées par le HCSP (Haut Conseil de la santé publique).

                            • Gérard 17 janvier 2019 16:13

                              @njama
                              Le fait que la HAS rapporte un faible surcroît d’efficacité du Gardasil9 par rapport au Gardasil est notamment un signe de la très bonne efficacité du Gardasil.


                            • njama njama 17 janvier 2019 10:31

                              Le docteur Gondry et la société française de colposcopie négligent-ils les données officielles publiées par l’Agence nationale de sécurité du médicament  ?

                              A décharge, les données de l’ANSM n’ont pas été actualisées sur leur site depuis 2014. Elles restent néanmoins assez inquiétantes et devraient inciter à la prudence, voire à un moratoire sur la vaccination anti-HPV avec le Gardasil !

                              ANSM - 26/11/2013 - Gardasil : vaccination contre les papillomavirus humains (HPV) - Point d’information

                              Les données actualisées en 2013 de l’ANSM font état de « 435 cas d’effets indésirables graves dont 135 de maladies auto-immunes incluant 15 cas de SEP »

                              ANSM - 10/04/2014 - Gardasil : actualisation des données de sécurité sur le vaccin contre les papillomavirus humains - Point d’information

                              Depuis la commercialisation en France de Gardasil et jusqu’au 20 septembre
                              2013, 5,5 millions de doses ont été distribuées. 2092 notifications d’effets indésirables médicalement confirmées, dont 503 graves[3] , ont été recueillies et analysées. La majorité de ces notifications (76 %) correspond donc à des cas non graves (douleurs au site d’injection par exemple). Quant aux manifestations auto-immunes, qui ont fait l’objet d’une attention particulière dans ce nouveau bilan, leur nombre reste faible au regard de la population exposée (127 cas notifiés en France dont 17 cas de sclérose en plaques, depuis le début de la commercialisation)


                              • Gérard 17 janvier 2019 15:35

                                @njama
                                1/ Il aurait peut-être été honnête de votre part de signaler que les notifications d’effets secondaires n’ont pas toutes un lien causal avec le vaccin.

                                2/ Dans le lien que vous donnez, il est aussi dit ceci "D’autre part, les résultats[4]  des études françaises et internationales réalisées dans le cadre du suivi de ce vaccin n’ont pas mis en évidence d’éléments remettant en cause son profil de sécurité.

                                "

                                [4] - Chao C, Klein NP, Velicer CM, Sy LS, Slezak JM, Takhar H et al. Surveillance of autoimmune conditions following routine use of quadrivalent human papillomavirus vaccine. J Intern Med 2012 ; 271 : 193-203

                                 - Grimaldi-Bensouda L, Guillemot D, Godeau B, Bénichou J, Lebrun-Frenay C, Papeix C et al. Autoimmune disorders and quadrivalent papillomavirus vaccination of young female subjects. J Intern Med 2013, doi/10.1111/joim.12155

                                - Klein NP, Hansen J. Chao C, Velicer C, Emery M, Slezak J et al. Safety of quadrivalent human papillomavirus vaccine administered routinely to females. Arch Pediatr Adolesc Med 2012 ; 166 : 1140-8

                                 - Gee J, Naleway A, Shui I, Baggs J, Yin R, Li R et al. Monitoring the safety of quadrivalent human papillomavirus vaccines : findings from the Vaccine Safety Datalink. Vaccine 2011, 29 : 8279-84

                                 - Arnheim-Dahlström L., Pasternak B, Svanström H, Sparén P, Hviid A. Autoimmune, neurological, and venous thromboembolic adverse events after immunisation of adolescent girls with quadrivalent human papillomavirus vaccine in Denmark and Sweden cohort study. BMJ : 347 : f5906


                              • Hannibal42 18 janvier 2019 01:52

                                https://www.parismatch.com/Actu/Sante/Rien-ne-justifie-de-recommander-le-vaccin-Gardasil-contre-les-infections-au-papillomavirus-1599033

                                Des fois qu’on ignorerait encore que ce « vaccin » (arme biotechnologique serait plus approprié) est une belle saloperie passée en force sur le marché.

                                Voir aussi le cas de Peter Gøtzsche, c’est très instructif et révélateur de la corruption institutionnalisée.


                                • Gérard 18 janvier 2019 09:53

                                  @Hannibal42
                                  Que le vaccin soit (ou soit soi-disant) passé « en force sur le marché » ne permet pas d’affirmer que le vaccin soit « une belle saloperie », et encore moins qu’il constitue une « arme bactériologique » (pour reprendre vos termes plein de nuance).
                                  Je me demande si dans 30 ans, quand on aura accumulé une abondance de preuves de l’efficacité du vaccin, les anti-vaccins continueront à s’acharner bêtement sur le contexte de la mise sur le marché. 

                                  Contrairement à ce que Mme Riva affirme, il existe des preuves extrêmement solides de la sécurité et de l’efficacité de ce vaccin. La cueillette des cerises rend aveugle.

                                  Je me demande à qui elle fait référence quand elle affirme :
                                  "Contrairement à ce que ces derniers affirment, on manque de données fiables sur la sécurité des vaccins anti-HPV. Chaque fois que des chercheurs diligents, qui n’ont rien d’anti-vaccinaliste, se demandent si telle maladie ou tel syndrome pourrait être lié à l’un de ces vaccins, le chœur des furies se déchaîne et les cloue au pilori au nom du prétendu danger que leurs questions feraient courir à la couverture vaccinale.

                                  "


                                • njama njama 18 janvier 2019 10:26

                                  @Gérard « il existe des preuves extrêmement solides de la sécurité et de l’efficacité de ce vaccin. »
                                  affirmation qui ne mange pas de pain et crédible si l’on dissimule sous le tapis les effets iatrogéniques de ce vaccin, comme des autres, en mettant en tête de gondole la balance « bénéfices-risques » qui est un concept « utilitariste » ... le (soi-disant) bien-être du plus grand nombre, fût-il au détriment d’un nombre de victimes de ces pratiques. Ah, le fumeux taux de couverture vaccinale !!!!

                                  Des chiffres en progression corrélativement à la progression de cette vaccination !
                                  EVENTS REPORTED TO VAERS AFTER HPV VACCINES THROUGH July 14, 2018
                                  Disabled : 2.773
                                  Deaths : 430
                                  Did Not Recover : 11.860
                                  Abnormal Pap Smear : 673
                                  Cervical Dysplasia : 264
                                  Cervical Cancer : 139
                                  Life Threatening : 931
                                  Emergency Room : 15.672
                                  Hospitalization : 5.894
                                  Extended Hospital Stay : 540
                                  Serious : 8.636
                                  Total Adverse Events : 58.936

                                • Gérard 18 janvier 2019 10:54

                                  @njama
                                  "... on dissimule sous le tapis 

                                  les effets iatrogéniques de ce vaccin, comme des autres ..."

                                  Mais encore ? Quels effets ? Sur base de quelles sources ?

                                  Utiliser le VAERS pour appuyer vos affirmations puériles démontre à quel point vous êtes d’une mauvaise foi malhonnête.
                                  Le VAERS n’a PAS pour vocation de donner une vue correcte de la situation des effets secondaires.
                                  Ce n’est pas moi qui le dit, c’est le VAERS lui-même (sur leur site).

                                  D’autant que ce système est inondé de fausses notifications d’effets secondaires par des antivax de votre acabit.

                                  Tirer des conclusions avec les données du VAERS comme vous le faites, ne rime à strictement rien !


                                • Gérard 18 janvier 2019 10:59

                                  Et j’ajoute que Sanevax, site à propagande nauséabonde antivaccinale, tout comme d’autres sites antivax, tel que Initiative Citoyenne, sont profondément malhonnête d’utiliser ces données pour appuyer leurs thèses fantaisistes.

                                  Ce sont pourtant les premiers à réclamer de l’éthique, de la transparence de données, etc etc,
                                  Cherchez l’erreur !


                                • Gérard 18 janvier 2019 14:15

                                  @njama

                                  Et c’est d’autant plus malhonnête de votre part que cela vous a déjà été expliqué à de nombreuses reprises (par les Vaxxeuses notamment). La base de données VAERS n’est pas pertinente pour analyser la fréquence et la nature des effets secondaires.

                                  Cela signifie que vous débitez votre propagande en ne vous remettant en cause à aucun moment.

                                  Et que même quand on vous met le nez devant vos absurdités, vous persistez à les colporter.

                                  En fait, vous êtes exactement la caricature que vous faites des méchants médecins-vaccinateurs : vous n’êtes qu’un mouton qui répète sans réfléchir des arguments biaisés, vous êtes dogmatique, vous êtes un négationniste de la science, vous contribuez à colporter des absurdités dont les conséquences si elles sont appliquées peuvent se révéler dramatiques, vous êtes une caricature à vous tout seul de ce qu’est l’antivaccinalisme (non, ne prenez pas ça pour un compliment), vous êtes un antivax dans toute sa splendeur, toutes ses contradictions, toute sa haine contre la médecine, la science. Vous êtes une plaie pour notre société.


                                • Hannibal42 18 janvier 2019 14:22

                                  @Gérard : Quand on a recours à ce genre de méthode je considère pour ma part qu’il y a trafique d’influence et que au minimum ça pue.

                                  https://www.usinenouvelle.com/article/francois-hollande-rehabilite-le-vaccin-contre-le-cancer-du-col-de-l-uterus.N238037

                                  Le Japon à fait son boulot sur ce dossier là quoiqu’il semble éviter de trop se mouiller en ne le recommandant simplement pas au lieu de l’interdire complètement : https://www.usinenouvelle.com/article/le-gardasil-un-vaccin-plebiscite-partout-sauf-au-japon.N220847

                                  Le taux de natalité étant déjà ultra dégressif là-bas il n’était pas nécessaire d’avoir recours au Gardasil.

                                  Quand à la cueillette des cerises ou cherrypicking si je comprend bien, c’est carrément du foutage de gueule vu comment procèdent les labos et les états pour autoriser les vaccins avec des études bidonnées y comprit au sein du Cochrane maintenant, c’est précisément ce que dénonce Mme Riva et Peter Gøtzsche.


                                • Gérard 18 janvier 2019 14:57

                                  @Hannibal42

                                  "’il y a trafique d’influence et que au minimum ça pue

                                  « 

                                  Ah oui, dès qu’il y a des gros sous et du Bigpharma, ça vous semble suspect hein. Mais avec des suspicions de telle facture, on ne fait pas avancer la science.

                                  Vous citez le Japon. Excellent ça !
                                  Le ministre de la santé japonais ne recommande plus le vaccin HPV suite à la notification de 176 effets secondaires, alors qu’il a lui-même reconnu qu’il n’y avait pas forcément de lien causal.
                                  Si on prend en compte ce chiffre, cela signifie que dans 0,0019% des cas (ou dans 1,9 cas sur 100.000), il y a un lien temporel (mais pas forcément un lien causal).

                                  C’est très peu, très très peu. Et c’est l’une des nombreuses preuves que le vaccin est très sûr. Je vous remercie d’avoir évoqué ce point.

                                   »vu comment procèdent les labos et les états pour autoriser les vaccins avec des études bidonnées y comprit au sein du Cochrane maintenant, c’est précisément ce que dénonce Mme Riva et Peter Gøtzsche.

                                  "

                                  C’est marrant de parler d’études bidonnées quand on regarde la qualité des études qui démontrent la sécurité et l’efficacité du vaccin HPV par rapport à celles qui démontrent (soi-disant) des failles.
                                  Avant de balayer devant la porte de la vraie science, balayez donc le seuil très encrassé de votre porte d’antivaccin primaire.


                                • Gérard 18 janvier 2019 15:08

                                  @Hannibal42

                                  Et concernant le japon, comme des personnes faisant fonctionner un minimum leur cerveau, vous l’auront sûrement déjà fait remarquer :

                                  Une décision politique (ou juridique) n’est jamais la preuve de quoi que ce soit en science.

                                  Répétez cette phrase 20 fois avant de dormir pendant 20 jours. Ça commencera peut-être à rentrer.


                                • njama njama 19 janvier 2019 02:18

                                  @Gérard
                                  Vous pouvez critiquer les données du VAERS, organisme de pharmacovigilance indépendant aux États-Unis, mais que dire des sous-notifications avérées de la pharmacovigilance en France quand c’est le REVAHB une association bénévole qui transmet plus des 2/3 des dossiers d’effets secondaires graves consécutifs à la vaccination à l’ AFSSAPS et à l’ANSM eux-mêmes censés les avoir collectés. Défauts de signalements (?)...
                                  « A l’heure actuelle, [depuis 1997] plus de 3000 personnes ont déclaré un effet secondaire post-vaccinal grave auprès de notre association. » http://www.revahb.fr/1-3-Missions-association.htm Effets secondaires graves très vraisemblablement eux-mêmes sous-notifiés.
                                  Visiblement vous, comme le commentateur les Vaxxeuses *, êtes dans le déni total de cette réalité que les vaccins induisent un taux non négligeable d’effets secondaires graves, voire mortels dans certains cas que « votre science des vaccins » préfère ne pas prendre en compte si pas les ignorer totalement semble-t-il... Vous pouvez toujours prétendre que les vaccins ont sauvé des vies, des millions même paraît-il chaque année (peut-on se permettre d’en douter ?), mais ils ont laissé dans leur sillage une hécatombe d’éclopés à vie, et des cohortes de décès.
                                  * (je cite) les Vaxxeuses 28 décembre 2018 12:29 :REVAHB l’Association des PERSONNES QUI SE CROIENT victimes du vaccin Hepatite B


                                • njama njama 19 janvier 2019 02:36

                                  @Gérard
                                  Une décision politique (ou juridique) n’est jamais la preuve de quoi que ce soit en science.

                                  Je suis bien d’accord avec vous que ce n’est pas au corps politique de faire de a médecine, il n’a pas vocation à « prescrire », et n’a pas été mandaté pour ce faire. Tout au plus il ne devrait pas s’autoriser à aller plus loin que de faire de simples « recommandations ».
                                  Mais alors quel dommage que Mme Buzyn n’ait pas répété votre phrase 20 fois avant de dormir pendant 20 jours ! et quel désastre démocratique ! et éthique ...
                                  Au lieu de cela elle crut bon « d’obliger pour convaincre », à contresens de l’éthique médicale, des droits du patient à son libre consentement, à contresens de lois, de conventions internationales...
                                  Serait-ce donc sa version de la démocratie sanitaire ? qui selon la définition des ARS serait « une démarche qui vise à associer l’ensemble des acteurs du système de santé dans l’élaboration et la mise en œuvre de la politique de santé, dans un esprit de dialogue et de concertation. »

                                  Résultat, une infantilisation du patient, et une dictature de la pensée (de la science des vaccins ?) dans les faits  !


                                • njama njama 19 janvier 2019 03:04

                                  @Gérard

                                  Non les vaccins n’ont pas sauvé des millions de vies...
                                  Quel propos « négationniste » allez-vous me rétorquer peut-être (?)
                                  Une p’tite histoire de carottes contée par Bernard Guennebaud mathématicien dans son dernier article (BCG épisode 3) sur l’AIMSIB pour ruiner la légende :

                                  L’argument clé à l’origine de cette double politique de libération et de renforcement de la vaccination BCG fut une modélisation qualifiée de mathématiques présentée à l’audition par Daniel Lévy Bruhl, le Monsieur vaccin de l’InVS ([5] p 95). Elle avait auparavant été décrite dans [7]. Cette modélisation cherchait à évaluer le nombre de cas de tuberculose évités par la vaccination sur une période de 6 ans, entre 1997 et 2002. On peut la raconter avec une histoire de carottes qui pourraient pourrir :

                                  Dans un lot de 300 carottes, on en traite 240 avec un produit chimique ayant une efficacité annoncée de 50% pour protéger les carottes de la pourriture. Il y en a donc en principe 120 qui sont non protégées en plus des 60 non traitées, soit 180 carottes non protégées et 120 qui sont protégées. On trouvera 60 carottes pourries, soit le tiers des 180 non protégées. On peut donc dire qu’en l’absence de traitement, une carotte sur trois va pourrir. On en déduit, en transportant cette proportion sur les 120 carottes protégées, que 40 de ces carottes auraient pourri en l’absence de traitement.

                                  A ceci près que les 240 carottes traitées étaient au grenier, en milieu sec où aucune n’avait pourri alors que les 60 autres étaient à la cave, en milieu humide où elles avaient toutes pourri !

                                  Le mode de calcul utilisé par Lévy Bruhl est une simple règle de trois : 3 choux coutent tant, combien coutent 10 choux ? Avec une condition essentielle mais trop souvent oubliée qu’il faut que tous les choux soient au même prix ! Or ici cette condition n’est pas du tout réalisée, avec des risques d’exposition à la tuberculose qui sont très différents selon les milieux sociaux comme l’illustre mon histoire de carottes stockées à la cave ou au grenier. Il avait été établi depuis longtemps par des expérimentations sur des bovins, que l’efficacité du BCG était sous la dépendance très forte de l’importance de la contamination. J. Basset en rappelle les résultats dans son ouvrage [8].

                                  lire l’article source : https://aimsib.org/2019/01/13/bcg-episode-3-la-marche-lente-vers-sa-suspension-dobligation/


                                • njama njama 19 janvier 2019 03:09

                                  @Gérard

                                  Béchamp avait raison, le microbe n’est rien, le terrain est tout ...
                                   smiley


                                • Gérard 19 janvier 2019 08:04

                                  @njama

                                  1/ Je ne critique pas le VAERS, Je décris simplement ce qu’il est (et comment il se définit lui-même) : il est un système de notifications d’effets secondaires sur lequel on ne peut pas se fier pour analyser la fréquence et la nature des effets secondaires rapportés. 
                                  Je persiste donc à dire que vous êtes profondément malhonnête de persévérer à diffuser ces statistiques qui n’ont d’autre but que de créer la peur des vaccins chez ceux qui vous lisent 

                                  2/ Vous déviez le sujet vers l’association militante antivaccination REVAHB

                                  . Vous comptez sur eux pour rapporter fidèlement, objectivement et de manière détaillée des effets secondaires ? 
                                  C’est aussi absurde que de demander à Initiative Citoyenne de donner un compte-rendu objectif sur la situation de la vaccination en Belgique. Ou demander à Age of Autism de rapporter des cas d’autisme post-vaccinaux.

                                  Vous êtes complètement à côté de la plaque.

                                  3/ Vous interprété de manière erronée ma phrase :
                                  Une décision politique (ou juridique) n’est jamais la preuve de quoi que ce soit en science.

                                  Votre mauvaise interprétation n’a rien de bien surprenant venant de vous (la malhonnêteté intellectuelle étant le meilleur qualificatif qui vous corresponde).

                                  Du coup, votre prose sur le désastre démocratique et autres guignoleries tombe à plat. 

                                  4/ Merci pour cette grosse référence (un mathématicien qui se croit expert en vaccin) qui utilise des choux et des carottes pour expliquer l’évaluation de l’efficacité du BCG.
                                  SUPER CREDIBLE comme référence !!

                                  5/ Et pour terminer, le must du must, l’argument irréfutable, l’argument qui envoie du lourd, l’argument CHOC, l’argument massue de njama :

                                  « Béchamp avait raison, le microbe n’est rien, le terrain est tout ... »

                                  A ce que je sache, la médecine scientifique se fonde depuis 200 ans sur, notamment, des concepts pasteuriens (avec le succès qu’on lui connaît : notamment une augmentation spectaculaire de l’espérance de vie (notamment grâce aux vaccins)).

                                  Par contre, les progrès médicaux issus des travaux de Béchamp ... se compte au maximum sur les doigts d’une main.

                                  D’ailleurs, c’est ce qui est dit dans l’article wikipédia que vous proposez :

                                  « De nos jours, et du fait des progrès de la biologie cellulaire, la théorie de Béchamp est considérée comme totalement infondée, même si l’existence de bactéries intracellulaires et de nanobactéries est admise. Les principaux tenants des théories de Béchamp sont désormais des partisans des »médecines alternatives« comme Hulda Regehr Clark et Tamara Lebedewa, ou des médecins et biologistes marginaux produisant des théories pseudo-scientifiques. »


                                • njama njama 19 janvier 2019 12:51

                                  @Gérard
                                  réponse au point 4/ 

                                  si vous avez lu les articles de ce mathématicien docteur ès sciences, ancien chercheur au CNRS, et/ou son Blog, vous devriez de vous-mêmes constater que Marcel Ferru pédiatre prophétisait en 1977 déjà sur La faillite du BCG sachant que l’inefficacité de ce vaccin comme son peu d’innocuité était déjà connue en 1961*. Et aujourd’hui, depuis 2007, bien que de très nombreux pays l’aient abandonné depuis quelques décennies en raison qu’il est aussi inutile qu’inefficace, y compris l’industriel qui fabrique le Monovax (comme quoi l’industrie se fout pas mal de la santé publique qui n’est pas son métier) « la patrie de Calmette et Guerin » continue de le recommander, de l’administrer en masse, perplexe, naviguant depuis une dizaine d’années entre la levée de l’obligation vaccinale et la recommandation systématique de vaccination par le BCG de tous les enfants. Alors même que dans les milieux à risques la tuberculose s’avère plus virulente chez les enfants vaccinés que chez les non-vaccinés.
                                  Dilemme kafkaïen que d’admettre d’avoir poursuivi depuis les années 50 une aussi inutile que coûteuse politique vaccinale pour la société, dilemme que cet échec qui met à mal « la science des vaccins » autant que le fumeux dogme du taux de couverture vaccinale, lequel quoique très élevé jusqu’à la levée de l’obligation n’a en rien contribué à éviter des cas de tuberculose.
                                  Ou plus prosaïquement puisqu’il en va d’intérêts nationaux (pas ceux des patients), dilemme de renoncer à un tel blockbuster ?

                                  * article du journal québécois Le Devoir datant déjà de 2007 titrait « Le vaccin BCG serait inefficace depuis 1961 ». On pouvait notamment y lire :

                                  « Le vaccin antituberculeux BCG, dont près de deux millions de doses sont administrées chaque semaine à travers le monde, serait-il inefficace ? La cartographie du génome du bacille composant le vaccin semble le confirmer. Du moins, elle raffermit les conclusions de diverses études cliniques qui depuis 1961 révélaient son inutilité. »


                                • njama njama 19 janvier 2019 13:03

                                  @Gérard
                                  réponse au point 5/ A ce que je sache, la médecine scientifique se fonde depuis 200 ans sur, notamment, des concepts pasteuriens (avec le succès qu’on lui connaît : notamment une augmentation spectaculaire de l’espérance de vie (notamment grâce aux vaccins)).

                                  Votre naïveté me confond tant vous idéalisez la vaccination ... à moins qu’il ne s’agisse de votre ignorance de faits historiques. 200 ans dites-vous ! Pasteur (1822-1895).

                                  LEICESTER : Haut lieu historique de la résistance à l’idéologie vaccinale

                                  [...] La première loi vaccinale fut promulguée en 1840. En 1853, la vaccination antivariolique était devenue obligatoire. Les parents devaient vacciner leurs enfants de 3 mois avec du « pus » vaccinal.

                                  En 1869, il y eut une telle tempête de protestations au sujet des graves problèmes causés par la vaccination que l’on vit pleuvoir les amendes, les confiscations de biens, ainsi que les emprisonnements. Malgré toutes ces mesures, la majorité de la population était décidée à passer outre pour éviter la dégradation de la santé des enfants.

                                  C’est en 1869 que la Ligue Antivaccinale fut crée à Leicester. En 1867, soit deux années avant la création de la Ligue, 94% de la population était vaccinée. En dépit de ces taux très élevés de vaccination, Leicester enregistra des taux très importants de décès, tant chez les non vaccinés que chez les vaccinés.

                                  [...] lire l’article : http://initiativecitoyenne.be/2017/09/leicester-en-angleterre-haut-lieu-de-la-resistance-a-l-ideologie-vaccinale.html


                                • njama njama 19 janvier 2019 13:25

                                  @Gérard
                                  réponse au point 3/
                                  Vous savez Mme Buzyn comme ses prédécesseurs ne décident de rien, elles ne font qu’exécuter un Plan Mondial défini par l’OMS, notamment au sujet de la vaccination anti-HPV, ou le fumeux Global Health Sécurity Agenda décidé à Washington

                                  qui a mis la rougeole cette maladie infantile bénigne en tête de gondole pour promouvoir les vaccins en tous genres... GLOBAL HEALTH SECURITY AGENDA

                                  D’ailleurs à ce sujet l’OMS classe en 2019 les anti-vaccins parmi les 10 plus grandes menaces mondiales ! si, si ne riez pas ...
                                  Ten threats to global health in 2019
                                  Vaccine hesitancythe reluctance or refusal to vaccinate despite the availability of vaccines – threatens to reverse progress made in tackling vaccine-preventable diseases.
                                  In 2019, WHO will ramp up work to eliminate cervical cancer worldwide by increasing coverage of the HPV vaccine, among other interventions.
                                  https://www.who.int/emergencies/ten-threats-to-global-health-in-2019


                                • njama njama 19 janvier 2019 13:37

                                  @Gérard

                                  La feuille de route de Mme Buzyn :
                                  OMS
                                  Guide d’introduction du vaccin anti-PVH dans les programmes nationaux de vaccination
                                  Nombre de pages : 108
                                  Date de publication : février 2017
                                  Langues : français, anglais, portugais
                                  Télécharger Guide d’introduction du vaccin anti-PVH dans les programmes nationaux de vaccination
                                  Overview

                                  Ce guide est destiné aux administrateurs de programmes nationaux de vaccination et aux partenaires pour informer les débats politiques et les aspects opérationnels de l’introduction du vaccin anti-PVH dans les programmes nationaux de vaccination et de fournir des références à jour sur la politique mondiale et sur les questions techniques et stratégiques liées à l’introduction du vaccin anti-PVH.

                                  https://www.who.int/immunization/documents/ISBN_9789241549769/fr/


                                • njama njama 19 janvier 2019 13:49

                                  voir plus particulièrement dans le PDF

                                  2. PRISE DE DÉCISIONS AU NIVEAU NATIONAL
                                  Quel doit être le processus ? p.13
                                  Quelles informations sont nécessaires ? p.14
                                  La vaccination contre le PVH sera-t-elle viable financièrement ? p.15
                                  Quelle est la meilleure stratégie d’administration pour le vaccin anti-PVH ? p.17
                                  Comment la vaccination contre le PVH peut-elle être intégrée à d’autres interventions vaccinales ou sanitaires ? p.23
                                  Quelles politiques faut-il mettre en place ? p.26
                                  Quelles parties prenantes doit-on inclure dans le processus ? p.27

                                  3. PLANIFICATION p.28
                                  Quels plans doit-on élaborerou revoir ? p. 29
                                  Comment planifier l’introduction nationale ? p.29

                                  ...


                                • Gérard 19 janvier 2019 14:17

                                  @njama

                                  Ah bien si Marcel Ferru, illustre inconnu mais à ce qu’il paraît, pédiatre, a dit (prophétisé ! dites vous) en 1977 (! !) que le BCG est une daube ... alors,
                                  alors là, ça m’en bouche un coin terrible.
                                  C’est dommage que ce monsieur ait 0 publications scientifiques à son actif.

                                  A votre avis, à quoi est-ce dû cette absence de publication ? Oh, ne répondez pas ... J’’en ai une vague idée...
                                  Crédibilité zéro !

                                  Votre référence à la ville de Leicester pour démontrer une soi-disante inefficacité de la vaccination est un argument classique des antivax. Lisez donc cet article de Vaxopédia qui rétablit la vérité https://vaxopedia.org/2017/05/06/the-leicester-method-and-smallpox-eradication/

                                  Ah et au passage, vous avez encore changé de sujet puisque cette évocation de la vaccination à Leicester est censé être une réponse à mon commentaire sur Pasteur et Béchamp !!!???
                                  Est-ce que vous comprenez ce que vous lisez ? J’espère que vous n’allez pas me balancer les 1300 articles que compte le blog d’Initiative Citoyenne (blog de désinformation antivaccinale) ... ??

                                  Et pour finir, vous me balancez des liens sur l’OMS, la vaccination, Agnès Buzyn ... et quoi ? Que ne comprenez-vous pas à ces liens ? Qu’avez-vous à leur reprocher ?
                                  Vous voulez comploter contre l’OMS ? Contre Buzyn ? 
                                  Ok, allez-y, mais pendant ce temps là j’attend toujours vos preuves crédibles et sourcées de l’effet « désastreux » du Gardasil sur la santé des jeunes filles.

                                  Vos singeries, vos liens qui contredisent votre propre « argumentaire », vos « preuves » de caniveau, votre fausse naïveté, votre malhonnêteté intellectuelle sont tellement évidentes que vous êtes complètement grillé ici.


                                • njama njama 19 janvier 2019 14:17

                                  @Gérard
                                  Autre précision les récentes obligations vaccinales en tant que telles ne sont plus acceptables. Mme Buzyn et son ministère ont d’ailleurs navigué pour la rendre « obligée » comme condition d’admission en collectivité mais elle n’est pas juridiquement « obligatoire ».

                                  En tout état de cause la vaccination anti-HPV ne pourrait être obligatoire, ni être administrée quelque soit le lieu où serait organisée la vaccination, en milieu scolaire ou non, sans l’incontournable consentement des parents, ainsi qu’il ressort du document de l’ OMS, datant de 2014 dont les 8 députés ont failli à en prendre connaissance avant de déposer leur PROPOSITION DE LOI N° 1118 visant à ajouter le vaccin contre le papillomavirus sur la liste des vaccinations obligatoires.


                                  OMS : CONSIDÉRATIONS RELATIVES AU CONSENTEMENT Á LA VACCINATION DES ENFANTS ET ADOLESCENTS ÂGÉS DE 6 Á17 ANS.
                                  PDF 8 pages http://apps.who.int/iris/bitstream/handle/10665/259419/WHO-IVB-14.04-fre.pdf?sequence=1&isAllowed=y

                                  source : http://www.who.int/iris/handle/10665/259419


                                • njama njama 19 janvier 2019 14:44

                                  @Gérard
                                  puisque vous brandissez souvent comme argument l’absence de lien de causalité établi dans les cas d’effets secondaires graves ou non liés aux vaccins, je vous rappelle que « votre science des vaccins » n’a jusqu’à présent apporté aucune preuve d’un lien de CAUSALITÉ direct entre présence de papillomavirus et cancers cervicaux ...
                                  tout au plus « concomitamment » un lien temporel est établi dans certains cas entre infections HPV et tumeurs.

                                  Les causes du cancer du col de l’utérus sont multiples comme le rappellent la Société canadienne du cancer aucun gynécologue, oncologue,... ne l’ignore.

                                  Et donc « prétendre » que ce vaccin protège contre le cancer de l’utérus n’est pour l’heure qu’une hypothèse scientifique, que les derniers résultats statistiques tendent à invalider puisque l’effet inverse apparaît comme le démontrent un certain nombre d’articles dont ceux de l’auteur.


                                • Gérard 19 janvier 2019 15:14

                                  @njama

                                  Je note un énième changement de sujet de votre part.
                                  Vous êtes le roi du millefeuille argumentatif, vous. Vous tirez sur tout ce qui bouge, tant que ça va dans votre sens.

                                  Et puis, permettez-moi de vous ôter d’un doute : je suis parfaitement sûr que vous avez une bibliothèque de liens moisis antivax qui pourraient faire durer cette conversation pendant des jours, des semaines ou des mois. 

                                  Votre méthode de diversion est minable et représentative.

                                  Mais comme je n’ai pas envie de laisser croire au lecteur lambda que vous seriez susceptible de me clouer le bec, je vais vous répondre.

                                  Je vous propose cette étude japonaise https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/29269635
                                  Elle montre une réduction nette et significative des taux de néoplasmes cervicaux chez les femmes ayant reçu le vaccin contre le VPH. Les chercheurs ont étudié l’incidence de la cytologie et de l’histologie anormales sur le statut vaccinal contre le VPH chez 5.924 femmes, âgées de 20 à 24 ans, dans la préfecture de Miyagi, au Japon.

                                  Le taux de vaccination de ce groupe de femmes était vraiment très bas, 16,9%, probablement en raison du retrait par le ministère japonais de la Santé des recommandations relatives au VPH pour des raisons ridicules.

                                  Les taux d’incidence des lésions intraépithéliales malpighiennes de haut grade ont été réduits de 82,5% chez les femmes vaccinées par rapport aux femmes non vaccinées.
                                  Les taux d’incidence de la néoplasie intraépithéliale cervicale (CIN) 1+ ont été réduits de 64,9% chez les femmes vaccinées contre le VPH.
                                  Les taux d’incidence de CIN 2+ ont été réduits de 85,5% chez les femmes vaccinées.

                                  Ce sont toutes des réductions statistiquement significatives des taux d’incidence des lésions précancéreuses et cancéreuses chez les jeunes femmes. Il n’a pas fallu attendre 20 ou 30 ans pour que cette population obtienne des informations sur l’efficacité du vaccin contre le VPH, mais seulement quelques années. Non seulement cette preuve corrobore nos affirmations selon lesquelles le vaccin anti-HPV prévient le cancer, mais elle devrait également inciter le ministère japonais de la Santé à mettre de côté la pseudoscience qui les a poussés à supprimer les recommandations relatives au vaccin, mais à aller de l’avant et à le recommander vivement à leurs patients, jeunes hommes et femmes.


                                • njama njama 19 janvier 2019 17:39

                                  @Gérard
                                  Votre référence à la ville de Leicester pour démontrer une soi-disante inefficacité de la vaccination est un argument classique des antivax.

                                  Mais pas du tout, ce n’est pas du moins dans ce sens que je vous présentais ce fait historique.
                                  Retenez surtout que la légitime « résistance » anti-vaccinale pour cause de toxicité de cette vaccination antivariolique était parfaitement justifiée, salutaire, et proportionnée aux politiques très coercitives mises en place à l’époque en Angleterre.
                                  Contraindre pour convaincre comme l’a suggéré Mme Buzyn produira assurément les mêmes résultats, une forte réaction immunitaire d’une partie du corps social, de gens qui s’opposeront bec et ongles à la coercition, à cette politique vaccinale de santé publique pour des raisons parfaitement recevables, déontologiquement, scientifiquement, juridiquement et politiquement.
                                  Attendez-vous à plus de virulence alternative de la part de ceux que vous qualifiez d’anti-vaccins (des anti-vaccinolâtres en fait) si la politique de santé publique persiste à persévérer dans ce sens de créer des conditions coercitives, si elle se transformait en une dictature sanitaire aux méthodes vétérinaires qui serait inévitablement interprétée comme un casus belli.
                                  N’oubliez pas que politiquement la résistance à l’oppression est un droit naturel et imprescriptible garanti en France par la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen de 1789, dans son article 2.


                                • Gérard 19 janvier 2019 18:03

                                  @njama

                                  « Retenez surtout que la légitime « résistance » anti-vaccinale pour cause de toxicité de cette vaccination antivariolique était parfaitement justifiée, salutaire, et proportionnée aux politiques très coercitives mises en place à l’époque en Angleterre. »

                                  Ah oui
                                  Justifiée, salutaire et proportionnée dites vous  ?

                                  « La plupart des sujets vaccinés présentent des réactions normales et en général bénignes : bras sensible, fièvre, douleurs. Des tests récents ont établi qu’une personne sur trois se sentait si mal qu’elle n’allait pas au travail, à l’école ou à ses activités de loisir et qu’elle avait des troubles du sommeil après l’administration du vaccin. Ce vaccin présente toutefois quelques risques. Dans le passé, environ 1 000 personnes par million ont eu, lors de la primovaccination, une réaction sérieuse sans que leur vie en soit menacée : vive réaction (allergique ou toxique) sur le point de la vaccination, propagation de la vaccine (la souche vivante du vaccin antivariolique) dans d’autres parties de l’organisme et à d’autres personnes. En général, ces réactions ne nécessitent pas de soins médicaux. Certaines rares personnes ont eu des réactions très graves. Dans le passé, entre 14 et 52 personnes par million ont eu des effets indésirables potentiellement mortels : eczéma vaccinal, vaccinite progressive (nécrosante), encéphalite vaccinale. En fonction de ces expériences, on estime qu’une à deux personnes par million de sujets vaccinés meurent d’une réaction à la vaccination. »

                                  +

                                  « Parsemé d’épidémies meurtrières à répétition, le long parcours du virus de la variole remonte à plus de 3000 ans. Les uns prétendent que ce membre de la famille des orthopoxvirus vit le jour en Inde, d’autres lui attribuent l’Egypte pour lieu de naissance. D’autres encore parlent de foyers chinois. La maladie aurait été importée en Occident au début du XVIe siècle, gagnant l’Europe fin du XVIIIe, entraînant chaque année la mort d’environ 400000 personnes. »


                                • Hannibal42 19 janvier 2019 18:44

                                  @Gérard

                                  Je pars du principe que l’argent corrompt l’intégrité dans la majorité des cas quand bien même ce n’est évidemment pas absolu. Toutefois pour une industrie qui pèse plus de 1000 milliards de dollars par an, j’ai du mal à croire en leur probité et altruisme et ne fait pas grand chose pour inspirer la confiance (cf scandales sanitaires et revolving door avec tentatives de camouflages comme celui de l’essai du Vioxx par exemple).

                                  Quand au vaccin anti-HPV, le mieux est probablement encore de se référer aux essais cliniques originaux et leurs interprétations correctes :

                                  http://icandecide.org/wp-content/uploads/whitepapers/FDA-Gardasil-Error.pdf

                                  Pour le Japon il y y a bien plus de 176 effets secondaires reportés même dans la presse mainstream.


                                • Gérard 19 janvier 2019 20:40

                                  @Hannibal42

                                  Ah oui donc, j’en conclus que votre compltisme de bas étage se base sur votre intuition, votre petit doigt, votre feeling. Cool, super intéressant ces considérations.

                                  « Quand au vaccin anti-HPV, le mieux est probablement encore de se référer aux essais cliniques originaux et leurs interprétations correctes : »

                                  Bah non, les scientifiques se fondent aussi sur les études les plus récentes pour évaluer ce vaccin. Et ces études ont la fâcheuse tendance de confirmer l’efficacité redoutable de ce vaccin.

                                  Et concernant les 176 effets secondaires au japon, voici un lien :
                                  « the incidence of adverse events among a cumulative total of 8,898,000 females, who had been vaccinated in Japan within the period between the initiation of sales of the vaccine and the end of March 2014, was examined, and it was reported that the total number of adverse events, such as chronic pain and motor impairment, was 176 »
                                  http://www.jsog.or.jp/modules/en/index.php?content_id=9
                                  Japan Society of Obstetrics and Gynecology

                                  Persistez vous à nier ce chiffre ?


                                • Hannibal42 20 janvier 2019 01:17

                                  @Gérard
                                  Effectivement mon intuition n’est en rien une preuve formelle. Néanmoins elle se base sur le constat de faits qui le sont et dont vous semblez minimiser voir nier l’existence même.

                                  Prétendre que les études suivantes ont démontré un ratio bénéfice risque extrêmement favorable pour ce vaccin (quasiment du même niveau de sûreté que le vol en avion ce qui tout à fait extraordinaire soit dit en passant pour un cocktail de produits standardisé qu’on injecte à des individus très différents) tout en assurant une pharmacovigilance qui laisse franchement à désirer, c’est déjà à peine croyable.

                                  Souscrire en plus à ces études dont la méthodologie est aussi fallacieuse (c’est précisément les biais méthodologiques que pointent Riva,Gøtzsche et d’autres au Cochrane) que celles qui ont permis la mise sur le marché alors qu’il est factuellement possible de voir dans le document que je vous ai envoyé en lien que ces études initiales révélaient des résultats catastrophiques et une construction de l’étude spécieuse (plus de 2% d’effets secondaires sérieux après rééquilibrage) en essayant de le faire oublier confine à la mauvaise foi au mieux.

                                  Je ne nie pas les chiffres, je remet en cause leur interprétation et je m’efforce de vérifier si ce que l’on veut me faire gober est vraisemblable et ça ne l’est pas, ni pour moi, ni pour njama, ni pour toute une branche du Cochrane.

                                  Vous pouvez vous évertuer à essayer de balayer les critiques mais le doute est déjà insinué dans l’esprit des gens.

                                  Ils peuvent néanmoins aller chez le gynéco pour un frotti, ce sera plus efficace, moins dangereux et surement moins cher.


                                • Gérard 20 janvier 2019 08:29

                                  @Hannibal42

                                  « constat de faits qui le sont et dont vous semblez minimiser voir nier l’existence même  »

                                  Quels sont les faits ?
                                  Parce qu’il y a eu des scandales médicaux qui ne concernent pas les vaccins (Vioxx, et autres), vous en déduisez qu’il doit forcément y avoir un scandale (caché) dans l’industrie du vaccin,

                                  Concernant les effets secondaires des vaccins :

                                  A large study of 790,000 Danish women who received the HPV vaccine found no increased risk of demyelinating diseases, such as transverse myelitis, multiple sclerosis, and other diseases compared to non-vaccinated Danish women. The authors concluded that,

                                  In this study with nationwide coverage of 2 Scandinavian countries, qHPV vaccination was not associated with the development of multiple sclerosis or other demyelinating diseases. These findings do not support concerns about a causal relationship between qHPV vaccination and demyelinating diseases.

                                  Another large study of over 1 million women found no safety signals for autoimmune diseases, neurological and venous thromboembolic (venous blood clots) events in HPV vaccinated women. The researchers deduced that,

                                  This large cohort study found no evidence supporting associations between exposure to qHPV vaccine and autoimmune, neurological, and venous thromboembolic adverse events. Although associations for three autoimmune events were initially observed, on further assessment these were weak and not temporally related to vaccine exposure. Furthermore, the findings need to be interpreted considering the multiple outcomes assessed.

                                  A recent meta-review (considered the pinnacle of biomedical research) of over 100 different safety studies of the HPV vaccine, that included over 2.5 million individuals, found no increased risks of adverse events of special interest (AESI), which are events that can cause serious harm. The authors of this study concluded that,

                                  There was no consistent evidence of an increased risk of any AESI, including demyelinating syndromes or neurological conditions such as complex regional pain or postural orthostatic tachycardia syndromes. The risk-benefit profile for HPV vaccines remains highly favourable.

                                  A peer-reviewed CDC study of 8 years of HPV-vaccine clinical and epidemiological studies found no serious adverse events including TM. Their review of Gardasil safety facts found that,

                                  In the United States, post-licensure vaccine safety monitoring and evaluation are conducted independently by federal agencies and vaccine manufacturers. From June 2006 through March 2014, approximately 67 million doses of HPV4 were distributed in the United States, and from October 2009 through March 2014, a total of 719,000 doses of HPV2 were distributed. Overall, HPV4 has accounted for approximately 99% of doses distributed since 2006. Multiple studies have provided evidence supporting HPV vaccine safety

                                  A study of over 3 million Scandinavian women found no link between the vaccine and demyelinating diseases. The authors stated the following conclusion :

                                  In conclusion, our study of serious adverse event rates in qHPV (quadrivalent Gardasil)-vaccinated and qHPV-unvaccinated adult women 18-44 years of age did not raise any safety issues of concern.

                                  There are at least 10 other large-scale clinical and epidemiological studies that reject the hypothesis of serious adverse events linked to HPV vaccines. These studies included over hundreds of thousands or millions of patients. They are sufficiently powered so that they could potentially uncover even the rarest of adverse events. Yet, they found little to nothing.

                                  Je vous offre le chiffre de 176 sur un plateau. Vous aviez contesté ce chiffre. Et maintenant vous me parlez d’interprétation ??

                                  Quelle est VOTRE interprétation de ce chiffe que je comprennes où vous voulez en venir !!! ??


                                • Hannibal42 18 janvier 2019 14:10

                                  N’oubliez pas de donner à cette adresse pour le financement d’une recherche fiable et indépendante : https://fr.gofundme.com/scientific-freedom/donate


                                  • Gérard 18 janvier 2019 14:30

                                    @Hannibal42
                                    Vous pouvez aussi acheter les livres de Peter C. Gøtzsche, dont celui-ci :
                                    https://www.amazon.fr/Deadly-Medicines-Organised-Crime-Healthcare/dp/1846198844

                                    Il doit absolument figurer en bonne place dans la bibliothèque de tout antivax qui se respecte.


                                  • njama njama 19 janvier 2019 14:49

                                    @Gérard

                                    Le Gardasil 9 inadapté au marché français !

                                    mais que fait donc ce fabricant de vaccins !

                                     smiley

                                    « Le vaccin 9 valent sera modérément utile en France car il ne contient pas les 3ème, 6ème et 7ème génotypes qui sont les plus fréquents chez nous qui sont les HPV 51, 56 et 53 » avait déclaré Isabelle Heard de l’Institut Pasteur au site médical Medscape, en 2014.


                                    • Gérard 19 janvier 2019 15:20

                                      @njama

                                      Vous avez déjà donné ce lien.
                                      Renouvelez-vous mon vieux.

                                      Bon puisque vous insistez voici l’avantage du Gardasil9 sur le Gardasil :
                                      Les études d’efficacité clinique et d’immunogénicité réalisées montrent que le vaccin Gardasil 9 est efficace contre les lésions et infections persistantes dues aux génotypes 6, 11, 16, 18, 31, 33, 45, 52 et 58 observées chez les jeunes femmes de 16 ans à 26 ans, aux filles et aux garçons de 9 ans à 15 ans et aux hommes âgés de 16 ans à 26 ans. L’efficacité du vaccin Gardasil 9 n’est pas inférieure à celle du vaccin Gardasil pour les quatre génotypes communs.

                                      Le vaccin Cervarix contient deux génotypes (16 et 18, responsables surtout de cancers du col de l’utérus mais aussi d’autres cancers), le vaccin Gardasil quatre génotypes (d’une part les génotypes 6 et 11, responsables des verrues génitales, et d’autre part les génotypes 16 et 18) et le vaccin Gardasil 9 neuf génotypes (les quatre génotypes du Gardasil et cinq génotypes supplémentaires responsables de cancers du col de l’utérus et d’autres cancers : 31, 33, 45, 52 et 58).

                                      Vous êtes rassuré ?


                                    • njama njama 19 janvier 2019 16:46

                                      @Gérard
                                      L’immunogénicité ne prouve toujours pas que le(s) papillomavirus serai(ent) (une des) cause(s) du cancer cervical.

                                      le lien de causalité s’il vous plaît ... !!!!

                                      Étant donné le signal statistique fort qui met en évidence l’augmentation de cancer chez les jeunes femmes vaccinées contre le HPV, faudra-t-il assigner le ministère pris en la personne de son ministre (Mme Buzyn actuellement), pour mise en danger de la vie d’autrui ?

                                      Je ne plaisante pas, il y va de la santé de jeunes femmes en France comme dans le monde, comme de leur fertilité. Le borate de sodium (sel de bore), connu pour sa toxicité sur les fonctions de reproduction, contenu dans la composition du Gardasil * ne plaide pas en faveur de son innocuité !
                                      Depuis le 6 nombre 2008, les sels de bore sont classés comme « toxiques » par la réglementation européenne et requièrent l’usage du logo à tête de mort !

                                      Vous qui avez la « science des vaccins », merci de nous préciser les raisons de sa présence incongrue dans cette popote pasteurienne présentée au plan marketing comme une panacée...

                                      * Composition
                                      Antigène
                                      Une dose (0,5 ml) contient environ :
                                      [...]
                                      Autres composants
                                      - Chlorure de sodium
                                      - L-histidine
                                      - Polysorbate 80
                                      - Borate de sodium
                                      - Eau pour préparations injectables


                                    • Gérard 19 janvier 2019 17:50

                                      @njama

                                      « L’immunogénicité ne prouve toujours pas que le(s) papillomavirus serai(ent) (une des) cause(s) du cancer cervical.

                                      le lien de causalité s’il vous plaît ... !!!! »


                                      Vous êtes complètement barjot. 

                                      Puisque mon lien ne vous convient pas. Expliquez-moi quelle preuve vous ferait admettre le lien causal ?


                                      L’étude que je vous ai fourni est déjà extrêmement révélatrice.


                                      Enième changement de sujet avec le borax. 


                                      « La toxicité sur les fonctions de reproduction de l’acide borique et de ses dérivés tels que le borate de sodium (ou borax) présent dans la composition du vaccin GARDASIL sont connues. Chez l’homme, la valeur seuil d’exposition référencée à ne pas dépasser est de 0.2 mg de Bore/kg/jour. Or, une dose vaccinale de GARDASIL contient 35 mcg de borate de sodium soit environ 4,2 mcg de Bore, ce qui est très largement inférieur à la valeur seuil assurant l’innocuité de ce dérivé de l’acide borique. Par ailleurs, il s’agit d’une exposition limitée dans le temps (trois injections espacées chacune d’un intervalle d’au moins deux mois). A l’heure actuelle, cet acide faible est utilisé comme excipient ou comme principe actif pour ses propriétés antiseptique, antifongique ou son pouvoir tampon. De plus, le bilan des données nationales de pharmacovigilance recueillies depuis plus de quatre années d’utilisation du GARDASIL, et présenté à la Commission nationale de Pharmacovigilance de l’AFSSAPS le 22 novembre 2011, a permis de confirmer son profil de sécurité d’emploi rassurant, pour plus de quatre millions de doses vendues. A cet égard, le rapport du Centre Régional de Pharmacovigilance (CRPV) de Bordeaux chargé de la surveillance des évènements indésirables survenus au décours d’une vaccination par GARDASIL est disponible sur le site internet de l’Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé (AFSSAPS) (www.afssaps.fr). Par ailleurs, le récent rapport du Haut Conseil de Santé publique (HCSP) portant sur la stratégie de prévention globale des cancers du col de l’utérus fait état des données actualisées de tolérance du GARDASIL, publié sur son site (www.hcsp.fr) et précise qu’il n’existe à ce jour aucune donnée susceptible de remettre en cause son efficacité ou suggérant un caractère potentiellement délétère du vaccin dans certaines catégories de la population, en particulier de risque de survenue de cancer chez des femmes préalablement infectées. De plus, le suivi des effets secondaires notifiés dans les suites d’une vaccination HPV n’a révélé à ce jour aucun signal de pharmacovigilance. »



                                      Hop, désinformation suivante !!!!!??




                                    • njama njama 20 janvier 2019 10:27

                                      @Gérard
                                      Expliquez-moi quelle preuve vous ferait admettre le lien causal ?

                                      Il me semble pour le moins que les prétendues vertus de ce vaccin anti-HPV ne pourraient correspondre à la réalité de terrain sauf à admettre que les papillomavirus seraient cause (principale ?) des cancers cervicaux, ce qui ne se peut évidemment compte-tenu des différentes causes possibles reconnues liées à ce type de cancer contre lesquelles ce vaccin Gardasil ne pourra rien. La présence de papillomavirus est dans la plupart des cas anodines, ils disparaissent d’eux-mêmes. Peut-être leur présence est-elle simplement commensale (?) pour des raisons que nous ignorons encore, et non pas pathologique (oh, les virus virus...).
                                      N’y aurait-il pas tromperie sur la marchandise au sujet de ce premier vaccin qui prétend éviter des cancers ? si pas une escroquerie intellectuelle à grande échelle ?
                                      > Virus du papillome humain (VPH) La majorité des femmes qui développent un cancer du col de l’utérus ont déjà souffert d’une infection au VPH. ...

                                      > Tabagisme. ...
                                      > Accouchements multiples. ...
                                      > Activité sexuelle. ...
                                      > Système immunitaire affaibli. ...
                                      > Statut socio-économique. ...
                                      > Diéthylstilbestrol. ... (sinistrement connu en France sous le nom de Distilbène retiré du marché en 1977
                                      > Contraceptifs oraux.



                                    • njama njama 20 janvier 2019 10:44

                                      @Gérard
                                      Enième changement de sujet avec le borax.
                                       

                                      La question n’est pas anodine, sans changer de sujet puisque nous restons dans les « ingrédients » du Gardasil. Même si l’ASNM se veut rassurante, notons qu’elle est juge et partie sur cette question puisque c’est elle qui a défini le seuil acceptable en Juillet 2013.
                                      « 1. Concernant le risque reprotoxique
                                      La valeur limite d’exposition assurant l’innocuité de l’acide borique et de ses dérivés, aussi bien au regard du risque tératogène que du risque sur la fertilité masculine et du risque d’atteinte testiculaire, a été déterminée par l’ANSM à 0,2 mg équivalent bore/kg/j... »

                                      voir PDF de l’ANSM Mise-en-garde-25072013Acide-borique-preparations hospitalieres.pdf


                                    • njama njama 20 janvier 2019 11:00

                                      @Gérard
                                      borax suite ...

                                      Question publiée au JO le : 07/02/2012 page : 1045
                                      Rudy Salles appelle l’attention de M. le ministre du travail, de l’emploi et de la santé sur la présence de sels de bore dans le vaccin Gardasil. Depuis le 6 novembre 2008, les sels de bore sont classés par la réglementation européenne comme toxiques.[...] Un tel conservateur dans les vaccins contre les infections du col de l’utérus est d’autant plus inquiétant au regard des études cliniques préalables à la mise sur le marché. Cinq femmes tombées enceintes 30 jours après leur vaccination ont eu des bébés anormaux comme le rapporte l’avis du CTV [Comité Technique des Vaccinations] et du CSHPF [Conseil supérieur d’hygiène publique de France, créé en 1848, dissolution en 2006] relatif à la vaccination contre les papillomavirus humains.

                                      Réponse du ministre publiée au JO le : 08/05/2012 page : 3717

                                      [...] Lire : http://questions.assemblee-nationale.fr/q13/13-127937QE.htm

                                      plutôt non-réponse...puisqu’il se réfugie derrière les données le l’ANSM qui elle-même avait défini le seuil acceptable concernant le risque reprotoxique, les cinq victimes passant aux oubliettes

                                      Rappelons que ce même ministre de la santé du gouvernement Dominique de Villepin (2005-2007)

                                      Xavier Bertrand pour le nommer avait fait passer l’AMM du du Gardasil®

                                      à la hussarde en novembre 2006.

                                      A-t-il touché des pots-de-vin de MSD ? on se le demande ?

                                      Dans la récente liste de médicaments sous surveillance figure le Gardasil®, vaccin qui ne va pas tarder à rattraper le ministre qui s’est commis avec l’industrie pharmaceutique, c’est le moins qu’on puisse dire. Il en a été le défenseur à tout crin et de plusieurs manières.

                                      A-t-il appliqué le principe de précaution pour le Gardasil® ? Pas vraiment !

                                      Ce vaccin obtient son AMM de manière très rapide (9 mois entre le dépôt de la demande et l’obtention juin 2006 ), pendant le passage de Xavier Bertrand à la tête du ministère de la santé (du 2 juin 2005 au 26 mars 2007), ce qui provoque déjà l’étonnement des spécialistes.

                                      Puis en février 2007 alors qu’il sait qu’il va quitter le ministère de la santé, il prend une position surprenante : Deux mois avant que la commission de la HAS ne rende son avis, il annonce à l’Assemblée Nationale que le vaccin Gardasil® sera remboursé à 65 % comme les autres médicaments avant la fin du 1er semestre. Il coupe ainsi l’herbe sous les pieds de la commission chargée de proposer ou refuser le remboursement du vaccin. Interrogé sur l’avis favorable donné ultérieurement (le 18 avril 2007) par la commission, son président, avouera : « Le ministre avait déjà annoncé son remboursement ». Et le 11 juillet 2007, sous la référence JORF 159, le JO publie l’arrêté fixant les conditions de remboursement du vaccin Gardasil® limité aux adolescentes de 14 ans et aux femmes de 15 à 23 ans n’ayant pas encore eu de rapports sexuels.

                                      Il est certain que sans prise en charge par la Sécurité Sociale ce produit n’aurait eu aucune chance de devenir un Blockbuster.


                                      Source :Gardasil® : Aujourd’hui le ministre de la santé lave plus blanc que blanc
                                      par LNPLV samedi 29 janvier 2011


                                    • njama njama 20 janvier 2019 11:27

                                      Devenues stériles après le Gardasil : deux soeurs déposent plainte
                                      https://www.youtube.com/watch?v=LVsssaKyFiY

                                      Le Gardasil a détruit les ovaires d’une jeune fille !
                                      ...
                                      innocuité du Gardasil Gérard  ?

                                      La toxicité de dizaines de substances sous-évaluée
                                      Une vaste étude conteste les fondements de la toxicologie en pointant les effets à faible dose de produits chimiques.
                                      Publié le 26 mars 2012
                                      Rarement débat scientifique aura été à la fois aussi peu médiatisé et aussi crucial pour la santé publique. Depuis plus d’une quinzaine d’années, un nombre croissant de biologistes suspectent des effets délétères de certains composés chimiques à des niveaux d’exposition très inférieurs aux doses considérées comme sûres.

                                      Dans l’édition à paraître de la revue Endocrine Reviews, une douzaine de chercheurs américains issus du monde académique enfoncent le clou en présentant le résultat d’un travail d’analyse considérable, le plus important réalisé à ce jour sur le sujet. Leurs conclusions mettent en évidence un ensemble d’éléments scientifiques plaidant pour un profond changement de méthodologie dans l’évaluation de la toxicité de nombreuses molécules mises sur le marché.

                                      lire la suite : https://www.lemonde.fr/planete/article/2012/03/26/la-toxicite-de-dizaines-de-substances-sous-evaluee_1675531_3244.html

                                      de quoi mettre sur la sellette quelques « ingrédients » de la soupe Gardasil...


                                    • Gérard 20 janvier 2019 12:04

                                      @njama

                                      Concernant votre blabla sur le lien causal avec le cancer.

                                      Et donc ? Quelle preuve vous ferait admettre le lien causal ? En une phrase claire et concise et qui réponde à ma question svp ...


                                    • Gérard 20 janvier 2019 12:06

                                      @Gérard

                                      Et concernant les craintes du député De Salles,
                                      Les éléments que je vous ai copié-collé sont précisément la réponse qui lui a été donnée.

                                      Next ....


                                    • Gérard 20 janvier 2019 12:08

                                      @Gérard

                                      « de quoi mettre sur la sellette quelques « ingrédients » de la soupe Gardasil...  »

                                      Quels ingrédients ? Pourriez-vous être moins vague !?


                                    • njama njama 22 janvier 2019 11:50

                                      @Gérard
                                      Quels ingrédients ? Pourriez-vous être moins vague !?

                                      j’en ai cités njama 19 janvier 16:46
                                      en sus du borate de sodium, le Polysorbate 80 (alias Tween 80, Alkest, Canarcel) agent connu pour provoquer la stérilité chez le rat

                                      susceptible de produire d’importants dommages aux organes reproductifs féminins.

                                      Le Gardasil a peut-être été le premier vaccin pour lequel on a utilisé de la L-histidinun précurseur de l’histamine qui déclenche une réponse inflammatoire dans les réactions allergiques

                                      . La raison pour laquelle on a inclus ce produit n’est expliquée nulle part ???

                                      http://initiativecitoyenne.be/article-les-effets-secondaires-graves-du-gardasil-etaient-previsibles-voici-pourquoi-111646410.html

                                      Ajoutons-y les adjuvants aluminiques dont la toxicité a été constatée dans différentes études récentes comme le rappelait la sénatrice Mme Laurence Cohen qui demandait à la ministre de la Santé, Agnès Buzyn, « une expertise sur la toxicité ou pas de ces adjuvants »...
                                      Vidéo https://www.publicsenat.fr/article/parlementaire/la-recommandation-du-vaccin-anti-hpv-etendue-aux-garcons-dans-deux-regions


                                    • Gérard 22 janvier 2019 14:32

                                      @njama

                                      "en sus du borate de sodium, le Polysorbate 80 (alias Tween 80, Alkest, Canarcel) agent connu pour provoquer la stérilité chez le rat

                                      "

                                      Sauf que vous ne précisez pas à quelle dose ont été exposés ces rats.
                                      Et à quelle dose est on exposé avec le Gardasil.

                                      Désinformation Désinformation !!!!

                                      Idem avec L-histidinun

                                      Et l’article de Initiative Citoyenne ne donne aucune preuve de quoi que ce soit.

                                      Je n’arrive pas à lire votre lien sur publicsenat.fr mais Mme Buzyn a répondu à la députée :
                                      « Nous savons de longue date que les vaccins comme les virus peuvent donner des maladies de Guillain-Barré. C’est un risque connu (…) qui est de l’ordre de 1 pour 1 million pour la plupart des vaccins. Le vaccin contre la grippe peut donner des Guillain-Barré mais la grippe elle-même donne beaucoup plus de Guillain-Barré que la vaccination. (…) Il n’y a aucune maladie auto-immune (comme Guillain-Barré), après vaccination par le vaccin contre le papillomavirus (…). Il faut arrêter avec ces mauvais débats » recadre Agnès Buzyn, elle-même médecin et spécialiste en cancérologie »

                                      Qu’avez vous à reprocher à cette réponse ? (avec des éléments factuels et sans tourner autour du pot)


                                    • njama njama 19 janvier 2019 19:15

                                      Parmi les rumeurs de « fake-news » sur le web et ailleurs figure en bonne place une publication d’un certain Lars Andersson, par ailleurs citée en référence par les Delepine il me semble. Article publié On line initialement part le Indian Journal of Medical Ethics (IJME), Increased incidence of cervical cancer in Sweden : Possible link with HPV vaccination Published online : April 30, 2018 qui dut à priori l’évaluer fort recevable avant de le retirer (« Retracted ») par la suite de sa Publication après l’avoir maintenu en ligne néanmoins quelques temps.

                                      Il s’agit d’observations statistiques faites par un suédois qui confortent les conclusions d’une augmentation significative des cancers chez les jeunes femmes vaccinées contre les HPV.

                                      Anticipant ce que mon contradicteur Gérard pourrait objecter, personne ou presque n’ignore plus que Lars Anderson est un pseudonyme comme le révélait l’IJME*, et comme je l’avais indiqué en commentaire dans l’article précédent des Delepine. Si d’une certaine façon on peut considérer qu’il s’agit d’un « fake-author », faute de connaître son identité réelle cela n’en fait pas pour autant une « fake-news », l’étude s’appuyant sur des données officielles que chacun pourrait vérifier.

                                      Voir Références en fin de l’article de Lars Anderson
                                      References
                                      1. Nationellt Kvalitetsregister för Cervixcancerprevention (NKCx), Center för Cervixcancerprevention [cited 2018 Mar 22]. Available from : http://nkcx.se/templates/_rsrapport_2017.pdf [Swedish]
                                      etc...

                                      The author has said that he used a pseudonym because he believed the use of his real name would have invited personal repercussions from those opposed to any questioning of vaccines.

                                      (traduction ) L’auteur a déclaré avoir utilisé un pseudonyme, estimant que l’utilisation de son vrai nom aurait eu des répercussions personnelles de la part de ceux opposés à toute remise en question des vaccins.


                                      • Gérard 19 janvier 2019 19:40

                                        Ah ok, donc vous changez encore de sujet ?

                                        Je vais bientôt croire qu’en plus d’être très malhonnête intellectuellement, vous êtes très limité mentalement.

                                        Ce dont je suis sûr, c’est que vous êtes surtout aveuglé, obnubilé par votre idéologie antivaccinale.

                                        L’étude que vous présentez a été rétractée ! 

                                        Crédibilité zéro

                                        Désinformation suivante !!!??


                                        • njama njama 20 janvier 2019 10:12

                                          Ah ok, donc vous changez encore de sujet ?

                                          je reste dans le sujet de la vaccination anti-HPV il me semble

                                          L’étude que vous présentez a été rétractée ! 

                                          ben non, en signalant l’article « Retracted » sur son site L’ Indian Journal of Medical Ethics

                                          signifie seulement qu’elle ne la cautionne pas, ou plus exactement plus, sans en préciser les raisons, c’est à dire des biais constatés dans cette étude.

                                          N’hésitez pas à les dénoncer vous-mêmes si toutefois vous en trouvez, et croyez bien que nous lirons attentivement vos objections.


                                          • Gérard 20 janvier 2019 11:29

                                            @njama

                                            « je reste dans le sujet de la vaccination anti-HPV il me semble »

                                            Oui, vous restez dans le thème vaccin HPV, mais vous passez du borax à Buzyn et l’OMS, en passant par les preuves de lien causal cancer-vaccin HPV.

                                            Ça flaire bon le millefeuille argumentatif tout ça ! 

                                            L’étude que vous présentez a été rétractée. C’est un fait.
                                            Retractation Watch en parle.

                                            Et Vaxopedia, en plus d’évoquer les sombres raisons pour lesquels le chercheur n’a pas voulu publier sous son vrai nom, a débunké l’étude

                                            Publier sous un faux nom ? L’éthique, la déontologie, tout ça tout ça, ça ne vous pose pas de problème ?
                                            Moi qui pensait que les antivax sont les défenseurs de l’éthique et de la transparence ... (ironie)

                                            Faisons l’exercice inverse. Si je vous présentais une étude rétractée qui montre que le vaccin HPV est efficace, quelle serait votre réaction ? 


                                          • Ruut Ruut 21 janvier 2019 08:07

                                            @Gérard
                                            L’OMS c’est totalement discrédité moralement, éthiquement et scientifiquement, dans son traitement du paludisme.


                                          • Gérard 21 janvier 2019 08:18

                                            @Ruut

                                            1/ Je ne vois pas le rapport avec la discussion en cours ....
                                            2/ Discrédité auprès de qui ?? Des antivax ?? Tu m’étonnes ...


                                          • njama njama 22 janvier 2019 10:12

                                            @Gérard
                                             Vaxopedia, n’a rien débunké du tout si l’on suit votre lien. Par contre on peut y lire quelques questionnements intéressants en commentaires, peut-être pourriez-vous y apporter des réponses (?) :

                                            Elizabeth Hart says : May 13, 2018 at 4:46 am
                                            Do you believe any citizen questioning vaccination policy and practice should be labelled ‘anti-vaccine’ and marginalised ?
                                            Do you believe any criticism of vaccine products should be forbidden ?
                                            Pouvez-vous clarifier votre position - croyez-vous qu’il est « anti-vaccin » de critiquer des produits de vaccin ?

                                            (trad) Pensez-vous que tout citoyen qui remet en question la politique et la pratique en matière de vaccination devrait être étiqueté « anti-vaccin » et marginalisé ? Pensez-vous que toute critique des vaccins devrait être interdite ?

                                            Elizabeth Hart says : May 15, 2018 at 2:09 am
                                            Regardless of the rights or wrongs of this particular study, it is a serious matter that individuals are afraid to openly question vaccine products in our liberal democracies.
                                            (trad) Quels que soient les avantages ou les inconvénients de cette étude, il est grave que les individus aient peur de remettre en cause ouvertement les produits de la vaccination dans nos démocraties libérales.


                                          • njama njama 22 janvier 2019 10:28

                                            @Gérard

                                            Angelica says : May 27, 2018 at 1:50 am
                                            I also speak in support of those who are afraid to undertake studies or seek answers that are inconvenient. People who can’t stand the heat of criticism have no place in science. The pursuit of truth is often littered with inconvenient facts and setbacks in one’s plans. The valid use of retraction is in danger of being misused as a weapon of silence, instead of science. The fact that the author was afraid to publish his name is significant. Science, with regard to vaccines. is now a hostile environment for anyone seeking any answers beyond what the corporations and public health officials want to hear. It’s even more hostile if that someone is a scientist. Because all criticism is painted with the anti-reason brush, both bogus scams and honest critical science ends up in the same bucket. Leading to even more confusion and danger for the patients.

                                            (trad) Je parle également en faveur de ceux qui ont peur d’entreprendre des études ou de chercher des réponses qui dérangent. Les personnes qui ne supportent pas le feu de la critique n’ont aucune place dans la science. La recherche de la vérité est souvent jonchée de faits gênants et de revers dans ses plans. L’utilisation valable de la rétraction risque d’être utilisée à mauvais escient comme une arme du silence au lieu de la science. Le fait que l’auteur ait eu peur de publier son nom est significatif. La science, en ce qui concerne les vaccins, est maintenant un environnement hostile pour quiconque cherche des réponses allant au-delà de ce que les entreprises et les responsables de la santé publique veulent entendre. C’est encore plus hostile si cette personne est un scientifique. Puisque toute critique est peinte avec la brosse d’anti-raison, les escroqueries factices et la science critique honnête aboutissent dans le même seau. Conduisant à encore plus de confusion et de danger pour les patients.


                                          • Gérard 22 janvier 2019 14:48

                                            @njama

                                            "Par contre on peut y lire quelques questionnements intéressants en commentaires,

                                            "

                                            Ah oui, pratique pour changer de sujet.

                                            Toute critique sur les vaccins est bonne à prendre.
                                            Sauf si elle vise à déformer la réalité des faits,
                                            Sauf si elle vise à nier la réalité des faits,
                                            Sauf si elle invente des faits,
                                            Sauf si l’alternative proposée est moins efficace et moins sûre,
                                            Sauf si elle vise à promouvoir des théories pseudoscientifiques qui n’ont pas su prouver leur efficacité
                                            Sauf si elle vise à retourner 100 ans en arrière quand on mourrait avant 50 ans d’une maladie infectieuse (quand vous aviez de la chance un bébé sur trois mourrait avant 1 ans d’une maladie infectieuse)

                                            Alors oui, passé ce filtre, on peut commencer à envisager toute critique.


                                          • Gérard 22 janvier 2019 15:27

                                            @Gérard

                                            Et la science (vaccinologie y compris) se remet tellement en question que quand un scientifique étudie une question, il rédige une publication scientifique où il détaille notamment sa méthode de recherche et les résultats auxquels il est arrivé.

                                            Publier sa méthode de recherche, cela permet à n’importe quel scientifique, partout dans le monde de répliquer l’étude dans des conditions semblables et de voir si ils arrivent à la même conclusion. Extraordinairement bien fait non ? N’est-ce pas là une fantastique approche qui amène à la critique ?

                                            Et puis, pour être vraiment crédible, le scientifique aura tout intérêt à publier dans une revue peer-reviewed à bonne réputation. Pas comme certains pseudo-scientifiques antivax qui publient dans des revues prédatrices quoi ... Ou comme certains pseudo-scientifiques antivax qui publie dans des revues dont ils font partie du comité de lecture ...

                                            Tout ça tout ça, et bien plus encore, amène la science à se remettre perpétuellement en question.


                                          • njama njama 22 janvier 2019 15:51

                                            @Gérard
                                            Je pense plutôt que le monde se partage entre ceux qui ne veulent pas ou ne préfère pas voir certains faits ou réalités et d’autres qui les observent et alertent sur ceux-ci.

                                            « So how should a parent, physician, politician, or anyone else [ou Gérard par exemple] decide whether it is a good thing to give to young girls a vaccine that partly prevents infection caused by a sexually transmittes disease (HPV infection), an infection that in a few cases will cause cancer 20 to 40 years from now ? » Dr. Tomljenovic in Vidéo à 4’42

                                            (trad) "Ainsi, comment un parent, un médecin, un politicien ou toute autre personne devrait décider si c’est une bonne chose de donner aux jeunes filles un vaccin qui empêche en partie l’infection causée par une maladie transmissible sexuellement (infection à VPH), une infection qui, dans quelques cas, va causer un cancer d’ici 20 à 40 ans ?


                                          • njama njama 22 janvier 2019 16:06

                                            @Gérard

                                            « Cervical carcinogesis (as indeed most cancers’ origins) is a complex multifactorial processinvolving several host and environnmental factors - HPV is but one part of the jigsaw. Faillure to appreciate this fact (or its deliberate obfuscation) lies at the heart of vaccine advocates’inability to accept that dynamics other than HPV vaccination can consistently reduce the incidence of this disease. » Dr. Tomljenovic in vidéo à 13’09

                                            (trad) « La carcinogenèse cervicale (ainsi que la plupart des cancers) est un processus multifactoriel complexe impliquant plusieurs facteurs hôtes et environnementaux - le HPV n’est qu’un élément du puzzle. Le manque d’appréciation de ce fait (ou de son obscurcissement délibéré) est au cœur de l’incapacité des partisans de la vaccination à accepter que des dynamiques autres que la vaccination contre le VPH puissent réduire avec régularité l’incidence de cette maladie. »

                                            d’où en raison de la faible incidence de cancers dus aux HPV (dans l’hypothèse où le lien causal infection HPV-cancer serait prouvé) la légitime revendication de s’opposer au projet de généralisation de cette vaccination anti-HPV, pour les filles comme pour les garçons.
                                            Un vaccin dont la seule utilité peut-être concernerait peut-être quelques « clients » sujets à risques ...


                                          • Gérard 22 janvier 2019 16:06

                                            @njama

                                            Vous citez Lucija Tomljenovic !

                                            Quel excellent exemple de pseudo-scientifique que j’évoquais plus haut : "Pas comme certains pseudo-scientifiques antivax qui publient dans des revues prédatrices quoi ...

                                            "

                                            Et dans son cas à elle, je peux aussi ajouter à son CV plusieurs articles rétractés dont au moins qui sent bon la fraude scientifique.

                                            Vraiment chouettes vos références ... (ironie)


                                          • Gérard 22 janvier 2019 16:15

                                            @njama

                                            "le HPV n’est qu’un élément du puzzle

                                            "

                                            Ça ressemble peut-être à un puzzle pour vous, le Dr Tomljenovic (pseudo-scientifique antivax notoire) et les antivax.

                                            Pas pour la vraie science.


                                          • njama njama 22 janvier 2019 18:07

                                            @Gérard
                                            Pas pour la vraie science.
                                             ?
                                            Angelica says : « People who can’t stand the heat of criticism have no place in science. The pursuit of truth is often littered with inconvenient facts and setbacks in one’s plans. »

                                            la vraie science ? À vous lire je doute que vous en faites partie.


                                          • njama njama 22 janvier 2019 18:09

                                            @Gérard

                                            Vous citez Lucija Tomljenovic !

                                            Quel excellent exemple de pseudo-scientifique

                                            Angelica says : "Science, with regard to vaccines. is now a hostile environment for anyone seeking any answers beyond what the corporations and public health officials want to hear. It’s even more hostile if that someone is a scientist."


                                          • Gérard 22 janvier 2019 19:05

                                            @njama

                                            Ah ouais, si c’est Angelica qui le dit, alors ça doit être ......euh .........
                                            C’est qui Angelica ?
                                            Une copine antivax à vous ??


                                          • njama njama 22 janvier 2019 21:22

                                            @Gérard
                                            Je constate surtout que quelle que soit une voix discordante par rapport à votre « science des vaccins » vous l’attaquez ad hominem en tentant de la décrédibiliser.
                                            Que l’objecteur soit scientifique d’un point de vue médical ou non. Si dans nos échanges je vous laissais jusqu’à présent un coup d’avance sur le « fake-name » Lars Anderson qui ne faisait pas pour autant de son article une « fake-news », ou une commentatrice Angelica qui nous sont inconnues de Eve comme d’Adam (nous sommes d’accord sur ce point) ce qui n’en fait pas une cruche pour autant, vous êtes mal placé il me semble pour discréditer une brillante Lucija Tomljenovic

                                            Biographie Lucija Tomljenovic
                                            Lucija Tomljenovic a obtenu son doctorat en biochimie en 2009, au Laboratoire de génomique comparative à l’Université James Cook à Townsville, en Australie. En 2010, elle rejoint comme chercheuse le Neural Dynamics Research Group de l’Université de Colombie-Britannique, Vancouver, Canada (laboratoire du Pr Chris Shaw). Elle étudie actuellement les effets neurotoxiques de l’adjuvant aluminium. Elle est récemment devenue rédacteur en chef adjoint de Journal of Alzheimer’s Disease.

                                            Elle est l’auteure avec le Pr Chris Shaw de « Aluminum Vaccine Adjuvants : Are they Safe ? » – Current Medicinal Chemistry, 2011 (lire la publication intégrale ci-dessous).

                                            Extrait :

                                            La notion généralement acceptée de la sûreté des adjuvants aluminiques n’apparaît pas fermement établie dans la littérature scientifique et, en cela, cette absence a pu nous conduire à des conclusions erronées en ce qui concerne la signification de ces composés dans l’étiologie de beaucoup d’affections neurologiques courantes. De plus, l’utilisation continue de placébos contenant de l’aluminium dans les essais cliniques de vaccins nous a peut-être conduits à sous-estimer la vraie valeur des effets indésirables associés aux vaccins avec des adjuvants d’aluminium. A notre avis, une évaluation complète de l’impact global de l’aluminium sur la santé humaine a trop tardé à être mise en place

                                            Elle s’est particulièrement intéressée à la question de la vaccination contre le papillomavirus, avec notamment ces deux publications :
                                            – Human papillomavirus (HPV) vaccines as an option for preventing cervical malignancies : (how) effective and safe ?
                                            – HPV vaccines and cancer prevention, science versus activism

                                            Extrait :

                                            Les déclarations optimistes comme quoi les vaccins HPV préviendront les cancers du col de l’utérus et sauveront des vies, et qu’ils sont extrêmement sûrs, reposent sur des hypothèses qui sont mal interprétées, et présentées au public comme des preuves. Une réduction plus importante du nombre de cancers du col pourrait être mieux atteinte en optimisant le dépistage (qui ne présente pas de risques graves pour la santé) et en ciblant d’autres facteurs de la maladie plutôt que de recourir à des vaccins aux profils d’efficacité et de sécurité discutables.


                                            >>> Lire sa publication « Les adjuvants aluminiques dans les vaccins : sont-ils sans danger ? » en français ou en anglais (co-écrite avec le Pr Shaw)

                                            >>> Lire ses publications sur l’aluminium et l’autisme (en anglais) : celle de 2014 et celle de 2011

                                            https://www.vaccinssansaluminium.org/biographie-tomljenovic/


                                          • njama njama 22 janvier 2019 21:28

                                            Je me permets de remettre simplement en exergue les conclusions de Lucija Tomljenovic

                                            en rapport avec le sujet HPV pour lui donner un peu de relief...

                                            – HPV vaccines and cancer prevention, science versus activism

                                            Extrait :

                                            Les déclarations optimistes comme quoi les vaccins HPV préviendront les cancers du col de l’utérus et sauveront des vies, et qu’ils sont extrêmement sûrs, reposent sur des hypothèses qui sont mal interprétées, et présentées au public comme des preuves. Une réduction plus importante du nombre de cancers du col pourrait être mieux atteinte en optimisant le dépistage (qui ne présente pas de risques graves pour la santé) et en ciblant d’autres facteurs de la maladie plutôt que de recourir à des vaccins aux profils d’efficacité et de sécurité discutables.


                                          • njama njama 22 janvier 2019 21:33

                                            @Gérard

                                            je comprends très bien malgré que ces conclusions ne sont pas du tout favorables au plan marketing du Gardasil...
                                            mais en conscience, que vous importe-t-il au fond, le plan marketing ou réellement la santé publique ?
                                            Avez-vous des liens d’intérêts avec l’industrie du vaccin ? si oui, merci de les déclarer sur Agoravox.
                                            Baissez votre culotte pour que l’on vous comprenne mieux...


                                          • Gérard 23 janvier 2019 08:18

                                            @njama

                                            Oh comme vous êtes pathétique.
                                            Vous essayez de défendre votre chouchoute. C’est tout à votre honneur d’antivax idéologiste.

                                            Mme Tomljenovic, que vous le vouliez ou non, est totalement discréditée auprès de 99% de la communauté scientifique.
                                            Vous pouvez croire que c’est une conspiration contre les gentils antivax de la part du méchant Bigpharma.
                                            Croyez ce que vous voulez, ça en fera rigoler plus d’un ...

                                            Et vous avez beau diffuser les conclusions de cette femme fraudeuse patentée tant que vous voulez, ça ne les rendra pas vraies pour autant.
                                            Je pourrais aussi m’amuser à diffuser les conclusions de scientifiques reconnus qui abondent dans le sens d’un vaccin HPV extrêmement sûr et efficace.
                                            Mais discuter de cela avec vous relève plus de la discussion de comptoir au café du bout de la rue qu’autre chose.

                                            Quant au marketing « Gardasil », je vous laisse vos considérations pour votre petit cerveau de complotiste du dimanche. Vous me parlez de marketing, moi je vous parles de sciences.


                                          • Gérard 23 janvier 2019 09:51

                                            @njama

                                            Et au fait, Christopher Shaw est de la même étoffe que Tomljenovic (qu’ils travaillent ensemble n’a rien de surprenant).


                                            Le fait que vous citiez ce personnage ne m’aide certainement pas à vous accorder la moindre once de crédibilité.

                                          • Gérard 22 janvier 2019 15:37

                                            Et le lien correct vaxopedia est celui-ci

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