Eh oui. Mitterrand, Chirac, et enuite Sarkozy.
La France avait jusqu’ici ce qu’elle méritait. Avec Sarkozy elle a eu tellement plus qu’elle n’en revient toujours pas...
Allez, Sarkozy, on t’aime. Perdre dans ce triste pays n’est vraiment pas une opprobre. Au contraire, quand on voit la baudruche qui a la préférence, vraiment : on se dit qu’on sera mieux ailleurs.
Oui, ailleurs, loin de ces voyous qui ont perdu tout idéal... et veulent faire porter le chapeau de leur bêtise aux autres.
Personne n’est dupe, sauf vous, chez Fergus et vos amis.