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Les commentaires de Charlouss



  • Charlouss Charlouss 7 septembre 2009 13:45

    Merci de cette réponse, vous écrivez juste mais j’attire votre attention sur le fait qu’une lecture linéaire de votre article me fait penser, et je ne serai pas le seul à mon avis, que vous critiquer la couverture de change.

    En effet, suite à vos conseils je l’ai relu et j’ai fait la même analyse :

    Titre de votre article : des pertes ? le lecteur lambda (moi)  : comment ? quel scandale ?!
    Premier paragraphe après l’introduction => hedge

    Je pense que si cet article est bien écrit, la façon dont il révèle est moins clair.

    D’autant que dire : EDF a acheté au plus haut, du change ou de la valo de british energy, c’est facile à dire a posteriori non ?

    Vous êtes biaisé mais qu’importe c’est ce qui fait le charme, le piquant de l’article et de la vie en général. Je le redis : j’aime vos articles, ce sont des vrais sujets d’ordre public qui doivent éclater au grand jour.

    Vous avez regardé une autre entreprise semi publique : Air france ?



  • Charlouss Charlouss 7 septembre 2009 12:19

    Volontaires,

    J’apprécie la teneur de vos articles et les informations cachées dans les rapports annuels. Je suis un grand lecteur de tout cela dans mon travail sur les passifs sociaux et le coût des démantèlement.

    Malheureusement, là je crois que vous dites une énormité.

    Dans le cadre d’une acquisition qu’EDF veuille se couvrir contre le cours du change EUR / GBP me semble très sain comptable ment. ça s’appelle faire un budget, prévoir ses coûts, ça sonne spéculateur pour vous ??

    Vous auriez préféré d’après ce que vous dite que cette noble entreprise spécule réellement sur le cours EUR/GBP ??!! Vous êtes un gestionnaire olé olé dites moi.

    Pour rajouter une louche de technique de couverture, EDF aurait pu limiter la casse en achetant un produit qui coûte du cash : une option, sur cette taille ça aurait coûté 100 à 200 MEUR...

    Mais en ces temps (début 2009) ou le financement était très cher ils n’ont pas pu le justifier à la communauté financière. En fait, c’est une opération logique qu’il me semble peu pertinent de critiquer. Après vous me direz, pourquoi EDF achète t il des entreprises ? Le dogme de la privatisation est passé par là.

    La prochaine fois vous allez nous parler d’air france non ? Il font ces « boulettes » depuis des lustres sur le pétrole...



  • Charlouss Charlouss 6 septembre 2009 12:30

    Ouais bah c’est la même théorie, jamais vraiment démontrée d’ailleurs et complétement fausse depuis 10 ans, qui a plombé le FRR et les fonds de pension du monde entier.

    Après si vous pensez que le financement des entreprises via les actions n’est pas nécessaire alors les institutionnels doivent sortir immédiatement de ce marché.
    Malheureusement, il semble que les actions ça peut servir.

    Le soucis chez AREVA c’est qu’investir en actions est un moyen de mettre moins d’argent pour financer le démentelement des centrales. On mise sur un hypothétique rendement supérieur des actions pour justifier un sousfinancement manifeste. Les actionnaires, l’état et les contribuables peuvent s’inquiéter de cette malhonnêteté déguisée en habileté. Pour l’instant on ne se dote pas des moyens nécessaires pour se débarrasser des centrales.

    Car en fait le nucléaire c’est hors de prix et pas du tout économique.
    Et puis c’est super rassurant..



  • Charlouss Charlouss 17 août 2009 16:26

    Monsieur Arberet,

    Il ne s’agit effectivement pas d’un enjeu politique mais plutôt du meilleur moyen de parvenir à des fins écologiques.
    La préférence données depuis des années aux marchés tient au fait qu’on estime le marché meilleur en termes d’allocation des ressources.
    L’idée est que les marchés finiront par faire payer les pollueurs de façon plus efficace qu’une intervention étatique coûteuse et lourde à mettre en place tant du point de vue des moyens financiers qu’humains.

    Ce qui guide le procédé doit être le moindre coût et l’efficacité comme le prétend le rapport.

    Cependant, les marchés ont d’énormes défauts en raison entres autres de la présence de purs spéculateurs à court terme qui tuent le vrai marché parfait et fantasmagorique.
    Ils créent la rareté pour bénéficier des retombées financières ce qui détruit le potentiel allocatif des mesures.

    Cependant, je ne crois pas non plus que l’état et les impôts soient la panacée pour des raisons déjà citées.
     
    Quand on ne sait pas quoi faire on fait souvent un peu des deux non ? : un marché régulé (avantage aux perspectives à long terme) ou des mesures allocatives et volontariste via l’impôt qui vont dans votre sens i.e : remettre l’intérêt général au centre du dispositif.

    Cela devrait l’imiter les coûts et les défauts de chacune des deux mesures prises séparément.

    On ne s’intéresse pas trop à qui fait quoi et avec quelle coloration politique : il est simplement urgent que l’écologie s’installe systématiquement comme un préliminaire aux actions.



  • Charlouss Charlouss 17 août 2009 14:30

    Je ne défends pas les compagnies d’assurances mais il faut être juste : les compagnies d’assurances n’ont pas pris de risques inouïs sur les marché financiers.
    Ceci est très largement faux désolé.
    Après qu’elles nous obligent à avoir des serrures trois points, des détecteurs de fumée etc..
    c’est pour leur intérêt et bizarrement c’est aussi celui de la communauté.
    C’est dans leur code génétique : même si les assurances se moquent du pékin moyen et veulent juste faire du pognon, elle doivent faire le bien collectif pour devenir encore plus profitable.
    Elles tuent le risque, la liberté et la poésie de nos vies mais c’est leur job.



  • Charlouss Charlouss 17 août 2009 11:51

    Bonjour,

    Le premier qui arrive à m’expliquer le fonctionnement de la banque centrale en 2 pages aura toute mon estime et aura accompli une vrai mission de service publique.

    Au passage, je tiens à signaler que la documentation offerte par la BCE est médiocre et oubli toute pédagogie et cas concret. C’est un véritable scandale dont tout le monde se fout visiblement pourtant il s’agit de voir comment on fabrique ou on détruit nos sous..

    Personnellement, je ne pense pas que la BCE soit à la merci des banques commerciales : elle a sa mission et elle s’y tient de façon de dogmatique sauf en cas de crise. Je vais dire une horreur : elle fait bien son job.

    On peut ne pas aimer le job mais la BCE est une bonne machine de guerre contre l’inflation même si elle y met un zèle certain et contre productif.

    Désolé de ne pas critiquer la BCE, je préfère critiquer les pouvoirs politiques qui n’ont aucun courage ou projet pour mettre la politique économique européenne en musique.
    Tout système global est tentaculaire par essence, vous avez peur des araignées, des poulpes ?



  • Charlouss Charlouss 17 août 2009 11:43

    Bonjour,

    J’aime bien la perspective de votre article, je pense comme vous depuis bien longtemps.
    Cependant, je dois donner une autre tournure à votre propos en précisant que j’ai travaillé chez AXA pendant quelques années.

    L’assurance, tout comme la mutuelle, n’a qu’un seul objectif : réduire l’incertitude.

    Vous pouvez penser que cela rend notre monde moins excitant, je vous suis sur ce point ; mais vous pouvez aussi penser qu’elles rendent aussi le monde plus sûr !

    Qu’elles soient possédées par des actionnaires ou des sociétaires (mutuelles) n’y change rien, le métier de société d’assurance est d’absorber l’incertitude.

    Cette activité et cette mentalité correspondent bien à notre société dont les membres vieillissent.

    C’est encore un peu l’histoire de l’individu face à la meute..



  • Charlouss Charlouss 14 août 2009 11:27

    Merci pour cet axe de réflexion. Je vais essayer de vous répondre sur le vif.

    Dans mon esprit, on peut séparer des segments dans le PIB mondial :

    • Les pays développés vieillissants avec un chômage massif.
    • Les pays émergents à bas coûts de main d’œuvre et organisés (BRIC)
    • Les pays où tout va mal : corruption, climat politique chaotique, pas d’infrastructures etc.. donc pas d’investisseurs


    Les structures de l’économie dans ces pays sont très différentes.
    Dans mon article je parle naturellement de ce que je connais le mieux i.e. des pays développés et de la vieille Europe.

    Quand les marchés financiers s’emballent, des pans entiers de l’économie des pays développés sont menacés par l’assèchement du crédit, principalement ceux qui sont en compétition avec le reste du monde d’ailleurs.

    Or, une entreprise, ou un secteur d’activité, est un organisme complexe qui en se recréé pas du jour au lendemain. Une situation tendue sur le marché du crédit peut tuer des entreprises rentables et innovantes. Certaines entreprises n’ont pas de si belles perspectives mais elles aussi irriguent le tissu social et économique. Le souci des new Fabris et autres, il n’y a pas d’emplois de remplacement, il n’y a rien.


    Certains diront que les plus faibles doivent périr mais c’est une vue court termiste, immorale et dangereuse à mon sens. La casse sociale coûte trop cher à nos sociétés alors qu’elle n’est pas forcément justifiée par un raisonnement économique et / ou stratégique – c’est trop souvent une histoire de communication financière, un synonyme d’action de la part des dirigeants en temps de crise, comme me l’a dit hier un ami bien placé dans l’industrie.

     

    Ensuite, si on rentre dans une logique d’hyperspécialisation de chaque pays selon ses axes forts – une élégante vue théorique, on rendra l’ensemble de l’économie mondiale plus fragile aux envols des marchés financiers.

     

    Voilà à peu près mon point de vue qui n’est pas original.



  • Charlouss Charlouss 12 août 2009 16:29

    Monsieur Lechoux,

    Vous m’amusez.

    Il faut dire qu’il en faut de l’audace et la prétention pour attaquer de façon aussi une profession entière qui vous construit des voitures, des centrales, des téléphones, des routes et j’en passe. Les ingénieurs et leurs copinous les ingénieurs financiers qui, au passage permettent de financer les ambitieux projets d’ALSTOM. Je vous dit ça en connaisseur puisque j’ai travaillé avec cette belle société.

    Vous crachez la bile et la rage mais ça ne sert à rien de s’énerver voyons.

    Menfin, je vous trouve sacrément idiot de critiquer le seul type qui essaye de rendre ce machin ésotérique plus intelligible aux autres. Si vous y voyez de l’arrogance, il faut retourner chez l’analyste.

    Je ne vais pas perdre mon temps à vous répondre vu que vous ne posez pas de questions, vous devez mieux savoir que celui qui tente de vous expliquer.



  • Charlouss Charlouss 12 août 2009 13:52

    Bravo !
    J’ai détesté ce bouquin pour les mêmes raisons.

    Ma chère et tendre m’affirme que la fin du livre remet complètement votre / mon argumentaire en cause.

    Comme si l’auteur s’était moquée des références bobos ou un truc comme ça, que c’était une superficialité qu’elle abhorrait. Cela dit ça fait 6 mois que j’attends le commentaire composé de ma mie...

    Menfin si c’est vrai s’il faut se taper 300 pages d’un ennui mortel, mal écrit et épate bourgeois, alors ce ne serait pas très malin de la part de l’auteur, qui se croit très maline.



  • Charlouss Charlouss 12 août 2009 13:19

    Monsieur PerlSeb,

    Je vous remercie pour vos commentaires, je suis désolé si cette réponse était justificative sur les bords car elle ne vous était pas spécifiquement adressé mais il était plutôt pour la communauté vindicative.
    Vous, au contraire, faites des commentaires très intéressant, c’est pour vous rencontrer et discuter que j’écris ces articles.

    Je m’amuse de constater qu’on s’est posé les mêmes questions sur l’argent et tout ça.
    Je n’ai pas vraiment de réponse mais une impression plutôt, je vais tenter de vous l’expliciter :

    L’argent est de l’huile dans le moteur. C’est dégoutant mais s’il n’y en a pas ça casse souvent..Combien il faut en mettre et tout ça c’est l’inflation et la mesure des performances du moteur.

    A propos de la finalité de notre aventure terrestre, je crois que le travail nous sert en premier lieu à vivre ; puis à changer des choses.
    Notre travail, et non pas notre oeuvre, a des externalités positives ou négatives pour l’ensemble de la communauté.
    Hannah Arendt a dit des choses très intéressantes là dessus.

    Mais ce qui fait la valeur des choses à mon sens, c’est l’utilité individuelle et collective.

    Il faudrait un jour qu’on arrête de payer pour la rareté et la complexité, ça nous mène à la catastrophe sociale et écologique.

    Menfin moi j’dis ça, j’dis rien smiley



  • Charlouss Charlouss 12 août 2009 10:57

    Je fais un point très important sur les dérivés et l’assurance : pour pouvoir assurer un risque il faut que celui ci soit mutualisable i.e. qu’un portefeuille de risques soit moins risqué qu’un seul risque assuré séparément.

    Les options ne sont pas de l’assurance pour des raisons que monsieur Renève a bien expliquées.

    Ensuite, je vous donne la base de la théorie des options, le théorème insurmontable mieux que B&S :

    Prix Call - Prix Put = valeur de marché du sous jacent - Prix d’exercice actualisé

    En gros, quand vous parlez de constituer un portefeuille d’une action et d’un put, ça revient à acheter un call en mettant de l’argent, du cash, dans la stratégie : c’est pareil en moins bien !

    Enfin, le métier de market maker est très surveillé.
    Ce qui fait bouger le cours des warrants, ce piège à gogo, ce n’est pas seulement le cours du sous jacent, je vous donne la liste des paramètres par ordre d’importance :

    Le cours du sous jacent bien sûr
    La volatilité anticipée des cours appelé volatilté implicite
    Le temps qui passe
    Les taux d’intérêt (les options sont des emprunts déguisés)
    Et ...comme pour tout produit financier : le cours des autres options sur le marché

    C’est très compliqué



  • Charlouss Charlouss 12 août 2009 10:06

    à Perlseb

    Ce qui vous trahit, Charlouss, c’est votre formation : « ingénieur
    financier ».

    A partir de là, les gens ont du mal à voir dans quel camp vous vous
    situez. Je n’aurais jamais fait cette formation, mais il n’y a que les
    imbéciles qui ne changent pas d’avis. Cela doit être dur de rejeter en
    partie sa propre formation en plus du fonctionnement de la société.

    Ouaip c’est le même débat que peut-on être riche et de gauche non ?
    J’ai l’impression qu’on ne peut être que corporatiste dans ce monde franchouillard.
    Pourtant, il y a des millions de gens qui ne se reconnaissent pas dans leur monde professionnel non ?
     
    En fait, j’ai débuté dans l’industrie spatiale, j’ai pu voir à cette occasion l’ennui mortel qui m’attendait dans ce monde. Ce qui me passionne depuis tout gamin c’est l’économie, les ressources naturelles, l’histoire, la sociologie l’écologie et j’en passe.

    Je vais vous faire mal aux yeux mais tant pis : on est plus en contact avec ces matières nobles en finance que dans beaucoup d’autres métiers.

    Ensuite, j’ai fait un calcul en bon ingénieur et j’ai bien vite compris que le monde de la finance n’est pas rose mais on ne risque pas de comprendre la finance et ses méfaits si on n’en fait pas, et je suis curieux..De plus, ça fait voyager et les conditions matérielles sont plutôt agréables, il faut le reconnaître.

    Je n’ai jamais vendu le moindre truc toxique mais je me suis vraiment bien cultivé auprès de gens très brillant, je les remercie au passage.

    Je préfère écrire des articles pédagogiques sur ces thèmes que de dire « tous des cons ces banquiers !! »
    Car évidemment ce n’est pas vrai, je connais des gens très bien dans ce milieu.
    Seulement, je crois que la finance est une matière très complexe qui bénéficie principalement à ceux qui savent cacher l’information avec un sens moral douteux.

    En conséquence, j’informe.



  • Charlouss Charlouss 11 août 2009 16:47

    Monsieur P.Picard,

    Je ne sais pas comment on écrit un article dans vos contrées mais dans mon païs, on lit la fin. Le mec qui écrit :

    Humblement, je ne pense pas que ces accélérations soient profitables à l’économie réelle, les crises se répètent trop souvent depuis 20 ans et leurs conséquences sont réellement désastreuses pour les plus vulnérables éléments de notre société. Les plus riches, eux, n’y voient que des opportunités (cf. les institutionnels de mon précédent article ou les clients des banques privés..).

    N’est pas forcément du côté des traders ou des banques.
    Alors ayez le courage de finir les articles avant de déverser votre bile sans intérêt.



  • Charlouss Charlouss 11 août 2009 16:31

    Cocobeloeil,

    Merci de ces précisions, je ne voulais pas complexifier mon exposé que de nombreuses personnes aimables trouvent déjà inbittable -un mot à la mode.

    Enfin un commentaire utile à la communauté !

    Merci encore ça me soulage..



  • Charlouss Charlouss 11 août 2009 15:12

    Monsieur Lechoux,

    Vous aussi vous n’avez pas eu vos chocapics ce matin ?

    Merci de vos encouragements et de votre franche camaraderie.



  • Charlouss Charlouss 11 août 2009 14:48

    Monsieur perlseb,

    "Oui, merci pour cet article. On saisit un peu mieux le métier des traders : c’est vraiment sans intérêt aucun et complètement déconnecté du réel. Il faut être vraiment très con pour faire ce métier ... ou alors ne s’intéresser qu’à l’argent, ce qui est un peu pareil, avouons-le.« 

    J’ai beaucoup de copains traders mais je ne suis pas loin de penser comme vous..

     »Effectivement, l’instabilité ira croissante, en même temps que la concentration de pognon ira croissante. Pour ceux qui ont l’argent et qui s’entendent, c’est de plus en plus facile d’en faire... Au détriment de ceux qui travaillent et qui essaient de faire des calculs de rentabilité en considérant que les prix sont relativement stables. Vraiment, de la haute valeur ajoutée, la spéculation."

    C’est bien dit.
    Bah ouais, je suis complètement d’accord et ça me déprime !



  • Charlouss Charlouss 11 août 2009 14:44

    Monsieur,

    Vous me permettrez de vous faire remarquer que je ne soutiens pas la thèse que ce modèle fonctionne ou sert à quelque chose. Je pense même tout le contraire.

    Ensuite, vous pourriez penser que le tutoiement est un moyen d’embobiner le pigeon très pratiqué dans les activités commerciales. C’était d’une utilité stylistique mais ce n’est pas adapté à votre susceptibilité, désolé. 



  • Charlouss Charlouss 11 août 2009 14:36

    Deuxième note aux lecteurs qui lisent de travers ou trop rapidement au premier degré :

    Sous-jacent : TOTAL SA
    Nature : Call Warrant sur Actions (droit d’acheter 5 actions TOTAL)

    Mais qu’est ce que peut bien être le sous jacent ?!
    Une action peut être ?



  • Charlouss Charlouss 11 août 2009 14:30

    Note aux lecteurs :

    Pour ceux qui n’ont pas compris le sens de lecture :

    > Les traders font un métier hyper technique, à très haute valeur ajoutée...

    C’est du SECOND degré !