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Les commentaires de christophe78



  • christophe78 25 mars 2012 13:40
    Mohamed Merah s’est entraîné au Waziristan

    Le Point.fr
    - Publié le 25/03/2012 à 11:16 - Modifié le 25/03/2012 à 11:49

    L’information a été donnée par le porte-parole des talibans pakistanais.

    Mohamed Merah, le tueur responsable de la mort de sept personnes abattu jeudi par la police lors d’un raid, est passé par un camp d’entraînement tenu par les talibans pakistanais (TTP) près de la frontière afghane, indique dimanche un porte-parole du groupe islamiste. Deux commandants en haut de la hiérarchie du TTP ont également confié à Reuters que plus de 80 Français se trouvaient dans le Nord-Waziristan, et faisaient partie d’un groupe d’islamistes étrangers nommé Djihad e Islami, qui a fait allégeance à al-Qaida.

    "Mohamed Merah s’est entraîné avec les Tehrik e Taliban Pakistan (TTP) dans le Nord-Waziristan", a déclaré à Reuters Ahmed Marouat, qui se présente comme le porte-parole de la faction Djandola du TTP. "Toutefois, nous n’avons aucune information concernant les attaques en France. Ça n’a pas de lien avec nous", a-t-il poursuivi.

    Formé en 2007, le TTP regroupe plusieurs factions armées des zones tribales pakistanaises. Allié aux talibans afghans ainsi qu’à al-Qaida, il a pour objectif de renverser le gouvernement du Pakistan et a mené de nombreux attentats-suicides dans le pays. À Wana, dans le Sud-Waziristan, quinze islamistes et quatre soldats ont été tués samedi lors d’affrontements entre les talibans et les militaires, ont rapporté dimanche des sources au sein des services de sécurité pakistanais.



  • christophe78 25 mars 2012 13:31

    Il ne tenait qu’à ce cinglé d’avoir un avocat (payé encore aux frais du contribuable) en se rendant à la police.



  • christophe78 25 mars 2012 12:59
    L’effrayant testament de Mohamed Merah

    Pendant plusieurs heures, le jeune homme s’est livré à une longue confession à mi-chemin entre les aveux et la provocation. Un récit parfois insoutenable…

    Une sorte de confession. Des aveux, pour les policiers. Un testament, pour Mohamed Merah, qui savait dès le début qu’il ferait tout pour avoir "l’honneur de mourir les armes à la main en moudjhadine". Pendant plusieurs heures, dans la journée de mercredi, le jeune djihadiste a longuement parlé aux négociateurs du Raid, et à la policière de la DCRI qui l’avait « traité » lors de son retour du Pakistan et dont il avait demandé la présence. « J’allais te fumer », a-t-il d’ailleurs avoué à cette jeune femme, aujourd’hui très « secouée ». Samedi matin, lors de la réunion de débriefing qui s’est tenue à l’Élysée, en présence du directeur général de la police nationale, des patrons de la DCRI et de la DGSE, du ministre de l’Intérieur et du garde des Sceaux, il a longuement été question de ces confessions, enregistrées de bout en bout, et de l’enquête qui commence pour tenter de comprendre le "cas Merah« . »C’est un parcours atypique, jamais vu… Il ne ressemble à aucun schéma existant jusque-là", confie le patron du contre-espionnage, Bernard Squarcini. Retour sur ces « aveux », ce qu’ils disent du jeune homme, ses capacités de manipulation, sa détermination, sa folie meurtrière et ses zones d’ombre.

    Ses motivations

    C’est la partie connue de ces longs échanges. "Il est fier d’avoir mis la France à genoux« , a annoncé Claude Guéant le premier matin. »Il n’a exprimé aucun regret. Dans son récit, Mohamed Merah cherche à se donner le beau rôle. Il a un besoin narcissique de se mettre en valeur", confie un enquêteur. D’entrée, sur la base de ce dialogue qui se noue, les négociateurs n’optent pas pour un comportement « suicidaire », et pensent qu’ils ont de bonnes chances d’obtenir la reddition du jeune homme, qui leur promet de se rendre. En fait, Merah n’en a jamais eu l’intention. Après trois à quatre heures d’une logorrhée ininterrompue, les échanges s’espaceront, se feront plus brefs, sous prétexte de prières, notamment, avant de cesser complètement à 22h45. L’homme en a profité pour se reposer, « recharger les accus », se préparer au combat. C’est ce qu’il dira clairement aux hommes du Raid avant de se taire définitivement. À croire cette source proche des négociateurs, son discours est posé, les mots sont choisis, le ton presque courtois. Pas d’invectives. Jamais d’irritation. « Il ne nous a jamais raccroché au nez », insiste-t-on. Un discours froid pour revendiquer l’horreur. Un luxe de détails parfois sordides avec lesquels il exprime pour seul regret d’avoir manqué, à quelques minutes près, « la rentrée des classes dans l’école juive », ce qui lui aurait permis de tuer plus d’enfants. Des propos effarants pour dire le « plaisir infini » ressenti au cours de ses actions meurtrières. Il a aussi longuement expliqué qu’il avait refusé de finir en kamikaze pour pouvoir multiplier les actions, « voir ses victimes », les « toucher » et les filmer. Selon lui, il aurait transmis ses images « à des frères », qui les posteront sur Internet… Un scénario redouté jusqu’à l’Élysée.

    Sa formation

    C’est la partie la plus sujette à caution et des vérifications sont en cours. Le jeune Merah a assuré aux policiers qu’il avait suivi "une formation personnalisée au Waziristan", une région du Pakistan frontalière de l’Afghanistan. "Il a dit qu’il n’était pas passé par les camps d’entraînement collectifs, mais avait été formé sur mesure, une sorte de cours particuliers ès terrorismes« , confie un enquêteur. »Au cours de cette formation, le jeune homme assure que son instructeur voulait qu’il commette des attentats sur Paris, mais qu’il avait choisi de commencer à Toulouse.« Cette »formation sur mesure« est-elle crédible ? »Cela ne correspond à rien de connu", certifie Bernard Squarcini. La DCRI a interrogé les services secrets pakistanais qui, eux aussi, disent « tomber des nues ». Son affiliation à Al- Qaida a en tout cas été revendiquée à plusieurs reprises par Merah. Tout comme sa vénération pour Al- Zawahiri, successeur de Ben Laden. Reste à comprendre comment ce jeune homme de 24 ans a été « formé ». "Cela reste une énigme, mais le plus vraisemblable dans ce qu’il nous a dit est qu’il nous a roulés dans la farine", admet un policier. Il a ainsi prétendu disposer d’explosifs, de grenades, de AK 47… Il n’en était rien.

    Ses cibles

    Les hommes du Raid sont encore estomaqués par la radicalité de ce testament oral de la part d’un garçon de 23 ans, complètement embringué dans "sa guerre contre l’État, l’Occident, ses soldats ou encore les juifs, qui, à ses yeux, sont tous coupables…« Merah assure avoir voulu »venger la mort d’enfants palestiniens", en attaquant l’école juive, mais lors de son dialogue avec les négociateurs, il a admis que ce matin-là, son objectif initial était un militaire qu’il avait repéré au préalable. "Comme ce para n’est pas sorti de chez lui, il s’est attaqué aux enfants", confirme un policier de haut rang. Un plan B en quelque sorte. Mais le tueur au scooter avait prévu de s’attaquer à d’autres écoles juives. Questionné par les policiers du Raid, il a indiqué n’avoir voulu viser que des soldats, à Toulouse et à Montauban, et non des jeunes Maghrébins. "Peut-être qu’il a honte, que cela le gêne d’avoir tué des musulmans", s’interroge-t-on place Beauvau. Deux policiers, le chef de la Brigade anticriminalité (BAC) de Toulouse, dont il avait repéré le domicile, et la jeune officier de la DCRI, d’origine maghrébine, figuraient parmi ces cibles identifiées… À ce propos, il a indiqué qu’après avoir demandé conseil à des « frères » au Waziristan, il serait arrivé à la conclusion que "tuer un soldat français en France aurait le même retentissement que de tuer dix soldats français en Afghanistan"…

    Son plan

    L’enquête est en cours, et il faudra se contenter de ses « déclarations » au talkie-walkie et de l’arsenal mis au jour : un pistolet-mitrailleur Sten, un revolver Python, un fusil à pompe, un pistolet-mitrailleur Uzi, trois pistolets automatiques Colt. 45 de calibre 11,43 mm, dont celui qui servi sur les trois scènes de crime. Merah a assuré avoir dépensé pour environ 20.000 euros pour ces armes achetées auprès de « voyous » locaux. Où a-t- il trouvé ces fonds ? Lui parle de « casses », s’efforçant peut-être, là encore, de ne pas mettre les enquêteurs sur la piste d’éventuels complices. Il a également indiqué être revenu du Pakistan avec un pactole confié par les « frères ». Fin février, il a loué deux voitures, une Mégane et une Clio. "Elles étaient prépositionnées pour qu’il puisse continuer son road-movie meurtrier", confie un haut gradé de la police. Merah avait donc planifié de changer de mode opératoire avec ces véhicules qualifiés de « voitures relais ». Pour s’aventurer loin de Toulouse ? À la journaliste de France 24, Ebba Kalondo, qui reçoit un appel mardi à 1 heure du matin, après que son interlocuteur eut tenté de joindre plusieurs rédactions, celui qui dit être Mohamed Merah assure qu’il y aura des attentats "très prochainement à Paris, Lyon et Marseille"…

    Son frère

    Mohamed Merah, lors de ce dialogue avec la police, s’est efforcé de mettre son frère Abdelkader « hors de cause ». "Il n’a pas arrêté de répéter qu’il n’avait pas confiance dans son frère", confie un enquêteur. Il a toujours dit avoir travaillé seul. À l’écouter, personne n’était au courant. Il assume tout : les assassinats, les repérages, la logistique… Merah assure aux policiers avoir été une sorte "d’autodidacte de l’islam« , après avoir lu le Coran, »seul, en prison", réfutant l’influence de son frère dans sa foi. L’enquête policière s’intéresse également au rôle de ce frère aîné dans la dérive djihadiste du cadet. Mohamed l’avait rejoint au Caire en 2010, avant ses voyages en Afghanistan et au Pakistan, mais aussi en Algérie, selon ses dires. Aux hommes du Raid, Mohamed Merah est apparu très curieux de ce qui se passait à l’extérieur. Conscient que sa famille serait interrogée par la police, il n’a manifesté aucun intérêt pour le sort réservé à son frère et à ses soeurs. Il s’inquiétait, en revanche, franchement pour sa mère. Son seul lien affectif ?


    JDD



  • christophe78 25 mars 2012 10:20

    "Sur les commentaires lus, je peux confirmer que Mohamed Merah ne correspond pas aux critères du RSA (pourquoi affimer-cela si fort dans tous les médias sans vérification d’une information accessible à tous), « 

    Encore un avis d’expert...

    Dans le Parisien, qui contrairement à l’expert Valpop, a vérifié ce fait :

     »Ses seuls revenus sont une allocation de revenu de solidarité active réservée aux jeunes. Il touche environ 500 € par mois car il a été apprenti en carrosserie pendant un an, avant d’être licencié et de reprendre une autre formation chez un second patron pour une durée de dix-huit mois."



  • christophe78 25 mars 2012 09:34

    Pauvre Morice qui pense que j’ai mal lu

    Dans le Parisien :
    "Son appartement dans la résidence Belle-Paule où il demeurait était pris en charge par un organisme social dans cette copropriété ancienne mais proprette.« 

    Encore une »preuve" de Morice qui vole en éclat



  • christophe78 25 mars 2012 09:19

    Pour le RSA, voici déjà l’explication dont avait besoin Morice l’accusateur sans preuve :
    "Ses seuls revenus sont une allocation de revenu de solidarité active réservée aux jeunes. Il touche environ 500 € par mois car il a été apprenti en carrosserie pendant un an, avant d’être licencié et de reprendre une autre formation chez un second patron pour une durée de dix-huit mois." Le Parisien ce jour

    alors ça lui venait de où, l’argent ????

    Pas de Squarcini comme le suggère Morice mais plus certainement d’un réseau de fanatiques dans son genre (ce que l’enquête va chercher à savoir).



  • christophe78 24 mars 2012 22:11

    Bonsoir Wesson,

    Je crois me souvenir avoir lu qu’il occupait un logement de type « social ».

    On en saura plus prochainement j’en suis certain.

    Car la préoccupation de la justice va être d’essayer de savoir s’il a agit seul ou avec des complicités. Donc son argent, son train de vie, son passé vont être passés au crible par les enquêteurs, la justice et les médias.

    Bonne soirée



  • christophe78 24 mars 2012 21:43

    Aucune preuve.

    Votre théorie paranoïaque serait amusant si les fait n’étaient pas si graves.


  • christophe78 24 mars 2012 21:42

    Vous n’apportez aucune preuve.

    Vous supputez.
    Je peux autant croire qu’il a emprunté cet argent, volé, économisé peu importe que votre fumeuse théorie.
    Laissez donc faire la justice faire son travail.
    Plutôt que de fantasmer une hypothétique manipulation d’état.


  • christophe78 24 mars 2012 21:40

    Dans la phrase que je met en cause, vous n’avez pas écrit « fonctionnaire ». Vous avez écrit :

    « C’est le jeune de banlieue (...) qui décroche son portable et appelle Squarcini en personne   »


  • christophe78 24 mars 2012 21:38

    Faux.


    Vous détournez les paroles de Squarcini pour votre démonstration. C’est malhonnête et cela affecte l’ensemble de votre travail. Dommage car les zones d’ombre méritaient mieux que ce gloubibouga de paroles déformées et de sous-entendus non démontrés.
    N’est pas Oliver Stone qui veut.


  • christophe78 24 mars 2012 18:24

    Quelle vulgarité faute d’argument !


    Dans cet extrait du Monde, on ne lit nulle part que Squarcini en personne s’est entretenu avec Merah. Ce que vous écrivez est donc mensonger.



  • christophe78 24 mars 2012 18:22

    Je pourrais être d’accord avec votre commentaire si toute la démonstration de Morice ne reposait pas sur l’importance des détails. 

    Quand on sous-entend, comme il le fait, qu’il y a manipulation d’état il faut être très précis et ne pas commettre soit-même des détournements de la vérité, des approximations et des supputations sans preuve. Au risque de perdre toute crédibilité.


  • christophe78 24 mars 2012 18:08
    Morice écrit :

    « Personnellement, voyez-vous, je verrais davantage des revenus provenant de ventes de photos, mais bon, je ne sais pas combien ça se vend, des paysages pakistanais où apparaîtrait un bout de camp du TTP ! »

    Pure spéculation en effet.


  • christophe78 24 mars 2012 18:01

    Morice écrit :

    « C’est le jeune de banlieue (...) qui décroche son portable et appelle Squarcini en personne  : et il ne le fait pas alors qu’il est rentré, non, il le fait... à partir du Pakistan même. »
    Cette affirmation de Morice pour étayer sa démonstration n’est absolument pas dans l’interview du Monde. C’est une lamentable manipulation de l’auteur de cet article.


  • christophe78 24 mars 2012 17:50

    et apprenez à accorder « mortelles »....



  • christophe78 24 mars 2012 17:37

    Faux.


    Vous écrivez : 
    « Le lendemain même où le pantin terroriste été retrouvé en bas de son immeuble criblé de balles, l’homme qui avait demandé à le rencontrer à l’automne 2011 est venu aussi vite parler à sa place »
    et 
    « C’est le jeune de banlieue, fiché pourtant comme délinquant à surveiller par la police ou la médecine psychiatrique, qui décroche son portable et appelle Squarcini en personne : et il ne le fait pas alors qu’il est rentré, non, il le fait... à partir du Pakistan même »

    Ces phrases sont de vous et pas extraites du Monde.
    Vos phrases laissent penser tout autre chose que ce que déclare Squarcini.

    Vous procédez ainsi de la manipulation en détournant des phrases de leur sens premier.


  • christophe78 24 mars 2012 17:18

    Monsieur Morice vous procédait dans votre article à une manipulation.

    Vous laissez penser à plusieurs reprises que Merah était en contact avec Squarcini :

    Exemple 1 : vous écrivez :

    « Le lendemain même où le pantin terroriste été retrouvé en bas de son immeuble criblé de balles, l’homme qui avait demandé à le rencontrer à l’automne 2011 est venu aussi vite parler à sa place »

    Alors que dans « le Monde », on peut lire : 

    Mohamed Merah vous a parlé pendant le siège du RAID ?

    Il a souhaité parler avec le policier de la direction régionale du renseignement intérieur (DRRI) de Toulouse qui l’avait rencontré en novembre 2011. Il est intervenu au cours des négociations. Mohamed Merah semblait avoir un rapport de confiance avec lui. Il s’est confié, il a coopéré. Il nous a dit où était le scooter ou les deux voitures. Le courant passait bien. Non sans cynisme. Il a même dit à ce policier : « De toute façon, je devais t’appeler pour te dire que j’avais des tuyaux à te donner, mais en fait, j’allais te fumer. » C’est un Janus, quelqu’un qui a une double face.

    ou encore :

    Exemple 2 : vous écrivez :

    « C’est le jeune de banlieue, fiché pourtant comme délinquant à surveiller par la police ou la médecine psychiatrique, qui décroche son portable et appelle Squarcini en personne : et il ne le fait pas alors qu’il est rentré, non, il le fait... à partir du Pakistan même »

    Alors que dans « le Monde », on peut lire : 

    Il s’y soumet sans problème ?

    Le fonctionnaire qui l’a reçu n’a pas senti une volonté d’esquiver, au contraire. Mohamed Merah l’appelle le 13 octobre 2011 car il n’est pas en France à ce moment-là, il est au Pakistan. « Dès que je rentre, je vous contacte », a-t-il dit. Le 3 novembre, il rappelle de l’hôpital Purpan, à Toulouse, ou il est hospitalisé pour une hépatite. 

    Ce genre de manipulation casse toute votre démonstration. J’invite ceux qui veulent se faire une opinion à lire directement l’interview de Squarcini sur le site du Monde.fr



  • christophe78 19 avril 2008 21:23

    Dans votre programme, vous évoquez une bonne gestion de l’argent des contrubuables.

    Votre logement, votre alimentation, votre chauffage, vos déplacements, vos vacances sont pris en charge par le budget de l’Elysée (100 millions d’euros par an).

    Pensez-vous que, quand les caisses sont vides, il est juste d’augmenter votre salaire de 170%

    Que dois penser l’électeur qui vous a fait confiance ?



  • christophe78 19 avril 2008 21:20

    Le paquet fiscal qui coûte 15 milliards par an devait provoquer un "choc de confiance" ?

    Combien de temps devons nous encore attendre ce choc ?