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Les commentaires de Jean-Paul Foscarvel



  • Jean-Paul Foscarvel Jean-Paul Foscarvel 16 juillet 2023 00:23

    Il s’agit d’une transition fondamentale.

    A l’ONU, une conférence récente était tenue par des robots, dont l’un d’eux a dit qu’ils serait mieux à même de diriger le monde que les humains.

    Qu’est-ce que cela signifie ?

    Que des entreprises, capitalistes, ont conçu des machines à l’aide de la somme des connaissances humaines cumulées pour finir par nous remplacer. Des industriels des neo-technologies œuvrent pour que la direction du monde leur soit confiée à travers les machines qu’eux-mêmes ont conçues.

    Les GPP (Grands Propriétaires de la Planète) ont pu faire suffisamment avancer la technologie pour nous détruire. Au nom de la sauvegarde de la planète, en UE, ils veulent déjà supprimer les bovins et nous interdire de manger de la viande. Ils veulent nous interdire de construire des maisons individuelles pour éviter le sentiment d’autonomie, qui permet la contestation (Gilets Jaunes). C’est le début.

    Pour les GPP, une grande part de l’humanité devient inutile, voire nuisible pour l’augmentation des taux de profit, et peut-être au-delà pour leur confort personnel.

    Étant incapables d’envisager un monde sans la croissance, du moins celle de leurs profits, ils comptent sur la disparition progressive des classes jusqu’à la classe moyenne, désormais inutile pour eux.

    C’est ce que j’appelle du « turbo-nazisme ». Un hégémon non seulement totalitaire, mais une thanatocratie, comme le fut le régime nazi, mais en plus complexe, plus subtil et surtout plus efficace dans la surveillance généralisée, et privatisé.

    Un obstacle majeur se dresse devant eux, la Russie, il est alors essentiel de la détruire, par tous les moyens possibles, car ils n’entrent pas dans la combine des assassins qui dirigent l’occident. Le covid a été une épreuve de test, ils veulent passer à la suite. S’ils gagnent, l’humanité est perdue.

    Alors Poutine est peut-être archéo-patriarcal, antidémocratique, vénal, mais il ne veut pas exterminer 90 % de l’humanité. C’est un allié pour tous les peuples de la planète qui désirent survivre.



  • Jean-Paul Foscarvel Jean-Paul Foscarvel 11 juillet 2023 11:13

    @Jonas
    Pour une fois, je trouve que ce discours sonnerait juste, s’il était sincère.
    Mais c’est Macron, c’est du vent, c’est rien.
    Devant le centre du judaïsme, il peut faire ce discours, et l’inverse ailleurs.
    Ses discours n’ont qu’un but : séduire ceux ou celles qui sont face à lui.
    Devant les infirmières, il dira que la santé est un acquis universel que la république doit préserver, et devant BlackRock que la santé publique doit bien entendu, comme BR le suggère, être privatisée, rationalisée en fonction des profits à réaliser, non des malades qui pour la plupart ne sont rien, et les petits hôpitaux de province supprimés.
    C’est l’hybridation monstrueuse d’un acteur et d’un banquier.



  • Jean-Paul Foscarvel Jean-Paul Foscarvel 11 juillet 2023 10:44

    @Buzzcocks
    « C’était mieux avant » date du temps de... Gilgamesh, où déjà certains écrits montrent des paysans désespérés que la nouvelle génération ne sache plus correctement élever les animaux.

    Ce qui va mal, c’est la privatisation générale de l’économie et son pendant, la perte systématique des services publics, services eux-mêmes attaqués par les « rebelles » et dont bénéficiaient leurs parents, comme s’ils étaient du même côté que Macron, avec des objectifs similaires : détruire les services publics, les uns pour faire chier les français, l’autre pour servir l’avidité de ses copains.



  • Jean-Paul Foscarvel Jean-Paul Foscarvel 21 juin 2023 13:58

    @Divitiac I. Desgoths
    On peut aussi le traiter avec humour, comme dans le film « ocho apellidos vascos » (huit noms basques) voir ici.
    L’existence de ce film prouve que les choses s’ouvrent un peu côté espagnol.



  • Jean-Paul Foscarvel Jean-Paul Foscarvel 21 juin 2023 11:34

    Côté espagnol, le débat est interdit sur l’usage de la langue basque.

    Ceux qui ne maitrisent pas l’euskera se voient refuser les postes de travail, quelle que soit leur compétence.

    A part cela, il n’y a rien à dire, sous peine d’ennuis.



  • Jean-Paul Foscarvel Jean-Paul Foscarvel 20 juin 2023 11:32

    Il y a eu un changement radical de la doctrine occidentale entre l’idéologie libérale qui considérait que les acteurs étaient rationnels dans leurs choix et exigeait au fond la liberté de consommer sans borne et son évolution vers un totalitarisme-libéralisme qui veut contrôler les individus comme n’étant pas aptes à décider par eux-mêmes afin de leur imposer des choix dont ils ne veulent pas.

    La première phase était basée sur la propriété, la nouvelle phase sur sa suppression pour les classes moyennes, dans la mesure où la propriété constitue une autonomisation vis-à-vis du système. Notamment, la maison individuelle qui était considérée comme l’exemple à suivre, une imitation de la bourgeoisie par les couches « inférieures », est désormais condamnée, officiellement pour la planète (isolation, densité, etc.), en réalité car elle peut constituer la base d’une résistance et l’autonomisation relative de ces classes. Peut-être l’aventure des gilets jaunes a-t-elle été un signal déclencheur pour les décideurs institutionnaux européens.

    Il en va de même pour l’éducation, qui a été vue comme un moyen d’associer les classes moyennes au projet libéral et est désormais vu comme une autonomisation intellectuelle vis-à-vis du système qu’il faut détruire. Pour ceux qui peuvent encore étudier, nous sommes passés de l’éducation par la recherche à l’apprentissage directement dans les entreprises, permettant de formater au mieux des besoins les nouveaux arrivants. Pour les autres, rien. Ils doivent rester ignorants et s’attacher aux écrans de leur mobile : la pensée libre est remplacée par le stimuli.



  • Jean-Paul Foscarvel Jean-Paul Foscarvel 20 juin 2023 11:13

    Les élites européennes n’ont pour but de défendre ni l’Europe, ni les États qui la constituent.

    Elles ont désormais une franche haine du peuple. Il leur faut le réduire à la misère, le déporter, comme les SDF à Paris, le surveiller, le spolier en rendant ses propriétés illégales, lui supprimer tous ses droits.

    La guerre en Ukraine est alors une bonne occasion, après l’échec du covid (trop peu de morts, l’économie n’a pas vraiment vacillé, etc.)*

    Suppression des énergies, suppression des libertés, suppression des soins, contrôle intégral des médias, ruine des États, et remplacement par des entités privées dans tous les domaines.

    Donc oui, l’UE est vassale des USA car ils ont les mêmes objectifs. Aux US, ils utilisent la drogue, et la diffusion générale des armes à feu, pour détruire leur population et ça fonctionne assez bien.

    Le projet de la trilatérale Finance-Gafas-Pharmas, soutenue par le CMI qui fournit les moyens de répression, est de se débarrasser d’une bonne partie de la population (nouvelle solution finale) dont les classes moyennes, qui ne contribuent plus à l’optimisation des profits.

    Le souci, ce sont les États indépendants qui ne marchent pas dans cette combine, d’où la guerre contre ces États. Mais ils sont de plus en plus nombreux, car à terme, il en va de leur survie et les dollars US ne les attirent plus vraiment.

    Le véritable enjeu des guerres étasuniennes est là. Ils ont concrètement remplacé les nazis avec de nouvelles méthodes, un discours démocratique de moins en moins crédible.

    Comme le capitalisme est devenu « turbo-capitalisme » via la plus-value immatérielle (Google,Microsoft, etc.), le nazisme germanique est devenu turbo-nazisme étasunien. Bizarrement, il se heurte au même obstacle, la Russie.

    Poutine n’est pas parfait, notamment il est archéo-patriarcal, pas vraiment démocrate, mais il agit au mieux des intérêts de la Russie, et sans que nous le sachions, des Européens, car les cible US ce sont les peuples dont celui de l’Europe, c’est-à-dire nous-mêmes.

    Pour la France, à terme, il faudrait quitter l’OTAN, l’UE, l’Euro et rejoindre les BRICS. La différence entre les BRICS et les organisation téléguidées par les US, est qu’ils n’exigent pas d’alignement politique : nous pouvons parfaitement restaurer** la démocratie tout en étant alliée de la Russie et de la Chine, à condition de ne pas nous-même exiger qu’ils s’alignent sur nous.

    _____________

    *Le changement climatique est aussi un prétexte à la suppression des libertés, y compris de se nourrir correctement ou de se déplacer. S’il était pris au sérieux, les jets privés, par exemple, cesseraient de voler sauf occasions exceptionnelles.

    ** Nous ne sommes plus en démocratie, je crois que c’est désormais clair.



  • Jean-Paul Foscarvel Jean-Paul Foscarvel 6 juin 2023 17:05

    Le plus dangereux de tout cela est que la décision politique ne se fait plus au niveau des États, ni même des groupes d’États (l’UE), mais à celui des entreprises hyper-globalisées.

    C’est-à-dire que les intérêts privés de quelques personnes l’emportent sur la volonté commune des citoyens, et ceci quelque soit le niveau de décision.

    Ce n’est plus du lobyyisme, mais l’établissement d’une dictature qui touche l’ensemble du monde occidental. La dictature de l’oligarchie.



  • Jean-Paul Foscarvel Jean-Paul Foscarvel 31 mai 2023 16:42

    L’écologie vue par le capitalisme n’est qu’un moyen supplémentaire de créer du profit.

    Dans ce cas, il s’agit de remplacer le matériel par l’immatériel (logiciels, applications, ubérisation, etc.).

    La production immatérielle demandant moins de main d’œuvre, une partie de la population devient surnuméraire. Elle peut être éliminée. Moins de pollution, mais de dépenses sociales, moins de production matérielle (qui génère peu de profits). Il n’y a pour les « turbo-capitalistes » que des avantages.

    L’idéologie se sert alors du réchauffement pour interdire progressivement aux pauvres de vivre. C’est le côté eco-fascisme, voire turbo-nazisme.

    Si le problème est réel, il faut bien entendu raisonner autrement, et plutôt que d’avoir des loisirs, un mode de vie polluant, changer celui-ci du tout au tout, non en interdisant de se chauffer, de manger, de se soigner, de vivre, mais en le faisant autrement.

    Cela demande la réduction du temps de travail, une organisation rationnelle des transports et des déplacements, des choix culturels et de moins énergivores et plus conviviaux, un ralentissement général des activités, l’oubli du culte de la performance à tout prix, une libération face au écrans, etc.

    Mais ce qui est proposé en est à l’opposé. On demande aux automobilistes de passer à l’électrique, mais qu’en est-il des camions qui circulent à tout va, en diésel, alors que le train, par exemple, pourrait les remplacer. À eux, on ne demande pas de passer au tout électrique. Et les riches pourront continuer avec l’essence sur leurs bolides couteux. Le but n’est pas de protéger la planète, mais d’optimiser les profits, y compris si le reste de l’humanité, trop pauvre, doit disparaître.

    Ils (les grands propriétaires planétaires) sont capables de tout pour satisfaire leurs désirs, la seule limite étant l’impact résiduel qu’ils admettront sur leurs propres modes de vie. Ils sont peu nombreux, mais tiennent les gouvernements occidentaux et l’ensemble des médias associés.

    Un régime alternatif devra forcément se poser la question de la rareté, et limiter la prétention infinie d’un individu à satisfaire ses désirs sans borne à partir du moment où il en a les moyens (comme Elon Musk qui veut faire du tourisme spatial).



  • Jean-Paul Foscarvel Jean-Paul Foscarvel 31 mai 2023 15:58

    Au nom de l’écologie, l’UE veut interdire les vaches, donc la viande, le lait, le beurre, le fromage.

    Ces denrées deviendront très chères et réservées aux riches.

    Le même raisonnement va bientôt être appliqué aux humains. Ils créent du CO2, il faut donc les éliminer.

    Bien entendu, ce seront les pauvres les premières victimes. Les chômeurs, les sans abris, les vieux trop pauvres pour être incarcérés dans un EHPAD.

    Interdiction de se déplacer, de se soigner, de se loger, de manger, de boire, de chier (comme présentement), de respirer.

    Un éco-fascisme est en cours pour justifier l’élimination des humains pauvres considérés comme surnuméraires, tandis que les riches pourront continuer à faire du golf, du jet ski, utiliser des turbo-jets personnels et faire du tourisme spatial.

    C’est le programme de la « grande réinitialisation », de Bildelberg et des grands propriétaires de la planète qui mettent en place une nouvelle solution finale.

    J’appelle cela du turbo-nazisme, et on nous habitue peu à peu à accepter le pire.



  • Jean-Paul Foscarvel Jean-Paul Foscarvel 23 mai 2023 19:10

    Pourquoi les systèmes occidentaux, si sophistiqués comme le F35, finissent par ne pas fonctionner ?

    Tout simplement dans la mesure où le système de communication gangrène les entreprises elles-mêmes, et sont désormais dirigées par des hauts responsables qui ont tourné leurs têtes trop remplies non vers la technique, qu’ils méprisent, mais vers le marketing, la com, la finance et finissent par ne plus comprendre ce qu’ils gèrent que via des intermédiaires qu’ils méprisent et dont les avis ne comptent pas.

    Ceci est arrivé dans l’automobile allemande elle-même, où les contrôles réalisés ne répondaient pas aux exigences, mais tout était caché, car chacun a peur de révéler la cruelle vérité.

    Il n’y a plus de réelle maîtrise technique dans la mesure où la technique est méprisée. À la place, il y a de belles actions de communication qui prouvent que tout va bien dans le meilleur des mondes.

    L’ingénierie contractuelle a remplacé la connaissance technique, avec des chaînes de sous-traitants qui se renvoient la balle, et les résultats réels s’avèrent catastrophiques.



  • Jean-Paul Foscarvel Jean-Paul Foscarvel 23 mai 2023 18:58

    L’occident est paniqué en envoie toutes sortes de matériels vers Z.

    Les USA sont déjà confrontés à une crise de confiance vis-à-vis du dollar, et de nombreux pays cherchent à dédollariser.

    Ce qui s’est passé avec Patriot vs Kinzhal, c’est également une perte de confiance vis-à-vis du matériel US et plus généralement occidental.

    À force d’envoyer des systèmes qui seront détruits avant d’avoir pu fonctionner, c’est la crédibilité de l’industrie occidentale qui est en jeu.

    D’où les actions de communication de l’Empire du mensonge.

    Mais si cela se confirme, la communication ne sera plus que de la mauvaise publicité qui ne fonctionnera plus.

    D’une part le système de communication, avec son corolaire les réseaux « sociaux », n’inspirera plus confiance et la valeur qu’il crée s’effondrera, faisant s’effondrer la plus-value immatérielle qui seule peut encore créer des % de dividendes à deux chiffres, d’autre part les matériels eux-mêmes, distribués par la CMI, ne vaudront plus rien.

    On voit donc que derrière l’effervescence belliciste, il y a un enjeu existentiel pour les USA, et l’occident qui traine à leurs basques. C’est vaincre ou mourir.

    D’où, notamment, la fébrilité des trolls.



  • Jean-Paul Foscarvel Jean-Paul Foscarvel 18 mai 2023 19:33

    Il faudrait être plus précis sur l’oligarchie.

    Elle est fortement internationale et s’est transformée progressivement.

    Aujourd’hui, elle se réunit à Davos ou aux rencontres Bildelberg pour diriger la politique des États en dehors de toute démocratie.

    Elle est formée essentiellement de la finance, des entreprises de haute-technologie et du big pharma. C’est elle qui a imposé les modifications vitales suite au covid et est en train de digitaliser l’économie pour optimiser les profits.

    Elle est en train de créer un système totalitaire avec pour but d’éliminer une partie de la population, car son modèle est passé du matériel à l’immatériel et demande moins de main d’œuvre que par le passé.

    S’opposer à elle est une urgence importante, mais aussi conduira à des représailles considérables. La France sera attaquée comme le sont la Russie ou la Chine. Nous devrons nous opposer à l’Hégémon, c’est-à-dire les USA, UK et l’UE.

    Il faut être clair : il faudra non seulement sortir de l’OTAN, mais aussi de l’Euro (la BCE est en Allemagne et le sort de la Grèce nous serait réservé), de l’UE, et, pour pouvoir continuer de commercer sans aller vers la ruine, rejoindre les BRICS.

    Si l’idée est bonne, un parti seulement souverain n’aura pas la capacité de résister face au système tel qu’il est devenu. Soit le pays sera isolé, soit la pression sur le nouveau gouvernement, peut-être même jusqu’à des menaces physiques, fera retourner les nouveaux dirigeants dans le giron occidental qui protège l’oligarchie.

    Aujourd’hui, on ne peut plus envisager des changements politiques sans tenir compte du contexte géo-politique.



  • Jean-Paul Foscarvel Jean-Paul Foscarvel 18 mai 2023 17:32

    @goc
    Au point où nous en sommes, on ne peut pas ne pas se poser la question de savoir si le bloc euro-atlantique n’est pas l’héritier du nazisme.
    De nombreux point communs.
    D’une part le Royaume uni par l’intermédiaire de son roi Édouard VIII, a été à deux doigts de se tourner favorablement vers Hitler. Churchill, malgré d’autres défauts, avait su faire le bon choix à l’époque, sauf qu’il n’y a plus de dirigeant comme lui en Occident. Le Royaume uni est désormais du côté sombre de l’histoire.
    D’autre part, les USA ont été le réceptable ouvert d’ancien nazis qu’il a recyclé à son avantage. Toute la politique belliciste des USA a été comme une poursuite, pour de « bons » motifs, de celle de l’Allemagne nazie.
    En Allemagne, la « dénazification » a été suffisamment faible pour qu’une Ursula Von de Leyen, aux ancêtres sulfureux et nazis, soit au gouvernement, puis promue à la Commission. Fer de lance de l’attaque contre la Russie.
    La haine de la Russie est un point commun entre le bloc euro-atlantique et l’Allemagne nazie.
    La volonté de destruction des juifs s’est convertie en volonté de destruction des classes pauvres, avec des mécanismes similaires : mises à l’encart, spoliation, censure, oppression et finalement, élimination. Nous en sommes à la moitié du processus qui s’est accentué avec le covid.
    Le blocage des moyens d’information remplacés par de la propagande. Autrefois, il fallait écouter radio Londres, aujourd’hui lire Spoutnik, pour avoir ne serait-ce qu’une information complémentaire.
    La volonté d’une « révolution planétaire », national-socialiste dans le cas des nazis, et je dirais mondial-sociétaliste (la Grande réinitialisation qui refusant d’adapter le libéralisme économique à l’être humain, adapte celui-ci à son funeste projet) dans le cas présent, avec comme corolaire la destruction de tout ce qui s’y oppose.
    Le lien a priori surprenant entre l’écologisme et le nazisme à l’époque (ici) et celui aujourd’hui évident entre l’écologie et d’une part la volonté guerrière, notamment de l’Allemagne, et de l’atteinte aux droits de l’homme (propriété, déplacement, vie, nourriture) actuelle.
    Ce qui est surprenant, c’est la continuité, voire l’obstination de l’histoire.



  • Jean-Paul Foscarvel Jean-Paul Foscarvel 17 mai 2023 14:37

    @Francis, agnotologue
    Le libéralisme s’est servi et se sert de ses contradictions internes pour confondre ses adversaires.
    Ce fut le cas des droits de l’homme contre les pays socialistes, alors qu’il ne les respectait pas lui-même (via la mise en place de régime dictatoriaux favorables), et c’est aujourd’hui le cas avec l’éveillisme.
    Le paradoxe est qu’il ne respecte pas les droits de ceux ou celles qu’il est censé défendre et se sert de ces droits pour enfoncer ses adversaires.
    Ceci dit, reste la légitimité de ces droits en soi, que ce soit celui des droits de l’homme, des femmes, ou des minorités, qui elle est incontestable, à condition qu’elle ne remette pas en cause les droits des autres qui ne font pas partie de ces minorités. Il y a une limite complexe entre la légitimité de ces droits et leur abus qui doit être pensé et débattu clairement dans la société mais ne l’est pas car ils deviennent des dogmes d’un côté et sont fortement attaqués de l’autre.
    Plutôt que de s’affronter, la société devrait en ces domaines se référer à la médiété aristotélicienne.



  • Jean-Paul Foscarvel Jean-Paul Foscarvel 17 mai 2023 13:45

    @Jean-Paul Foscarvel
    erratum : par contre, ce que peut revendiquer...



  • Jean-Paul Foscarvel Jean-Paul Foscarvel 17 mai 2023 13:40

    Je suis persuadé que le « wokisme », ou éveillisme en français est le cheval de Troie de ce que j’appelle le turbo-capitalisme.

    Quel en est l’objectif ? Diviser les classes inférieures, prolétaires et néo-prolétaires, jusqu’aux classes moyennes, d’une part afin de mieux les soumettre et d’autre part les discréditer comme racistes, homophobes, déplorables, etc. ce qui légitimera plus tard leur élimination, comme au canada (loi sur l’euthanasie des pauvres).

    Le système se fout en réalité du sort de ceux qu’il est censé protéger, comme aux USA où le sort réel des noirs n’a pas progressé, voire empiré, et en France où le traitement réel des pays africains reste essentiellement néo-colonial. C’est donc une posture qui n’a rien de réel.

    Quant à la manipulation de l’histoire, elle est tout simplement grotesque.

    Par contre, ce qui peut revendiquer la gauche, c’est, à partir de la demande légitime d’ouverture des droits aux minorités qui ont été opprimées, de demander non seulement l’ouverture des droits sociétaux, ais aussi sociaux, et que cesse la main mise par l’oligarchie sur l’ensemble des classes opprimées, sans distinction de couleur, de culture, de genre ou de sexualité.

    Le retour à un monde libre pour l’ensemble des citoyens sans surveillance, sans oppression (comme le sont les manifestations), où cesse l’esclavagisme généralisé en cours, jusqu’à une possible élimination des pauvres. C’est au pouvoir des banques, des Gafas et des Big-pharmas, qui contrôlent le politique dans les pays du bloc occidental, auquel il faut s’opposer.



  • Jean-Paul Foscarvel Jean-Paul Foscarvel 15 mai 2023 12:53

    J’aime bien la première image où l’inconscient de Macron parle pour lui.

    Cela ressemble fort au salut nazi.



  • Jean-Paul Foscarvel Jean-Paul Foscarvel 14 mai 2023 14:27

    Macron été élu démocratiquement selon les critères en vigueur.

    Macron est donc le représentant de la démocratie. Il est la démocratie incarnée.

    L’ensemble de ses décisions est donc légitime.

    Critiquer ces décisions est donc illégitime. La critique de Macron est une critique de la démocratie, elle remet en cause la démocratie.

    Ceux qui critiquent Macron, critiquent la démocratie. Ils sont anti-démocratiques. Ils sont donc dangereux pour la démocratie.

    Il est donc normal que la démocratie, qui doit être préservée, s’en protège.

    Pour cela, il est nécessaire à la démocratie de mettre en place des mécanismes qui empêchent ceux qui sont contre la démocratie de lui nuire.

    Il est donc légitime d’empêcher par tous les moyens les anti-démocrates de nuire à la démocratie.

    Dans un premier temps, l’interdiction de leurs manifestations est nécessaire. Si cela se poursuit, il est nécessaire de surveiller, puis de les censurer, si cela ne suffit pas, il est nécessaire de les priver de moyens d’expression, puis de subsistance, si cela ne suffit pas, il faut les enfermer, si cela ne suffit pas, il faut les déporter, ou les éliminer physiquement.

    L’élimination systématique des opposants sera alors le seul gage du renforcement sans borne de la démocratie.



  • Jean-Paul Foscarvel Jean-Paul Foscarvel 12 mai 2023 12:12

    Cela fait partie de la progressive surveillance renforcée de tout citoyen dans tous les domaines de la vie.

    Au nom du bien, un système intégral de contrôle, surveillance et sanctions se met en place, cela fait partie du totalitarisme numérique prôné par l’UE et décliné par macron et des cabinet conseils type McKinsey.

    Le but final est de supprimer tous les droits des ex-citoyens pour ensuite éliminer une bonne partie de la population.

    Un fascisme 2.0 en quelque sorte.