Pourquoi donc, ne pas attribuer les impacts sur le bord du balcon à l’interdiction par le feu, de la part du ou des flics retombés sur la pelouse, de la tentative du forcené de passer pardessus pour les liquider ?
Il me semble évident que la direction de l’opération a vraiment attendu la dernière seconde pour lâcher les snipers avec tous les risques que cela implique pour les équipes d’assaut et d’appui pris au piège par le ratage complet que provoque l’assaut frontal de Merah vers le balcon.
Alors, bien sûr que ce ratage et l’échec partiel de la mission - puisqu’elle était de le prendre vivant - doivent être éclairés. Mais, quelle chance a-t-on de pouvoir exiger toute la lumière si l’on commence à accuser, sans preuves ni présomptions plausibles, de meurtre avec préméditation à une unité de police qui se joue souvent le physique face à des cinglés ?