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Les commentaires de Marsupilami



  • Marsupilami Marsupilami 13 juillet 2006 12:07

    Ouaf !

    Oui, c’est dommage. Ce bouquin est devenu introuvable. On se demande bien pourquoi...

    Heureusement, ceux de Chahdortt Djavann sont toujours disponibles.

    Houba houba grrr...



  • Marsupilami Marsupilami 13 juillet 2006 11:17

    Ouaf !

    Excellent article qui appelle un chat, un chat. S’il existe quantité de musulmans modérés, l’Islam n’est pas une religion modérée, et le fait que le Coran soit la parole même d’Allah pose un quasi-insoluble problème aux sincères réformateurs musulmans. Dans un numéro de Courrier International consacré à la réforme de l’Islam, l’un d’eux ne trouvait d’ailleurs aucune autre échappatoire que de chercher les outils de la réforme de l’Islam... dans le Coran !

    Infernal paradoxe...

    « Le plus nocif des legs de Muhammad est peut-être d’avoir soutenu que le Coran est la parole même de Dieu, vraie à jamais, faisant ainsi obstacle à tout progrès intellectuel et oblitérant tout espoir de liberté de pensée qui seuls permettraient à l’islam d’entrer dans le XXIème siècle » (Ibn Warraq / Pourquoi je ne suis pas musulman / 1999).

    Les solutions pour sortir de cette impasse semblent difficiles à imaginer. Comme le dit encore Ibn Warraq, musulman apostat, « Si évolution naturelle du polythéisme au monothéisme il y a, alors, ne pourrait-il pas y avoir une évolution naturelle du monothéisme vers l’athéisme ? ». Mais justement, l’Islam ne tolère pas l’apostasie...

    Houba houba grrr...



  • Marsupilami Marsupilami 12 juillet 2006 15:48

    Ouaf !

    @ Faxtronic

    Je suis assez d’accord avec toi, même si je ne suis plus un jeune depuis un bon moment. Je viens d’organiser un séminaire à la campagne - donc, euh, comment dire, dans le réel bouseux - dont la plupart des participants s’étaient rencontrés virtuellement par l’intermédiaire d’Internet. Donc je rencontrais pour la première fois en chair et en os des êtres que je ne connaissais qu’électroniquement, et je dois dire que je n’ai pas été déçu. En fait, j’ai même été assez stupéfié : ils ressemblaient à ce que j’imaginais.

    Les gens avec lesquels on a vraiment des affinités profondes peuvent vivre à des centaines ou des milliers de kilomètres de nous. Avant Internet, à moins de voyager intensivement, on avait guère de possibilités de les rencontrer. Avec Internet, c’est devenu banal, et c’est formidable. Le concept de voisin est devenu obsolète.

    N’empêche, c’est quand même plus mieux de se rencontrer les ripatons dans l’herbe verte, en buvant des canons, mangeant, jouant au badminton ou à la pétanque ensemble.

    En ce sens Internet ne sera jamais un territoire en soi (sauf dans le domaine de la pure abstraction), mais plutôt un sas.

    Houba houba !