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Les commentaires de jcm



  • jcm jcm 6 novembre 2009 23:48

    Merci du conseil, Croa, mais je tente de ne désespérer de personne...



  • jcm jcm 6 novembre 2009 23:27

    @ joletaxi :

    Vous écrivez : « Vos théories sur la raréfaction des énergies fossiles,je l’ai entendue déjà il y a 40 ans... ».

    Ce ne sont pas « mes » théories, et peut-être manquez-vous de documentation ?

    « Le débat sur le pic pétrolier serait inutile »

    « Pétrole : la production sera insuffisante à court terme, estime un expert saoudien »

    « Energies : vers une période de transition cahotique »



  • jcm jcm 6 novembre 2009 22:38

    @ Chria :

    Vous écrivez : « J’ai plus l’impression, après avoir relu votre article, que celui-ci était destiné aux anti-réchauffistes complotistes... ».

    En effet, ce sont eux que je vise et le titre de l’article n’est pas si ambigu...

    Vous écrivez : « .. mais pour trancher le débat sur la viabilité des modèles et la façon de les interpréter... ».

    Je ne me permets pas de trancher, précisément parce-que je ne dispose pas du « matériel » (formation, données...) pour le faire, comme la plupart des gens, quel que soit leur niveau.

    Car trancher dans ce domaine n’est pas une chose simple et demande, même si l’on dispose de toutes les connaissances nécessaires, énormément de temps et de moyens financiers.

    Comme la plupart des gens je suis réduit à devoir chercher ce qui sera la voie la plus raisonnable, celle que j’emprunterai et dans laquelle je tenterai d’orienter ma vie.

    Cette « voie la plus raisonnable » est celle qui consiste à accorder une certaine confiance à ceux qui me semblent présenter « le meilleur état de la science à ce jour » sur cette question du climat, tout comme je le ferais s’il s’agissait de me faire soigner.

    Après avoir beaucoup lu et m’être activement documenté depuis des années mon choix est fait : je considère les thèses du GIEC comme sérieuses, beaucoup plus que celles qui y sont opposées et infiniment plus que celles des « complotistes » de tous poils qui fleurissent partout.

    Quoi qu’il en soit si l’on met tout dans un sac un peu percé et que l’on secoue il reste ceci : est-il plus prudent de négliger ou de tenir pour très probable l’hypothèse (puisque l’on ne peut apporter aucune « preuve absolue ») du réchauffement d’origine anthropique ?

    Ses dégâts pourraient être tels qu’il est plus prudent d’en tenir compte, mais même si l’on n’adhère pas à cette conclusion il y a l’acidification...

    Ensuite si l’on en tient majoritairement compte attendons-nous à ce que tous les travers habituels détectés dans nos civilisations, mais aussi les grandes qualités dont nous pouvons plus ou moins faire preuve, se reportent sur toutes les dynamiques qui se développeront (l’écologie « libérale » vs l’écologie classique ou vs une autre approche non dénuée de défauts...).

    Mais ne déduisons pas des conséquences éventuelles de certaines actions qu’elles en rendent caduques les causes : l’évolution vers une société moins gourmande en énergies fossiles aura ses failles, bien entendu.



  • jcm jcm 6 novembre 2009 21:43

    @ trevize :

    On sent de l’exaspération dans votre propos...

    Vous écrivez : « En un mot comme en cent, pourquoi devrait-on croire les scientifiques sur parole ? ».

    Ben oui, après tout...

    Je ne suis pas dentiste mais peut-être souffrez-vous d’une ou deux molaires, ce qui expliquerait votre excitation ?

    Venez donc me voir, je vous soignerai, j’ai quelques pinces, des tournevis...

    Pourquoi ferait-on confiance aux seuls dentistes ?

    Je vous attends !



  • jcm jcm 6 novembre 2009 19:59

    @ l’ ecolo :

    j’ai écrit dans une réponse à votre premier message "...a croire que vous n’avez lu aucun de ces textes critiques sur le réchauffement (il y en a eu récemment sur Avox : facile à trouver)..."

    Vous n’auriez donc lu aucun de ces textes et prétendriez me répondre à ce sujet ?

    Je comprends mieux la teneur de votre premier message : vous croyez probablement que toutes les critiques du réchauffement climatique rassemblent des considération de très haut niveau...



  • jcm jcm 6 novembre 2009 19:02

    @ l ecolo :

    « ...comme si un diplôme conférait le droit imprescriptible d’imposer sa volonté dans un domaine ou dans un autre... »

    Un diplôme ne confère aucun « droit imprescriptible à imposer sa volonté » mais confère, du fait des études qui permettent de l’obtenir, une certaine capacité à traiter correctement un certain nombre de questions au sein d’une discipline.

    Ce qui ne signifie aucunement que le diplômé aura systématiquement raison sur le non diplômé, car il peut exister des autodidactes fort savants et capables : la question ne se règle donc pas de façon aussi simple.

    Alors je critique sur « leur matériel restreint », sur « la faiblesse de leur matériel scientifique » , leurs « approches hâtives » et le « ridicule de leur argumentation » : a croire que vous n’avez lu aucun de ces textes critiques sur le réchauffement (il y en a eu récemment sur Avox : facile à trouver) ou bien que vous les jugez tous d’un niveau de sérieux digne de les faire figurer dans les meilleures revues !

    Dans le premier cas lisez, dans le second... vous me laisseriez sans voix !

    « Surtout, vous traitez avec dédain les contestataires, ceux qui osent ne pas adhérer à la pensée unique, de » chercheurs d’aiguille dans une botte de foin « . » : je n’ai pas vu de dédain dans cette phrase et, effectivement, nous sommes tous, et à tous points de vue, des « chercheurs d’aiguilles dans une botte de foin ».

    Seulement il est parfois salutaire de lever un peu le nez de la botte...

    Je demande donc que chacun ait aussi bien le droit d’exprimer ce qu’il pense, quoi que cela puisse être, mais que ce droit intègre celui de critiquer ce que l’on souhaite critiquer : l’un en peut aller sans l’autre.



  • jcm jcm 6 novembre 2009 18:39

    @ taktak :

    "Je vous ai très bien lu et le sens de votre propos est bien de dire que toutes contestations des thèses du GIEC et des Cohn bendit Hulo & co relèvent de la théorie du complot.« 

    J’ai très exactement écrit : »Mais que des non climatologues, et pire des non scientifiques, viennent critiquer avec en général un matériel restreint et des approches hâtives... Ce que les « anti réchauffistes » prétendent apporter au débat, ce sont des preuves et ils vont parfois les chercher très loin... A en croire les accusations de certains...« .

    Ce qui signifie que certaines critiques sont recevables pour autant qu’elles seront basées sur un matériel crédible, tant du point de vue de la qualité des données que de celle de leur interprétation, ce qui exclut d’aller »chercher trop loin« (c’est à dire des arguments hors du champ scientifique) et que les accusations ne sont pas d’actualité.

    Ce que j’entends ici par »accusations« concerne des allégations de cupidité, de stratégies de complot et plus généralement d’intentions plus ou moins malfaisantes de la part des participants au GIEC ou de ceux qui les soutiennent, ce qui est malheureusement assez courant et sent la théorie du »tous pourris« .

     »Sans compter que les « prévisions » de réchauffement sont le fait de modèles qui sont tout sauf fiables (on est incapable de prévoir avec fiabilité si les T° de la saison à venir seront ou non supérieures daux normales alors à 100 ans....)«   : là vous confondez météorologie et climatologie...

     »Il existe suffisament de raisons (vous parlez par exemple de l’accidification des océans..) pour que l’on se précocupe de l’environnement dans sa globalité (et non des seules GES)." : entièrement d’accord !



  • jcm jcm 6 novembre 2009 17:50

    @ Pierre :

    Mais où sont-ils, ces articles de Courtillot ?



  • jcm jcm 6 novembre 2009 17:47

    @ joletaxi :

    "Même si l’on brulait toutes les ressources connues en charbon gaz, pétrole,en aucun cas l’océan ne deviendrait acide.Il deviendrait un peu moins basique."

    Suffisamment « moins basique » (= plus acide quand même !) pour empêcher la formation de tests, coquilles, exosquelettes... et affecter la croissance de ceux qui résisterait => affecter les espèces et l’ensemble de la chaîne alimentaire.

    Croyez-vous vraiment que nous ayons besoin de cela en plus ???

    Et que des espèces décimées nous apporterait un quelconque avantage sans inconvénients ???

    "... la terre a connu des épisodes de taux de CO2 bien plus élevés... Nos aïeux ont eu à faire face à des « dérèglements climatiques » autrement dévastateurs que les 0,2,04, 0,7 ° degrés...«  : je ne m’inquiète pas pour »la terre", elle nous survivra sans problème, rassurez-vous !

    Seulement c’est de NOTRE survie (et de la qualité qu’elle aura) qu’il est question et cette survie sera d’autant plus problématique que notre environnement aura été déstabilisé (quelle que soit la façon dont il le serait).

    « Pendant que des ’gentils boyscouts » dans votre genre s’acharnent à démolir notre économie,les chinois, qui ne sont pas imbéciles eux, s’approprient partout dans le monde le pétrole, le gaz, et les matières premières..." et parallèlement cette même Chine déploie des efforts sans commune mesure avec les nôtres, proportionnellement, pour développer des technologies « propres ».

    Car la Chine sait 2 choses : que ces technos propres sont indispensables mais en attendant leur généralisation il est prudent de se prémunir d’éventuelles pénuries.

    Si l’ensemble de la population chinoise avait le niveau de développement français « moyen » la consommation pétrolière de la Chine absorberait l’ensemble de la production mondiale actuelle, et les chinois vont à marche forcée vers un niveau de vie équivalent au nôtre.

    Les Indiens sont sur la même voie : c’est dire si les problèmes énergétiques ne sont pas terminés.

    C’est dire aussi que si l’on s’en tient aux prévisions de consommation de ressources fossiles pour les années à venir nous risquons vite d’avoir un océan « un peu acidifié » entre autres problèmes : c’est donc dire que nous avons tout intérêt à nous mettre vite et fort à reconsidérer les bases de notre économie actuelle, sinon nous serons très mal !

    Ce remodelage consistera à « démolir » certains secteurs de l’économie tels qu’ils sont actuellement bâtis afin de les convertir, de les remanier, de les adapter à de nouvelles contraintes.

    Et alors ?

    Je ne vois pas où est le problème dans la mesure où cela s’est toujours fait avec plus ou moins d’intensité depuis qu’existent des "secteurs de l’économie" (= depuis fort longtemps).

    Eh oui, l’apparition du moteur à explosion a ruiné des maréchaux ferrant...




  • jcm jcm 6 novembre 2009 16:34

    @ Chria :

    « ...malgré votre apparent scepticisme sur le rôle du CO2... » : mais je n’ai AUCUN scepticisme de ce côté là !

    Et je ne suis pas dans le "de toute façon, que la théorie soit juste ou non, on s’en fout, parce que diminuer les émissions cela ne pourra être que bénéfique." car le phénomène d’acidification n’annule en rien les autres effets de la forte concentration en CO2 !

    Mais en effet ceux que je désigne comme « anti réchauffistes » peuvent trouver un très bon motif de militer contre les émissions de CO2 avec l’acidification des océans.

    « ...vous vous enfoncez dans des raisonnements limite police de la pensée... » : pas du tout car j’ai bel et bien écrit  : "Il n’est aucunement question dans mon propos de songer à priver ces personnes de tribune ou de parole : je suis profondément favorable à toutes les libertés d’expression.


    Mais face à toute expression libre que l’on juge erronée il faut savoir opposer une réponse susceptible de relever les erreurs et les corriger autant que possible."

    « Vous vous trompez aussi et encore sur la sensibilité des sceptiques... » mais... à quel article avez-vous fait votre réponse ???

    Décidément vous lisez en diagonale pointillée !!!

    Je ne reproche rien aux sceptiques mais aux opposants : « Ma première critique à l’encontre des opposants à la théorie du réchauffement global... » ce qui est très sensiblement différent !!!

    « ... votre théorie du complot que vous inventez de toute pièce... » : faites-vous allusion aux élucubrations que j’évoque dans l’article, et qui ne sont pas de mon fait ?

    Mais n’avez-vous pas lu notamment sur Avox ces dernières semaines quelques élucubrations de cet acabit ?

    Dommage, c’était gratiné...



  • jcm jcm 6 novembre 2009 14:57

    @ Gnaume et QuidNovi :

    A propos des lobbies, vous n’êtes pas sans savoir que de fort puissants lobbies largement financés par des compagnies pétrolières ont fait tout leur possible pour discréditer le GIEC et balayer ses théories.

    Ils ont payé des groupes de véritables scientifiques, des laboratoires, pour y parvenir et n’ont pas réussi.

    Cela parce-que certains circuits sont incontournables pour qu’une proposition soit ou non reconnue comme scientifique : ils n’ont pu les contourner.

    Grâce à ces circuits et à cette procédure de validation, le jour où il faudra vous soigner vous devrez bénéficier du maximum de chances de recevoir des soins aussi adaptés que possible à votre pathologie et non quelque poudre de perlimpinpin...

    Mais qu’il puisse exister des imperfections dans ce système ne doit pas surprendre : connaissez-vous qui que ce soit d’humain qui serait parfait ?



  • jcm jcm 6 novembre 2009 14:20

    @ QuidNovi :

    "...selon que leurs résultats sont concordants ou non avec vos préjugés."

    Vous avez mal lu ou mal compris : je me réfère uniquement à ce qui peut être considéré comme de la science, et qui est donc validé par des scientifique au sein des filières de validation universellement reconnues.



  • jcm jcm 6 novembre 2009 14:16

    @ Gnaume :

    « Ce n’est pas l’absence de publication qui prouve le mensonge... »

    Non en effet mais l’existence d’une publication prouve que d’autres scientifiques mondialement reconnus dans la discipline ont estimé que la théorie proposée était digne d’être examinée par tous les autres scientifiques de la discipline.

    C’est ainsi que « se fait la science » depuis longtemps déjà : pour être qualifiée à juste titre de « scientifique » une proposition doit être reconnue comme telle par d’autres scientifiques de valeur.

    Lorsqu’elle l’est, elle est considérée comme « vraie » aussi longtemps qu’il n’est pas démontré qu’elle est « fausse ».




  • jcm jcm 6 novembre 2009 14:00

    @ QuidNovi :

    Aussi longtemps que les théories de ce monsieur n’auront pas été soumises à l’évaluation par des pairs et publiées (dans au moins une revue à comité de lecture) afin d’alimenter une controverse scientifique, qui dans ce cas ne manquerait pas de naître, au niveau mondial elles n’auront pas plus de valeur que si je prétendais démontrer dans mon coin l’invalidité de la théorie de la relativité.

    Ce que propose ce site n’est donc qu’un avis personnel sans aucune valeur scientifique reconnue, donc sans valeur scientifique tout court !



  • jcm jcm 6 novembre 2009 13:49

    @ Gnaume :

    Je me doutais bien qu’une référence à Courtillot surgirait tôt ou tard dans les commentaires.

    Mais aussi longtemps que les théories de ce monsieur n’auront pas été soumises à l’évaluation par des pairs et publiées (dans au moins une revue à comité de lecture) afin d’alimenter une controverse scientifique, qui dans ce cas ne manquerait pas de naître, au niveau mondial elles n’auront pas plus de valeur que si je prétendais démontrer dans mon coin l’invalidité de la théorie de la relativité, c’est à dire rien.



  • jcm jcm 6 novembre 2009 13:35

    @ Actias :

    « à moins de réduire considérablement les volumes de l’économie il n’y a pas de solution. »

    Vous avez peut-être lu le rapport « Les transports face aux défis de l’énergie et du climat » publié par Global Chance, c’est en quelque sorte le type de piste proposée en fin de section 4 (Changer de paradigme) dans un "Plaidoyer pour la relocalisation".



  • jcm jcm 6 novembre 2009 12:47

    @taktak :

    « il n’est nul besoin en science de proposer une explication alternative pour réfuter une théorie. »

    Il est au minimum indispensable de présenter des preuves (quelle que soit leur forme) que la théorie visée est invalide, et si ces preuves existaient croyez bien qu’elle auraient été publiées dans des revues à comité de lecture (validées par des scientifiques des disciplines concernées).

    Ce n’a pas été le cas en ce qui concerne le réchauffement.

    « ...interdire la critique scientifique... » : vous m’avez très mal lu, j’ai au contraire écrit « ...je suis profondément favorable à toutes les libertés d’expression... ».

    « Vous transformez la controverse scientifique en une controverse politique... » : je ne le vois pas ainsi, j’apporte des arguments d’ordre logique et scientifique (relisez !) et regrette que les « anti réchauffistes » soient assez... borgnes, ce qui n’est déjà pas mal !



  • jcm jcm 6 novembre 2009 12:37

    @ Actias :

    « Le réchauffement n’est plus une variable, c’est une donnée et il va falloir faire avec » : entièrement d’accord mais il faudra également faire avec l’acidification des océans.

    Sur l’aspect « campagne marketing » je ne vois pas trop ce que vous voulez dire.

    Puisque nous ne sommes plus en économie planifiée depuis quelques temps déjà c’est une bonne choses que « les forces du marché » s’emparent de cette question du réchauffement, car nous aurons besoin de toutes les forces en présence pour le contrer.

    Mais lutter contre les « greenwashings » de toutes sortes est aussi une nécessité.

    L’urgence est autant dans ce que vous citez que dans la diminution de nos émissions de C02 et autres GES.



  • jcm jcm 2 novembre 2009 19:49

    Normal, certains veillent à ce que l’on n’injecte pas n’importe quelles élucubrations...



  • jcm jcm 1er novembre 2009 18:20

    Le lien que vous donnez renvoie vers une page où l’on nous explique qu’un énergumène nie le réchauffement climatique : ce n’en n’est qu’un parmi d’autres et n’est pas vraiment digne d’intérêt...

    Par contre vous serez peut-être heureux d’apprendre ceci : « Au fond d’un lac arctique, la preuve d’un réchauffement exceptionnel ».

    « L’étude met en évidence un réchauffement net et brutal depuis une cinquantaine d’années. Par exemple, plusieurs espèces de moucherons adaptés aux milieux froids ont vécu là durant plusieurs milliers d’années mais se sont brusquement éteintes à partir des années 1950. »

    « Nos résultats montrent que l’impact des activités humaines dépasse l’effet de processus naturels à long terme, même dans les régions polaires. »

    En anglais : « Arctic Sediments Show That 20th Century Warming Is Unlike Natural Variation »