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Abstention 2007

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  • Abstention 2007 7 octobre 2007 17:54

    On n’est pas obligé de partager les options politiques de Philippe Bilger pour estimer que, cette fois-ci, les magistrats comme lui ont raison de se plaindre. De même que les militants et parlementaires UMP, d’ailleurs, sans qu’on ait à partager leurs options en quoi que ce soit.

    Sarkozy, Dati et leurs collègues incarnent un véritable verrouillage des institutions au service des super-riches et mettant en avant la « transversalité » et le lobbying comme moyen de gouvernement. Voir le premier fil de commentaires.



  • Abstention 2007 7 octobre 2007 17:49

    Rachida Dati n’a aucun programme de réforme de la justice, si ce n’est de mettre les riches à l’abri des poursuites et de taper plus fort contre les pauvres.

    Comme pour un autre commentaire, je ne peux que vous renvoyer aux informations fournies dans le premier fil de commentaires. Le titre de « Politiques, stars et millionnaires, la nouvelle alliance » à la une de Point de vue (no. 3088), où Rachida Dati apparaît à côté du couturier John Galliano, est très parlant. Sauf que rien de cela n’est vraiment nouveau : les politiques ont toujours roulé pour la grande finance et le patronat.



  • Abstention 2007 7 octobre 2007 17:44

    Dans la réalité, que fait Rachida Dati ? La politique des milieux d’affaires.

    Sarkozy, Fillon, Dati... cherchent à dépénaliser les riches et à sévir encore plus fort contre les « non riches ». La question des origines de la famille de Dati est sans incidence sur cette politique.

    Voir les informations fournies dans le premier fil de commentaires. L’apparition de Rachida Dati dans une « fête Dior », dans des conditions qui ont choqué des magistrats, n’est que le reflet des fréquentations lobbistes de longue date du monde politique français. C’est ce qu’à présent on étale au grand jour avec de moins en moins de gène.

    Qui parle d’Outreau et des injustices contre les « petits citoyens » ? Personne.



  • Abstention 2007 6 octobre 2007 12:57

    Lire aussi :

    http://www.strategies.fr/archives/1365/136504901/management_14_le_pouvoir_a _la_table_du_siecle.html

    STRATÉGIES 1365 du 14/04/2005 (page 49)

    Réseaux

    14-Le pouvoir à la table du Siècle

    Ultrasélectif, le Siècle rassemble la quintessence du pouvoir politique, économique et médiatique. La discrétion de ses membres est à la hauteur de son influence.

    Un mercredi par mois, place de la Concorde à Paris, la fine fleur de la communication et des médias pénètre discrètement dans les salons de l’Automobile club de France. Ce n’est pas l’amour des voitures qui rassemble Maurice Lévy (Publicis), Alain de Pouzilhac (Havas), Serge July (Libération) ou Patrick Poivre d’Arvor (TF1), mais un dîner en compagnie de Nicolas Sarkozy, Dominique Strauss-Kahn, Thierry Breton, Claude Bébéar ou Nicole Notat. Tous sont membres du Siècle, le plus prestigieux des cercles de décideurs hexagonaux.

    (...)

    Les ministres membres se comptent sur les deux mains, de Jean-Pierre Raffarin à François Fillon. Les barons du Parti socialiste aussi, comme Lionel Jospin ou Laurent Fabius. Le milieu des affaires n’est pas en reste, avec la quasi-totalité des grands patrons, de Louis Schweitzer (Renault) à Michel Pébereau (BNP Paribas). Sans oublier la plupart des dirigeants de la presse et de l’édition, d’Odile Jacob à Jean-Marie Colombani, en passant par Claude Imbert et Laurent Joffrin.

    (...)

    ... La sélection est rude. « On ne choisit pas le Siècle, c’est lui qui vous choisit ! », souligne Étienne Lacour. Présidé en 2005 par Renaud Denoix de Saint-Marc, vice-président du Conseil d’État, le conseil d’administration compte une quinzaine de personnalités comme Denis Jeambar (L’Express), Anne-Marie Couderc (Hachette Filipacchi Médias), Marc Tessier (France Télévisions) et même Nicole Notat (Vigeo). Triées sur le volet, les recrues gardent le statut d’invités pendant au moins un an avant de devenir membres. David Pujadas (France 2), Emmanuel Chain, Édouard de Rothschild ou Jean-François Copé ont, depuis peu, décroché le sésame.

    (...)



  • Abstention 2007 6 octobre 2007 12:51

    En ce moment, beaucoup de militants, sympathisants, parlementaires... UMP semblent avoir le sentiment d’être victimes d’une sorte d’adultère politique. En un sens, ils peuvent penser que l’appartenance à des réseaux comme le Siècle s’avère être une voie de promotion plus efficace que la carte du parti qui a fait campagne pour Nicolas Sarkozy.

    Pour une fois, même si on ne partage pas leurs options politiques, on peut comprendre leur réaction devant cette banalisation « transversaliste » et lobbiste des partis au nom desquels on demande aux citoyens de voter.

    Cette évolution avait déjà été soulignée il y a deux mois par un auteur comme De ço qui calt ? , dont les options politiques sont très différentes de celles de Philippe Bilger, dans un article qui a déplu aux modérateurs d’Agoravox :

    http://blog.360.yahoo.com/quicalt?p=217

    Sarkozy, Strauss-Kahn, Bush, transversalité et targaires de la politique

    (...)

    ... Nicolas Sarkozy aurait-il, de fait, choisi le candidat du Parti Socialiste aux présidentielles de 2012, en aidant Dominique Strauss-Kahn (DSK) a accéder à la présidence du Fonds monétaire international (FMI) ? La question a aussitôt été tacitement posée, et l’hypothèse continue à faire le tour de Toile. Jusqu’au parallèle avec le président sortant du FMI, Rodrigo Rato, démissionnaire avant la fin de son mandat au moment où commence de fait la campagne pour les élections espagnoles de mai 2008. La « demande européenne » d’un parti français à façade « sociale-démocrate » n’est sans doute pas étrangère à l’opération de promotion de DSK. Mais, de toute façon, Sarkozy et Strauss-Kahn ont fait les deux partie, depuis le début des années 1990, des « élites » que rassemblent les cénacles de la « transversalité » française comme le Siècle. Pareil pour Bernard Kouchner et, depuis bien avant, Jack Lang ou Jacques Attali. Ou encore François Fillon, Luc Ferry, François Hollande, plus récemment Didier Migaud ou Rachida Dati, et bien d’autres. Le monde politique est un mouchoir. Mais ces cercles se caractérisent surtout par le rôle qu’y jouent les représentants des milieux financiers et industriels, véritables patrons de la politique réelle.

    Dans l’ensemble, les partis politiques sont devenus des courroies de transmission de stratégies qui ne s’élaborent, ni dans leur sein, ni même à l’Elysée ou à Matignon, mais dans les coupoles du monde des affaires. Le reste relève de la mise en scène. Le rôle, de plus en plus symbolique, du Parlement consiste à rassurer l’opinion en lui fournissant une apparence de débat et en opérant quelques mises en forme. Quant aux directions syndicales, elles se sont rapprochées des mêmes cercles et réseaux que le monde politique. Pas seulement en France, où Nicole Notat fréquentait déjà le Siècle dans les années 1990, mais aussi au niveau international. Le rôle de dirigeants de la CGT et d’autres centrales au sein du « think tank » Confrontations Europe est bien connu, de même que l’appartenance du président de l’AFL-CIO américaine John Sweeney à la Commission Trilatérale.

    (...)

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