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Emmanuel Glais

Auteur, lecteur, correcteur
@emmnuelglis

Tableau de bord

  • Premier article le 24/09/2010
  • Modérateur depuis le 28/03/2011
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Ses articles classés par : ordre chronologique













Derniers commentaires





  • Emmanuel Glais 28 mars 2011 15:35

    LE CHAT. En effet, ils n’ont aucun pouvoir, c’est ce qu’ils représentent qui me dérange ; à savoir l’immixtion de la hiérarchie au sein d’égaux.

    L’homme de kro.J’ai hésité entre « égalitaire » et « libertaire ». La vision libertaire de la politique possède selon moi un important versant égalitaire. La liberté s’oppose selon moi à la hiérarchie, l’inégalité, l’inéquité. D’ailleurs toutes les dictatures communistes fonctionnent avec une grosse oligarchie d’Etat et d’argent.




  • Emmanuel Glais 1er février 2011 17:29

    Un autre mot dont on nous rebat les oreilles dès que le peuple n’est pas d’accord : « pédagogie ».



  • Emmanuel Glais 18 janvier 2011 21:58

    Slipenfer : Votre remarque est excellente. Bien sûr, je n’ai pas traité du problème affectif, notamment parce que l’assistanat sexuel ne se propose pas de résoudre ce problème. Le sexe peut être abordé de façon pratique (et donc politique), tout ce qui appartient aux sentiments, à l’affectif, se situe totalement en-dehors du champ politique.

    Jiache : le Larousse en ligne parle du handicap en terme d’ « infériorité »... Selon moi, le handicap en un certain sens est une injustice, sa cause peut être génétique ou accidentelle. La société doit essayer de réparer ces injustices, dans la mesure du possible. Un des enjeux de l’article était de poser la question : jusqu’où la loi (et donc l’Etat et la société) peut s’immiscer dans la vie des gens au nom de leur mieux-être ?

    Perlseb : On ne peut qu’être d’accord avec vous. L’activité sexuelle des uns et des autres ne peut pas être une priorité collective. Mais la politique ne doit pas faire que parer au plus urgent (questions de la faim, du logement), elle doit aussi énoncer les principes dans lesquels on veut vivre. En ce sens, la question de la prostitution appartient à l’Etat (alors que la pseudo-libéralisation sexuelle est d’ordre sociétale). 

    Uccle : merci pour ces références.



  • Emmanuel Glais 30 septembre 2010 02:48

    D’abord, pour l’idiot qui n’aurait pas compris que lorsque je parle du monde des bisounours, j’adopte le point de vue de ceux qui sont hostiles à l’anarchisme pour mieux le détruire (par les positions concrètes que j’adopte ensuite), je tiens à affirmer que je suis un anarchiste convaincu.


    Ensuite, je m’excuse de ne pas avoir répondu plus tôt et surtout de ne pas répondre individuellement. Je vais essayer d’être bref.


    On m’a demandé de me justifier sur mes sources. Je crois avoir lu dans un tract de la CNT Rennes courant septembre la revendication de la retraite à 55 ans pour tous. Sur internet (http://www.cnt-f.org/spip.php?article1373) je vois que la CNT demande le départ à 55 ans pour ceux qui ont fait des travaux pénibles. Peut-être ai-je fais l’amalgame, mais je suppose que les tracts diffusés ne sont pas les mêmes dans toute la France, cela me fait croire que je ne me suis sans doute pas trompé.



    Je ne dis pas que l’idée de la retraite pour ceux qui ont trimé pendant 40 ans est une idée mauvaise. Je dis simplement qu’elle est insuffisante. Il faut repenser l’organisation du travail, la répartition des tâches ingrates et des bons emplois. Il faut repenser l’idée même de retraite. J’ai essayé de montrer que le retraité n’était pas inutile. On peut effectuer des actions non-rémunérées et ne pas être une charge pour la société. C’est pourquoi, l’idée même de retraite doit disparaître. On a le droit au repos, après avoir été longtemps exploité, mais on n’est pas obliger de se retirer de la collectivité.


    Et bien sûr, l’anarchie est incompatible avec une société de croissance. La compétition entre les hommes, les communes, les régions du monde doit disparaître. Le plaisir consumériste doit être détrôné par d’autres intérêts.


    Aux bienveillants m’accusant de ne pas être anarchiste : je n’ai pas trop bien compris votre réserve. Certes, je n’ai pas prononcé les mots d’ « auto-gestion » ni de « commune ». N’aurais-je pas pu ? Bien sûr que si, la redistribution des tâches telle que je l’entend s’insère dans la pensée d’une disparition du pouvoir lointain et aveugle de l’Etat et de la multinationale.



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