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G.L.

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Pour une République Libérale, Démocratique et Sociale
 

Tableau de bord

  • Premier article le 18/12/2013
  • Modérateur depuis le 24/10/2014
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Derniers commentaires



  • G.L. Geoffroy Laville 21 avril 2014 11:14

    D’abord Bravo @Claude-Michel et @Alain V. pour leurs brillantes contre-argumentations. Le premier dénonce « l’argent ». Et oui si il y a du chômage, c’est la faute à l’argent. Et si il y a du réchauffement climatique, c’est la faute à l’invention de la roue probablement.

    Et @Alain V. confond modérateurs et censeurs. Vous semblez si certain de détenir la vérité, faites la nous partager. Dénoncez donc le mensonge s’il est si flagrant.

    Revenons à l’article. Malheureusement il nous sera toujours plus facile de savoir ce qui ne marche pas que ce qui marche. Encore s’ils admettaient leurs erreurs plutôt que de perséverer inutilement...

    1) Ce que je reproche à l’UE, c’est d’avoir mis en compétition plus d’une vingtaine de pays avec des règles fiscales, des droits des travailleurs et de l’entreprise inégaux. la concurrence n’est pas libre et bien faussée.

    2) Education : Une des solutions seraient en priorité de redonner de l’autonomie aux établissements scolaires. Je peux comprendre la réaction de @Alain V. mais il n’ y a pas ici de calomnie à vouloir que l’Ecole transmette d’abord un savoir, une connaissance. L’épanouissement va de soi dès lors que l’Ecole est aussi un espace social, il n’a pas à être appris formellement.

    3)Je déplore l’intervention pesante, maladroite et contre productif d’un Etat-Nounou persuadé que c’est en agissant et non en laissant faire, qu’il créera de l’emploi. Le rôle de l’Etat est la sécurité, la justice, la défense de notre territoire sur tout les plans économiques ou politiques.

    4) Ce sont les entreprises qui créent de l’emploi. Et très sûrement les entreprises naissantes, qui se créent. Il nous faut un climat juridique et fiscal sain pour tout les travailleurs (autant les salariés que les entrepreneurs). Le CICE n’est qu’un leurre, cet allègement de charges compensera ce que l’Etat prendra avec un IS augmenté de 33% à 36%.

    5)A contre courant de beaucoup de camarades libéraux, je suis entièrement d’accord qu’un salaire minimum n’est pas la principale entrave à l’employabilité des jeunes. Il y a bien d’autres pistes à explorer. La flexicurité n’est pas la solution miracle mais elle va dans le bon sens.

    6)L’austérité, c’est lorsqu’on ne finance pas correctement les fonctions régaliennes de l’Etat, qu’on augmente les impôts et taxes de tous pour assurer le bon train de vie d’une « classe politique élitiste ». Je n’encourage pas a contrario une politique Keynesienne, de massifs investissements publiques.

    Mes Amitiés au Collectif Marianne, c’est en se remuant les méninges qu’on finira par trouver le bout du tunnel.



  • G.L. Geoffroy Laville 17 avril 2014 19:54

    @Alex l’auteur.

    Le SMIC a tellement été sacralisé que moi-même j’aurais réagi au quart de tour il y a quelques années. Puis je me suis intéressé de plus près à l’économie et les seuls ouvrages de niveau BAC sont déjà riches d’enseignement. C’est dur d’aborder ce sujet. J’ai moi-même abordé cette problématique sur AgoraVox.

    Je vous soutiens dans votre prise de position. Le SMIC, proprement parlé, « plein » pour les employeurs n’est pas une charge anodine. Un SMIC net est, avec le coût actuel de la vie, raisonnable mais loin d’être extraordinaire. Il ne devrait pas idéalement être un salaire pour toute la vie.

    Par contre, comme vous même j’imagine, je défendrais hardiment un revenu minimum pour tout travailleur. Vous avez évoqué « l’impôt négatif ». Le principe serait de foutre en l’air (que c’est rude) tout ce bazar d’allocations, pour un seul type d’aide, complémentaire à un revenu.

    On peut envisager raisonnablement un système où il n’y a pas de SMIC, imposé par l’Etat. Ou un revenu minimum peut par contre être négocié dans chaque branche ou entreprise suite à un vrai dialogue social. Mais cela demanderait d’abord d’énormes réformes à travers des baisses énormes des charges patronales comme salariales. Envisageons aussi une grande réforme fiscale pour ne pas être découragé de travailler plus pour gagner plus.

    Qui dit baisser les charges, les impôts et les taxes, dit baisser les dépenses d’un Etat Léviathan. Remettre en cause le SMIC (débat tout à fait légitime ! ), dissimule dans nos esprits « malades » la complète réforme de l’Etat, de la Ve République.

    Le SMIC est une institution historique comme l’est la Sécurité Sociale. Symboles d’un Etat Puissant (certes bienveillant dans ce sens) mais infantilisant et dirigiste. Au plus profond, il est ici bien question de se réapproprier nos libertés économiques comme politiques (l’un ne va pas sans l’autre).



  • G.L. Geoffroy Laville 17 avril 2014 19:25

    Je ne suis pas assez expert en informatique pour faire des commentaires techniques.

    Je voulais seulement féliciter l’auteur de nous démontrer les avantages d’un Marché Libre. Ceux qui offrent rencontrent librement ceux qui demandent.

    Nous avons le choix ou de racheter un nouvel ordinateur (c’est peut-être une opportunité bien accueilli pour certains) ou de changer de système d’exploitation.

    Microsoft n’est après tout qu’une entreprise privée comme les autres qui ne peut que nous convaincre d’acheter son produit. Aucune obligation... Et je suspecte @Winael d’être un commercial d’Ubuntu (Nan ! @Winael est juste un geek)

    Sans bien m’y connaître suffisamment, il existe aussi les systèmes Androïd et Apple pour les smartphones et tablettes. Ca existe Androïd pour PC ?

    Ca a du bon d’avoir le choix et de prendre des décisions en toute rationalité dans un monde plutôt libre.



  • G.L. Geoffroy Laville 15 avril 2014 20:38

    Premièrement, pour réduire la dette, il faut commencer par...s’arrêter de s’endetter....Pour s’arrêter de s’endetter, il faut dépenser moins...Car c’est une solution de facilité de dire que c’est la faute à une (vague, nébuleuse et difficilement identifiable) oligarchie financière et que le pauvre Etat n’y est pour rien. Ce « Pouvoir financier » est juste un dealer d’une drogue toujours réclamé en plus grandes quantités par ce « junkie » d’Etat. Il va falloir sérieusement réfléchir au sevrage. Car notre junkie pour payer sa came, il nous fait les poches à tous sans exception.

    Le défaut de paiement, c’est possible. Le pouvoir financier n’enverra aucune armée réclamer son dû (Il n’est pas une nation). L’Etat pourrait cesser de payer la dette mais c’est sans retour ! Une fois qu’il décroche, il n’a plus le droit de replonger car aucun dealer de dette ne voudra faire affaire avec lui.

    Cerise sur le gâteau (il y a un bon côté à décrocher de cette m... de dette), Nous serons dos au mur pour remettre notre système à plat, redonner à l’Etat un rôle essentiel mais bien plus modeste. Une fonction publique qui ne concernera que la Défense, la justice, l’éducation et la santé et pis rien d’autres.

    Avec un défaut de paiement, les citoyens retrouveront leurs libertés et responsabilités de mener leurs vies.



  • G.L. Geoffroy Laville 15 avril 2014 20:15

    Je suis d’accord avec ZenZoé. Il nous faut revenir au principe fondamental d’un système de santé publique mais sans monopole.

    Par santé, j’entends de se concentrer uniquement sur un réseau suffisament dense d’hôpitaux, d’antenne médicale et de faire sauter une fois pour toutes la CAF.

    Publique signifie proprement ouvert à tout les usagers sans aucune discrimination quel qu’elle soit et que ces usagers contribuent tous à ce système.

    Sans monopole, car il faut en finir avec cette utopie communiste de nationaliser la Santé (comme je suis hostile très sérieusement à une privation pleine et entière). La santé publique c’est la garantie d’un service minimum. A chacun de cotiser ou non à une mutuelle pour de meilleurs services. Je n’ai rien contre une santé à deux vitesses, si la première est satisfaisante.

    Et pour le caractère obligatoire de cotiser à ce système, il serait obligatoire aux individus de cotiser et non à des entités juridiques comme les entreprises (car sur qu’elle principe, elles payent ? ). Libre à ces entreprises d’offrir de belles mutuelles à leurs salariés.

    Alors oui à l’égalité d’accès à un service de santé publique de base et efficient (j’ajouterais même rentabilisé par ses cotisations).

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