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symbiosis

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  • Premier article le 22/10/2014
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  • symbiosis symbiosis 24 septembre 2011 21:37

    De quel autre pseudo veux-tu enfin parler, infiltrée scientologue qui essaie de semer le trouble dans l’esprit des gens ?



  • symbiosis symbiosis 24 septembre 2011 21:11

    Je m’étais engagé à ne plus répondre à tes violences verbales, Loreleil. Je me suis ravisé et vais te répondre et je me permets de continuer à utiliser avec toi le tutoiement, les échanges qui se sont produits entre nous ayant contribué à provoquer une certaine proximité, certes catastrophique,et injustifiable, mais que je tiens à liquider avec ce commentaire. D’autre part, à te lire j’ai plus l’impression que tu pourrais être ma fille. Que veux-tu ? Ton style, ta syntaxe, ton vocabulaire ne me paraissant pas être ceux d’une femme mûre et réfléchie. Donc, de la même manière que je tutoie mon fils, je te tutoierais.

    Tu as semé le doute dans mon esprit avec tes accusations répétées d’une manière obsessionnelle m’accusant d’hominisme, terme qui revient souvent dans tes commentaires pour couper cours à toute contradiction et qui a l’air de s’apparenter pour toi, si je ne m’abuse une forme de misogynie. Alors selon toi, lorsque qu’un homme relève des contradictions dans le discours d’une femme et dans le tien en particulier, il doit être misogyne.

    Je suis entouré de femmes. Je circule dans un milieu où les femmes sont très présentes et je dois dire que je suis apprécié comme un homme pacifique, respectueux et humaniste, et non pas tel que tu t’es empressée de me décrire, dans l’éventualité de mieux éviter de faire face à tes contradictions pour les résoudre. On ne va pas revenir là dessus et nombre de tes commentaires sont sur ce mode de l’invective défensive violente à l’égard d’autres personnes contredisant tes propos.

    Je ne déteste pas les femmes comme tu le prétends, malgré ce doute qui a occupé mon esprit quelques jours. J’ai été rassuré. Je n’en tire d’ailleurs aucune satisfaction ni aucune gloire. Je considère simplement que, avant d’être différenciés sexuellement, nous sommes complémentaires et égaux, la respect et la prévenance devant aller dans les deux sens.

    Je pourrais dire que je te déteste, que je déteste ce que tu représentes, la manière dont tu places les choses entre les êtres humains, entre féminin et masculin. Je pourrais dire que je déteste tes élucubrations forcenées, que je déteste que tu écrives aussi vite que tu parles et que tu écrives comme tu parles, sans corriger tes fautes, ce qui est un manque de respect envers le lecteur, que tu défendes des causes indéfendables pour un humaniste, que l’erreur d’appréciation est humaine, nous en faisons tous, et que tu ne l’acceptes pas en détournant le débat avec une intention culpabilisatrice comme tu l’as manifesté à mon encontre.

    Je pourrais dire que je te déteste et j’affirme que cela ne signifie pas que je déteste les femmes pour autant, et ça n’est pas parce que je te dis que je déteste tes manières, que je déteste les femmes, ni que je te déteste d’ailleurs, d’où l’usage du conditionnel.

    Tu me suis petite ?

    Mais je vais même te dire que je ne te déteste pas et que je ne t’en veux pas non plus, je dirais que tu me désoles. Aussi, je me permettrais de te donner un conseil : détends-toi et lâche un peu plus prise ! Le rôle du Pitt Bull que tu as l’air d’affectionner ne va à personne. Pourquoi te fourvoyer dans des confusions idéologiques et dans des affirmations à l’emporte-pièce et vouloir absolument avoir le dessus quoi qu’il en coûte ?

    Je ne te conseille pas cela en donneur de leçons ni pour t’humilier mais pour t’offrir l’occasion de rectifier le tir concernant tes affirmations sur la scientologie, par exemple et sur tes débordements haineux en général. Cela, si tu as des aspirations humanistes bien sûr.

    La confrontation des idées ne signifie pas déclaration de guerre. On peut tout expliquer avec des mots, on peut tout régler. Nous humains avons cette chance particulière de pouvoir mettre en perspective ce qui nous anime et, lever une contradiction qui reste quand même un sérieux problème dans ton discours, n’est pas insurmontable et ne devrait pas avoir d’effet sur ta fierté, sur ton amour propre, bien au contraire.

    Ce qui pourrait les atteindre, inversement serait de ne pas tenter de résoudre tes contradictions, tes amalgames, tes imprécisions, qui te mettent régulièrement dans une position boiteuse. En ce qui concerne l’extropisme et plus particulièrement les matrices artificielles, c’est un autre sujet plus compliqué et il serait inconséquent de prendre ce genre de problème à la légère, ni de voir derrière les apparences bienfaitrices ce qui se joue réellement, l’ère du cyborg, homme machine dénué de sens humains, sens remplacés par un savant puçage performant et par des fluides, ou si tu préfères le rapprochement avec l’homoncule né des Opus d’un Aleister Crowley.

    Au profit de qui ? De l’humain, de la femme, tu crois ?

    Les hommes qui ne sont pas toujours d’accord avec toi ne peuvent pas tous être tes ennemis et ce qui est le plus choquant chez toi, finalement, est prendre à ce point position pour la scientologie ce qui te met en contradiction avec certaines de tes allégations.

    Ou alors, c’est que tu dois en être une !


    Es-tu sûre d’aimer les autres, les gens, Loreleil, simplement ? A lire nombre de tes commentaires, on peut en douter.


    Et pour finir, je ne comprends pas ton délire de pseudo, je crois que tu dois confondre avec quelqu’un d’autre.



  • symbiosis symbiosis 24 septembre 2011 16:03

    Les têtes de gondoles comme Beigbeder devraient s’abstenir de toutes analyses concernant la mort du livre car il y contribue largement lui-meme.



  • symbiosis symbiosis 24 septembre 2011 13:17

    Le charlatan Beigbeder, comme tous les charlatans, comme tous les faussaires, essaie de monter les concepts les uns contre les autres, les mettre en compétition, et comme un cowboy décréter, par un duel sans fondement la mort de l’un sur l’autre et passer à coté de la complémentarité.

    Le bouffon Beigbeder (charlatan, bouffon, faussaire, comme tu y vas Symbiosis), utilise peut-être sans l’affirmer, je n’en sais rien, mais cela transpire bien, pour peu que l’on tire de ses conclusions celles qui s’imposent au spectateur de sa personnalité, le syndrome du Léviathan, le principe de la guerre hobbessienne de tous contre tous, où aucune cohabitation n’est possible.

    Pourtant la complémentarité entre texte sur support papier, sur tablette, texte numérisé, texte interactif, associé au lien hypertextuel, aux images, aux vidéos, aux contributions et commentaires extérieurs qui enrichissent un texte, et surtout la circulation libre de toute forme de création de l’esprit, quel que soit son support et le moyen utilisé pour le véhiculer et le rendre public est une évidence qui a l’air d’échapper au bouff..., pardon, à Frédérique Beigbeder.

    C’est une vision réductrice, réactionnaire, qui n’anticipe pas la richesse des associations que la conscience et le génie collectifs sont en mesure de produire.



  • symbiosis symbiosis 24 septembre 2011 09:55

    On peut se placer également du côté de l’écrivain(s), de la matière écrite, comment et par qui.

    C’est alors qu’intervient un autre paradigme qui est l’écriture en ligne et en groupe, où l’idée est la cooptation de plusieurs auteurs-créateurs qui interviennent sur un thème commun et produisent une matière littéraire collective ou tout autre matière de l’esprit en vue de la diffuser à un public.

    Cela peut se faire d’une manière anonyme (chronique d’ inconnus), ou pas.

    Une conscience collective peut alors fusionner et prendre corps.

    Une amorce aléatoire et poétique de ce phénomène littéraire avait été envisagée par les surréalistes avec leurs « cadavres exquis ».

    Le livre, bien l’essentiel, n’a jamais vraiment permis ce type de processus créatif, traditionnellement ancré dans l’identité de l’auteur plus que dans un travail collectif.

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