• AgoraVox sur Twitter
  • RSS
  • Agoravox TV
  • Agoravox Mobile

knail

knail

Microscopiques, macroscopiques, les questions qui grattent là où ça démange m'intéressent au plus haut point. Je me réjouis de la découverte de la valeur des choses qui en principe n'en ont pas et m'agace des revendications de celles qui pensent en avoir. Un peu compliqué je recherche une simplicité surtout pas trop frontale.

Tableau de bord

  • Premier article le 17/05/2016
Rédaction Depuis Articles publiés Commentaires postés Commentaires reçus
L'inscription 3 103 140
1 mois 0 0 0
5 jours 0 0 0

Ses articles classés par : ordre chronologique






Derniers commentaires



  • knail knail 22 août 2016 12:43

    @franc

    Les cheveux... ??
    Les femmes juives orthodoxes ne portent elles pas des perruques pour dissimuler leurs vrais cheveux... ?
    Ca n’a pas l’air d’émouvoir grand monde ! La logique est la même pourtant. Comme celle des fichus de nos grand-mères, pour aller à la messe et en général pour sortir dans l’espace public. La tradition est encore très présente dans bien des pays d’Europe d’ailleurs et même parfois encore en France... Faut il leur arracher de force ? Exiger peut être un « certificat médical », comme vous dites (vous plaisantez peut être ?), pour acter leur arriération mentale... ?



  • knail knail 20 août 2016 10:39

    Un petit stage pratique « Femmen » pour toute femme de confession musulmane ? Ca leur apprendrait une fois pour toute et utilement le droit de disposer de leur propre corps ! Plus d’un siècle de lutte pour en arriver là. Mais pourquoi donc que Ducro il se décarcasse…

    Pour les barbus, un été vaisselle dans un club gay plutôt qu’un pèlerinage à la Mec(que)… Ca créerait des liens et aiderait à faire sauter les clivages.

    En France on n’a pas de pétrole mais on a des idées, beaucoup, vraiment beaucoup…

    N.B. Je trouve la France très proche de la campagne polonaise profonde dans ses préoccupations moralo- vestimentaires. Un jeune de mon coin s’est fait récemment botter le cul par la communauté parce qu’il portait son pantalon un peu trop « mis-fesses », à la mode quoi… le pauvre !

    Cinquante que je fréquente la France, cinquante ans que je la trouve terriblement provinciale. Enfant déjà j’en était ahuris, et je ne le suis pas moins ; je suis pourtant mi belge mi français.

    La décadence française, c’est de ce côté là que je la vois. Il faut avoir de sacrés problèmes de confiance en soi et de sens de la dignité, d’identité quoi, pour s’obnubiler et se livrer à de telles charges sur nos différences.



  • knail knail 18 août 2016 09:17

    Qu’est ce qui nous permet d’acheter des téléphones portable à un prix dérisoire (j’ai dû payer le mien 12,99 euros), et des lessiveuses à 220 euros, sinon l’hyper concentration et efficacité de l’industrie et de l’économie mondialisée, accompagnés de la fameuse chute tendancielle du taux de profit, qui nous offre des productions au rabais à longueur d’année ? Etre parvenu a un tel niveau d’efficacité ne s’est pas fait sans casse. Il est loin le temps où les automobiles se construisaient quasiment à la pièce dans des ateliers à taille ’humaine’ (la main d’oeuvre y étaient elle mieux rémunérée et traitée ?) et où seul les (très) riches bourgeois roulaient en voiture (avec chauffeur). L’environnement était naturellement moins pollué par les rejets des gaz d’échappement, et les embouteillages inexistants.
    Ce qui a permis aux agriculteurs de passer du cheval au tracteur et à la moissonneuse, c’est cette logique là. Aussi. En vertu de quoi s’arrêterait elle à la clôture du pré ?
    Comprenez moi bien, j’insiste, je ne fais ici la promotion d’aucun système, d’aucune logique. Je perçois trop bien les impasses, dangers, et désespoirs que génère la situation actuelle, et bien des misères de celles passées même si elles sont parfois à relativiser.
    L’avenir est à créer, et je relève déjà nos contradictions dans nos discours, qui sont souvent de l’ordre du bûcheron sciant la branche sur laquelle il est assis (qu’est ce qui nous permet de communiquer entre nous par internet avec chacun chez soi un ordinateur qui nous offre cette possibilité parmi beaucoup d’autres, sinon ce monde là qui produit cette agriculture là, que je ne promotionne pas !)

    Pour l’agriculture, j’entrevois en tout cas certaines filières courtes en dehors du « grand marché », très efficaces aussi (par exemple une parcelle de quelques hectares en pleine ville près de chez moi à Bruxelles, qui permet à une jeune équipe d’agriculteurs maraîchers, éleveurs, « bios », très organisée, de vivre correctement (certainement modestement), dans de bonnes conditions de vie de leur travail, tout en offrant aux quartiers environnant une nouvelle forme de convivialité).
    Un avenir est peut être à créer de ce côté là, comme certain l’ont déjà suggéré ici.



  • knail knail 14 août 2016 17:54

    Rassurez vous ! « L’état providence » a peut être existé, mais la tendance est aujourd’hui plutôt à « l’Etat qui se fout de vous ». Les choses devraient donc, s’améliorer.



  • knail knail 14 août 2016 10:03

    C’est étrange, des articles tels que le vôtre je les attends, avec soulagement. . Et pourtant, je n’y souscris pas. Il franchit un pas de trop que son titre résume bien :

    « J’ajoute que tous ces « bandits manchots » ne produisent rien, ne servent objectivement à rien,... leur disparition (éminemment souhaitable) ne provoquerait aucune pénurie, aucun manque, aucune carence dans la reproduction sociale (à la différence des ouvriers, des paysans, des pêcheurs, des médecins ou des chercheurs) … etc. »

    Aux sportifs ajoutez donc les chanteurs, les musiciens, les peintres et tous les artistes en général et la plus grande part des intellectuels, fermez les cirques, les salles de spectacle, envoyez les corps de ballet à la mine et surveillez de près tous les centres de recherche universitaires dont on sait que la plupart cherchent mais ne trouvent pas....Vous avez dit utilité...

    C’est quoi le monde que vous proposez ? Qui décidera de ce qui est utile ou non ?

    Le sport m’intéresse pour ainsi dire à un degré proche de zéro, mais je serais bien malhonnête de ne pas reconnaître que la maîtrise d’un savoir faire, d’un savoir bouger, d’un savoir penser, d’une adresse, d’une tactique, est à la base de tous les arts, de la cultures au sens large du terme (de la maîtrise du cheval et de la charrue, à la chanteuse lyrique, du charpentier à l’astronome), et qu’il n’y a d’ailleurs pas de gradation ou classement à effectuer entre ces différentes maîtrises, qui sont chacune un aboutissement, évoluant de perfectionnements en perfectionnements. Elles sont chacune dans leur branche l’aboutissement de ce que les humains sont capables de réaliser de meilleur. On peut d’ailleurs se réjouir ou non à telle ou telle évolution et résultat, qui signe l’esprit du temps.

    Le spectacle de la performance des corps, on la retrouve sur les stades olympiques, mais aussi à l’opéra ou dans l’atelier de l’horloger. Je la retrouve sur les échafaudages de mes chantiers autant que dans l’adresse du chirurgien. Tout est question de regard.

    Vos arguments d’utilité pour éliminer le sport parmi les richesses des capacités humaines me semblent la porte ouverte à une épuration culturelle, une révolution… (?), extrêmement dangereuse et dommageable. Une fois encore, qui décidera de ce qui est un art valable ou non ?

    Le sport pose problème, il envahit une part disproportionnée et pour moi scandaleuse de l’espace culturel. Je le perçois comme une agression. Il en est jusqu’à la coupe des vêtements que l’on est sensé porter pour accomplir telle ou telle activité. Le sport doit donc de toute urgence être remis à sa place. Demain n’est pas la veille. Je suis sur ce point tout à fait en phase avec votre discours et en particulier sur l’aspect fascisant de ce développement effréné de la sphère sportive.

    Sur le troisième programme de la RTBf, par exemple, on interrompt maintenant, sans ménagement aucun, de façon abrupte au beau milieu d’une phrase, les commentateurs d’avant concert pour annoncer les résultats de la dernière coupe de football… Et cela avec, en plus, dans la voix et l’expression l’enthousiasme feint de la midinette, peu ragoutant. C’est tout dire ! Le degré de soumission est total. Comme si le public qui choisissait d’écouter un concert à la radio le soir d’un match de foot se souciait d’une façon quelconque d’un résultat de ce type ? Bien au contraire ! Et il y a bien de quoi fulminer de cet envahissement jusque dans les recoins désormais les plus obscurs et désuets de la culture. L’envahissement est donc bien de type totalitaire, sans limites.

    Mais de là à réduire le sport comme vous le faites à quelque chose à détruire… je ne comprends pas ! Au point que je ne sais comment le noter votre article. Je le trouve intéressant et riche d’éléments forts bien mis en formes. Mais son contenu… en parlant de fascisme justement…

Voir tous ses commentaires (20 par page)


Publicité


Publicité



Palmarès

Publicité


Agoravox.tv