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Daniel Guyot

 
 

Tableau de bord

  • Premier article le 13/02/2015
  • Modérateur depuis le 26/11/2015
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Derniers commentaires



  • Pchetchkov 9 mai 2017 13:44
    Le risque de guerre est malheureusement bien réel, si l’on en juge par le climat de russophobie qui règne en Occident, et tout particulièrement, aux Etats Unis.

    La haine de la Russie, de Poutine et des Russes est omniprésente. Elle ne répond à aucun raisonnement rationnel, elle ne nécessite aucune preuve, aucune démonstration, la Russie est rendue systématiquement responsable de tout ce qui peut se produire de mal ou de négatif dans le monde.

    Contre toute évidence, et en l’absence de toute preuve, les démocrates américains persistent à vouloir rendre à tout prix Poutine responsable de l’échec électoral de Clinton, comme si Clinton n’était pas seule responsable de sa mauvaise campagne, et du vote des électeurs américains.

    Macron ou son équipe - qui ne dissimulent pas leurs sentiments antirusses - ont repris des accusations analogues à l’encontre des Russes.

    Le climat n’est pas plus favorable dans les autres pays occidentaux, en Allemagne ou en Angleterre, par exemple.

    Cette haine de la Russie est hystérique, elle semble irrationnelle, elle repose sur des instincts et des sentiments inavouables. Elle relève de ressorts aussi complexes que ceux de l’antisémitisme. Elle peut conduire à une guerre généralisée. Cette guerre, de façon larvée, a déjà lieu, aujourd’hui, en Ukraine.

    Si les USA ont, à un moment donné, le sentiment de disposer d’une avance technologique leur permettant d’infliger à la Russie une première frappe atomique, sans risquer de riposte efficace, ils le feront sans état d’âme. Car c’est précisément le but de la propagande antirusse et du climat actuel de russophobie que de préparer l’opinion à une guerre éventuelle, et de la justifier.

    C’est pourquoi non seulement M. Gorbatchev, mais la majeure partie de la population russe craint le déclenchement d’une nouvelle guerre contre la Russie.

    Crainte malheureusement justifiée.

    Aujourd’hui, 9 mai, la Russie célèbre la victoire sur le nazisme, au terme d’une guerre qui avait fait, selon certains chiffres, 27 millions de victimes soviétiques, et qui avait détruit la moitié du pays. Non, décidément, les Russes n’ont pas de raison de vouloir la guerre.




  • Pchetchkov 9 mai 2017 12:27
    @Gilles Mérivac

    Vous avez parfaitement raison, cette élection n’était pas démocratique, elle a été faussée par une propagande éhontée, en faveur d’un candidat, dans la quasi totalité des médias.

    J’avoue ne pas comprendre ceux qui nient cette évidence.

    Je devrais plutôt dire que je les comprends trop bien, car si l’on admet que l’élection n’était pas démocratique, et qu’elle n’est intervenue qu’après un matraquage insensé de l’opinion, un véritable viol de l’opinion, celui qui a été élu légalement, n’est pas élu légitimement.

    C’est bien le problème qui se pose aujourd’hui : celui qui a été « élu » n’a pas de véritable légitimité. Il le sait, ceux qui, par défaut, ont voté pour lui le savent, ses « amis », ceux qui se sont associés à sa campagne de propagande ou qui l’ont organisée le savent encore mieux, et bien entendu, ses adversaires le savent aussi !

    Une élection qui, au terme d’une campagne à ce point viciée par la propagande, permet la désignation d’un candidat sans véritable légitimité, perd sa raison d’être.

    Mais après tout, est-ce si important ?

    Les partisans de Macron se complaisent à souligner la « réussite exceptionnelle », le parcours hors norme de leur candidat, un homme de 39 ans, inconnu il y a peu du grand public, et à présent élu président. Au-delà des qualités éventuelles, possibles d’un individu, cela démontrerait plutôt que notre société est orientée, contrôlée par des groupes d’intérêts, par des gens qui n’apparaissent pas, qu’il est difficile d’identifier, mais qui, eux, connaissaient parfaitement le candidat, leur candidat, et que rien n’obligeait à respecter le pluralisme de l’information.

    En fait, c’est une histoire vieille comme le monde. Les sociétés dites « démocratiques », comme les autres, sont toujours dirigées par une minorité, par une « aristocratie ». Des philosophes l’ont écrit, beaucoup mieux et bien avant moi !




  • Pchetchkov 8 mai 2017 18:00
    Culte de la personnalité oblige !

    L’auteur de l’article évoque complaisamment l’âge et la personnalité du nouveau président.

    Ca fait penser à toutes les vieilles peaux qui déclaraient, avant l’élection, qu’elles voteraient pour Macron, « parce qu’il était mignon ».

    On n’arrête pas le progrès de la science politique.



  • Pchetchkov 5 mai 2017 12:53
    @Claire29

    « ...Pouvait-il en être autrement ?

    Pourquoi ce débat devait-il être digne alors que cette élection est une mascarade ? ... »

    Vous avez parfaitement raison, et de mon point de vue, vous touchez le fond du problème : cette élection est véritablement une mascarade.

    Je n’ai pas grand ’chose à ajouter à l’article, et à vos propres commentaires. Je souhaiterais simplement ajouter ce qui suit.

    Au cours des débats ayant précédé le 1er tour, la nécessité d’une moralisation de la vie publique a parfois été évoqué. Il s’agissait en fait d’accabler encore davantage le candidat Fillon, devenu, au terme d’une opération médiatico-judiciaire soigneusement coordonnée, le symbole même de l’immoralité du milieu politique, et livré en tant que tel au lynchage de l’opinion publique.

    Mais la moralisation de la vie publique ne saurait concerner uniquement les élus. Elle concerne bien davantage l’appareil judiciaire, noyauté par des fonctionnaires judiciaires - juges ou procureurs - excessivement politisés, partiaux et prêts à toutes les violations de procédure - violation de la présomption d’innocence, violation du secret de l’instruction - . La séparation des pouvoirs, l’indépendance de l’autorité judiciaire sont des illusions.

    Quant au 4ème pouvoir, celui de la presse, la moralisation de la vie publique nécessiterait tout autant une réforme des médias qui, sous couvert de liberté de la presse, manquent en fait à toutes les obligations d’objectivité des journalistes, qui n’informent pas et qui sont devenus des outils purs et simples de propagande au service d’un candidat, qui n’est lui-même qu’un pion au service d’intérêts plus puissants.

    Le rôle des grands médias, et notamment des chaînes de télévision, reste déterminant dans le choix des électeurs, car la plupart d’entre eux ne lisent pas ou peu, et parfois sont tout simplement incultes. Face au pouvoir des chaînes, il est inutile de s’illusionner sur le contre-pouvoir que constitueraient les réseaux sociaux.

    Il est impossible de parler de liberté de la presse, si on renonce au pluralisme de la presse et si l’on permet à un petit groupe d’oligarques de contrôler les principaux médias. Sans liberté de la presse, il ne peut y avoir de démocratie.

    Oui, cette élection, du début jusqu’à la fin, aura été une mascarade.





  • Pchetchkov 23 novembre 2016 21:27
    @Le421

    En ce qui concerne la création de la Terre et la Vierge Marie, je peux comprendre votre scepticisme.

    Et grâce à vos remarques, je viens de réaliser que le seul candidat « catholique avéré » est également le seul qui, décrivant la triste réalité, invite les Français à faire des efforts. Il a manifestement oublié le miracle de la multiplication des petits pains, miracle auquel d’autres, pourtant athées, semblent croire.

    Encore une contradiction, ou un oxymore, comme vous dîtes !

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