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zzz999

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  • Premier article le 29/01/2013
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Derniers commentaires



  • robin 17 juin 2009 10:43

    En somme peut importe contre qui on se bat pourvu qu’on se batte vachement intelligent ....lol !



  • robin 17 juin 2009 08:42

    En un mot : PITOYABLE !



  • robin 17 juin 2009 08:40

    Voilà un extrait d’un texte de 2006 de Craig Roberts ancien secrétaire d’ETat au Trésor sous Reagan qui a en juger par les réactions de tous les ADEPTES DE LA SECTE NEOCONS qui oeuvrent ici n’a pas pris une ride hélàs :

    Pourquoi les médias sont-ils si peu préoccupés par le fait que les règles gouvernant la préservation des preuves matérielles sur la scène d’un crime n’aient pas été respectées par les autorités fédérales ?

    Pourquoi les médias qualifient-ils systématiquement ceux qui doutent de la version officielle de « théoriciens du complot » ou de « farfelus » ?

    Qu’y a-t-il de mal à débattre et à entendre les arguments pour et contre sur un événement d’une telle importance pour notre époque ? Si la ligne officielle est si correcte et si défendable, qu’a-t-elle donc à craindre des sceptiques ?

    À l’évidence, beaucoup quand on voit le rideau de fer érigé pour protéger cette ligne officielle d’un examen indépendant.

    Certains pensent peut-être que le rapport de la commission sur le 11 septembre était une enquête indépendante, et d’autres protesteront que nous avons l’analyse du National Institute of Standards and Technonology [NIST dans la suite de l’article, ndt] qui explique l’effondrement des tours jumelles du World Trade Center par l’effet combiné de l’impact des avions et du feu qui s’ensuivit.

    La commission sur le 11 septembre était une commission politique dirigée par Philip Zelikow, un proche de l’administration Bush. Le NIST est une agence du département du commerce des États-Unis à la tête duquel siège un membre du cabinet présidentiel de Bush.

    Zelikow fut membre du comité conseillant le président Bush en matière de renseignement étranger, un fief des néoconservateurs. En février 2005, Zelikow fut nommé conseiller du département d’État des États-Unis. À l’évidence, il n’y avait aucune chance pour que la commission sur le 11 septembre tienne une partie de l’administration Bush pour responsable des nombreuses défaillances des agences gouvernementales le jour du 11 septembre, et encore moins pour que la commission envisage une complicité.

    Si l’on compare les diplômes et compétences des sceptiques à ceux des tenants de la version officielle, il est impossible d’écarter les premiers d’un revers de manche en les qualifiant de « farfelus ». Il y a certes beaucoup de gens avec une imagination débridée sur internet, mais les sceptiques sérieux s’en tiennent aux faits établis, aux violations avérées des procédures standards et aux lois de la physique. La vaste majorité des personnes qui traitent les sceptiques de « farfelus » sont eux-mêmes ignorants de la physique et ont peu de compréhension de l’improbabilité qu’une telle attaque ait pu réussir sans la complicité ou la défaillance totale des agences gouvernementales.

    Au cours des six dernières années, de nombreuses personnalités respectées sont venues gonfler les rangs des sceptiques contestant le scénario officiel du 11 septembre. Ces rangs incluent d’éminents scientifiques, des ingénieurs et des architectes, des agents du renseignement, des contrôleurs aériens, des généraux et des officiers militaires de haut rang dont le général [major general Albert Stubblebine, ndt] anciennement à tête du « United States Army Intelligence and Security Command », d’anciens hauts responsables et membres de la Maison-Blanche sous divers gouvernements républicains, des pilotes militaires et des pilotes de ligne chevronnés qui affirment qu’eux-mêmes auraient été incapables de réaliser les manoeuvres aériennes attribuées aux pirates de l’air le 11 septembre, et enfin des dignitaires étrangers.

    Le Dr Andreas von Bülow, ancien ministre allemand de la Recherche et de la Technologie et ancien secrétaire d’État à la Défense, a déclaré : « La planification des attaques était un chef-d’oeuvre de technique et d’organisation. Détourner quatre avions de ligne en quelques minutes et les conduire en moins d’une heure jusque dans leur cible après avoir exécuté des manoeuvres aériennes compliquées ! C’est impensable sans le soutien pendant plusieurs années de l’appareil secret de l’État et de l’industrie. »

    Le général Leonid Ivashov, chef d’état-major des armées russes [au moment des attentats du 11 septembre, ndt] a quant à lui déclaré : « Seuls les services secrets et leurs chefs actuels ou retraités - mais ayant conservé de l’influence à l’intérieur des structures étatiques - sont capables de planifier, organiser et gérer une opération d’une telle ampleur. ...Oussama ben Laden et « al Qaïda » ne peuvent être ni les organisateurs ni les exécutants des attentats du 11 septembre. Ils ne possèdent ni l’organisation requise pour cela ni les ressources intellectuelles ni les cadres nécessaires. »

    Les Américains pourraient reconnaître qu’il est inhabituel que les contrôles de sécurité des aéroports américains aient été défaillants quatre fois en quelques minutes, que la défense aérienne des États-Unis ait totalement échoué à intercepter les avions détournés et que des pirates de l’air qui étaient de piètres pilotes aient réussi des manoeuvres aériennes exotiques que même des pilotes de chasse chevronnés se déclarent incapables d’accomplir. Certes, il reste la possibilité, aussi improbable soit-elle, qu’Allah ait doté les pirates de l’air d’une chance inouïe.

    En revanche, pour l’effondrement des tours jumelles du World Trade Center, la version officielle n’a aucune chance d’être vraie. Les architectes, ingénieurs et physiciens savent que les bâtiments soutenus par une puissante charpente en acier ne s’effondrent pas soudainement à la vitesse de la chute libre, ou de la quasi-chute libre, simplement parce qu’un avion les a heurtés et qu’ils ont été soumis à des feux limités de courte durée et de faible intensité.

    Les physiciens savent également qu’il n’y avait pas suffisamment d’énergie gravitationnelle pour pulvériser les énormes quantités de béton en fines poussières, pour cisailler les colonnes d’acier en sections justes de la bonne longueur pour être chargées et évacuées sur des camions, et pour éjecter à l’horizontal de la poussière et des poutres en acier à des centaines de mètres. Les physiciens savent également que s’il y avait vraiment d’intenses feux partout dans les tours au point d’affaiblir l’acier et de provoquer leur effondrement soudain, ces feux n’auraient pas laissé les centaines de milliers de morceaux de papier non brûlés, pas même noircis, qui flottaient partout au-dessus de Manhattan.

    Des physiciens ont demandé pourquoi l’explication officielle négligeait les lois établies de la physique, mais ils n’ont toujours pas reçu de réponse. Récemment, le Dr Crockett Grabbe, chercheur en physique appliquée à l’université de l’Iowa et diplômé de Caltech, a fait les observations suivantes : « En appliquant deux principes de base, la conservation de l’énergie et la conservation de la quantité de mouvement, l’explication du gouvernement se délite rapidement. Le NIST a visiblement ignoré ces principes dans ses rapports. Le NIST a également ignoré la torsion observée des 34 étages supérieurs de la Tour Sud avant qu’elle ne s’écroule. Cette torsion viole clairement à la fois la conservation de la quantité de mouvement et la conservation du moment angulaire, sauf si cette torsion a été causée par une violente force extérieure. D’où provenaient donc les énormes quantités d’énergie nécessaires pour provoquer l’effondrement total des parties inférieures encore intactes de chacune des tours ? Les volumineuses études du NIST ne répondent pas à cette question. »

    Les rapports du NIST sont même contestés par ses propres scientifiques. Le Dr James Quintiere, ancien chef de la division science du feu au National Institute of Standards and Technology, a déclaré récemment que « la conclusion officielle à laquelle le NIST est arrivée est douteuse », et il a demandé l’ouverture d’un réexamen indépendant de l’enquête du NIST sur les effondrements des tours du World Trade Center.



  • robin 16 juin 2009 16:46

    AZF ça n’existe pas, d’ailleurs rien n’existe et je vais me coucher, la vue de trop de connerie me fatigue au bout d’un moment !



  • robin 16 juin 2009 16:43

    Je suis désolé d’être devenu grossier mais il y a des moments où un certain degré de mauvaise foi est totalement intolérable !

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