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Tao David

Tao David

Enseignant Educateur

Dr en Philosophie politique et juridique .
Citoyen intéressé et engagé dans la défense de la Res publica.

Tableau de bord

  • Premier article le 25/09/2006
  • Modérateur depuis le 17/01/2009
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Ses articles classés par : ordre chronologique













Derniers commentaires



  • Tao David Tao David 26 août 2007 08:47

    A Aegidius REX,

    soit vous êtes un imbécile tombé des dernières fortes pluies de l’été ou bien une vieille peau qui se trompe d’époque. Ou bien les deux à la fois. Vous vous réclamez des autorités telles Ferry et Voltaire, des hommes du 18e et 19e siècles, qui eux auraient sans doute rougi de honte, aujourd’hui, avec l’avancée des sciences, mais vous mêmes c’est quoi votre pensée ? Reconnaissez-le, vous êtes un de ces types forts en gueule, quand ils sont au sein d’une meute (ici votre race) ou seulement quand vous vous adossez à des tuteurs. Mais, je parie, que vous vous retrouvez sans défense lorsque vous devez penser par vous-mêmes. Oser penser par soi-même c’était, en effet, la devise du siècle de Voltaire. Vous ignorer peut-être cela. Ils se retournerait sans doute dans sa tombe, s’il savait que des gens comme vous et vos semblables se revendiquaient de lui, pour la seule raison que vous seriez de sa couleur de peau. Sachez qu’en matière de filiation, je suis plus proche de Voltaire que vous. Je suis plus proche de lui comme vous l’ête d’un débile ou d’un dégénéré. Je n’ose même pas vous comparer à un singe ou à des animaux grégaires quelconques. Vous êtes plus à plaindre qu’autre chose. Malheureusement, si vous voulez un jour voir la lumière, comme les prisonniers de la caverne platonicienne, il vous faudrait faire un effort de regarder la lumière de la raison en face ; quitter votre monde des certitudes et des illusions pour oser réfléchir, se poser des questions, vous informer sur d’autres époques, la nôtre par exemple, que le 19e siècle. Et si d’aventure vous souhaitez persister dans l’erreur, comme il sied aux imbéciles au carré, aux ignorants qui sont fiers de l’être, alors attendez bientôt que, dans la mise au point que je suis en train de préparer, je vous donne une bibliographie sur les grands racistes qui ont peulpé l’Europe, notamment du 19e et du 20e siècle, pour vous aider à renforcer votre culture de haine. Là, en effet, vous faites pitié avec vos références au discours de Ferry, à l’Asseblé Ntionale ou aux phrases éparses que vous retenez de Voltaire. Bon courage à vous, car j’ai osé ce matin aller à l’encontre de l’adage qui dit « il ne faut pas parler aux imbéciles, car ça les instruit ». Mais, comprenez-moi bien, j’ai juste eu pitié de la personne humaine dont vous êtes le siège. Rien de plus.

    L’auteur qui vous réserve une mise au point pleine de renseignemens, dans la journée.



  • Tao David Tao David 25 août 2007 10:10

    snoopy86 (IP:xxx.x07.231.249),

    ne vous en déplaise, Olivier Pétré-Grenouilleau est un révisionniste pur jus. Et il semble que vous le défendiez sans l’avoir lu. En effet, vous dites qu’il y a des dizaines de livres en France sur la Traite négrières et que votre auteur cheri en a fait une compilation. Or, il n’en est rien. M. Pétré-Grenouilleau dit, dès la page 8 (introduction) que l’histoire de la Traite est inexistante en France. Ce qui, soit dit en passant, est faux ; puisqu’il existe au moins quatre historiens sérieux qui ont travaillé sur le sujet : François Renault et Serge Daget, à qui M. Pétré-Grenouilleau reprend le titre de son ouvrage : Les Traites négrières ; Jean-Michel Deveau, qui a publié La France au temps des négriers, aux éditions France-Empire, en 1994 et enfin Claude Meillassoux qui a publié un livre très intéressant sur L’esclavage en Afrique précoloniale. Tous ces auteurs, M. Pétré-Grenouilleau les a superbement ignorés. Vous parlez des chiffres fantaisistes évoqués par M. Pétré-Grenouilleau, mais allez voir chez M. Deveau, ils vont de dizaines de millions de personnes déportées ou touchées à 200 millions. Alors vos chiffres, vous pouvez arrêter de nous les exhiber. Savez-vous que la principale source de votre Pétré-Grenouilleau, dans son livre, c’est un article d’un universitaire anglais, nommé David Eltis ? Article publié en 2001. Les autres sources sont toutes britaniques ou anglo-saxonnes : Herbert S. Klein, Steven Behrrendt et Ralph Austen. M. Pétré-Grenouilleau aurait pu au moins aller lire les travaux des historiens africains comme Ki-Zerbo, Elikia M’Bokolo... et ceux de la diaspora, pour les critiquer. Mais rien de tout cela. Et comment peut-on étudier sérieusement un fait historique sans analyser ses commencements ? Le commencement de l’esclavage et de la traite des Noirs se trouve justement dans La Chronique de Guinée de Zurara, dans le compte rendu, publié en français, de La controverse de Valladolid, lors de laquelle la papauté donne, pour la première fois, aux Portugais l’autorisation de traduire les Noirs en esclavage. S’agissant de la vision que l’on peut avoir de l’Afrique précoloniale, il faut aller voir chez les auteurs médiévaux tels Léon l’Africain (Description historique, politique et géographique de l’Afrique), chez les voyageurs arabes tels Ibn Batutta et Ibn Kaldun qui y ont séjourné comme ils ont séjourné dans d’autres parties du monde. Bref, je ne sais pas pourquoi je perds mon temps à vous donner des indications historiques et bibliographiques, puisqu’il me semble que vous ne vous donnez pas la peine de lire mêmes les auteurs que vous défendez. Mais, faites un effort d’aller y voir pour réfléchir par vous-même. Vous verrez comment on se sent libre et véritablement humain. En espérant que vous y réfléchirez, je vous dis courage.

    L’auteur qui vous veut du bien !



  • Tao David Tao David 24 août 2007 22:33

    Cher Alpo47 (IP:xxx.x25.91.136,

    ma tête est bien haute sur mes épaules et je suis un être humain « normal ». De ce fait, comme dirait Térence, « rien de ce qui est humain ne m’est étranger », donc le ressentiment, la victimisation ! Mais il ne s’agit pas encore de sonder mon psychisme, n’est-ce pas ? Mais de juger si mon article relève du ressentiment et de la victimisation à outrance que vous pensez détecter chez certains Africains. mais qui en réalité est un comportement humain normal chez les êtres humains qui sont en position de faiblesse. C’est ainsi que l’anti-américanisme primaire en France n’est autre chose que la réaction de gens appartenant à un pays faible par rapport aux Américains qui eux sont une super puissance. C’est vous dire que l’Afrique réagit depuis cinq cents ans face à des puissances qui l’oppriment et violent son imaginaire. Mais il faut que vous le sachiez, moi personnellement, je n’ai aucun complexe d’infériorité, en tout cas pas conscient, vis-à-vis de l’homme blanc. j’interviens, ici, vous disai-je, uniquement parce que notre Président est allé dire des contrevérités, au Sénégal, en ce qui concerne l’Afrique, son histoire, sa civilisation et ses enfants. Réduire l’esclavage à des Africains vendant des Africains est un mensonge éhonté, dire contre la Loi française que le bilan de la colonisation est globalement positif c’est soit une imbécilté, soit du révisionnisme ; dire enfin que l’homme africain n’est jamais entré dans l’Histoire c’est faire preuve d’une idéologie nauséabonde. Tout cela a été démontré, dans cet article, en convoquant des auteurs et des preuves historiques incontestables. Que voulez-vous alors ? Pourquoi, la plupart de ceux qui me tombent, à bras raccourcis, dessus, ne m’attaquent-ils pas sur le fond de l’article ? Pourquoi c’est ma personne qui est à chaque fois visée ? Tout cela parce que j’ai précisé que j’étais d’origine africaine. Et je sais que pour beaucoup cela est synonyme de non français. Mais je vous assure : si croire aux idéaux profondément humanistes de la Révolution française, aux principes du républicanisme énoncé par les révolutionnaires, si connaître l’histoire de ce pays, parler sa langue, si être né dans un village qui a donné la vie des siens pour que ce pays retrouve sa liberté et sa dignité, en 39-45... , c’est être français, pour sûr je le suis autant que tous ceux qui vocifèrent sur Agoravox leur francité sans trop savoir ce que cela implique. J’espère que j’ai suffisamment répondu aux questions précises que vous m’avez posées. Citoyennement vôtre.

    L’auteur.



  • Tao David Tao David 24 août 2007 16:19

    A maxim (IP:xxx.x65.60.208)

    NON COMMENT !

    L’auteur.



  • Tao David Tao David 24 août 2007 15:31

    Bonjour Alpo47,

    merci de votre message et la remarque sur mes connaissances historiques. La connaissance de l’histoire seule nous évite les manupilations mentales et les mensonges idéologiques. Par contre, vous vous trompez sur mon compte. Pensez-vous vraiment que j’ai la tête d’une victime ? Alors pas du tout ? Par contre, à force d’épouser les thèses dépassées « Du sanglot de l’homme blanc », ce serait maintenant les néo-réac français qui seraient dans la posture peu enviable de victimes éternelles. Et cela empêche certains de lire un article sans préjugés. Je ne parle pas forcément de vous, mais par exemple, de la troisième personne à réagir à mon article. Comme d’habitude, elle a pensé que je cherchais à culpabiliser les français dont je fais moi-même partie. Ce qui ne correspond pas du tout à l’esprit de mon article. A moins qu’il existe, sur Agoravox, des gens qui lisent le début des articles et qui se mettent en branle pour défendre des positions a prioristes ? Ce qui est intellectuellement malhonnête et contraire à la ligne éditoriale d’Agoravox qui entend promouvoir le débat citoyen. Soit dit en passant, je suis un citoyen français fier, fier de vivre ma citoyenneté française mais tout aussi fier de mon africanité. Les victimes, vous savez, ne demandent pas forcément un regard objectif sur les faits mais réclament vengeance. Ce n’est pas ma position dans cet article. Relisez, à tête reposée, mon article et vous saisirez mes buts. Si M. sarkozy n’avait pas osé affirmer que l’esclavage est essentiellement d’initiative africaine et que la colonisation a des aspects positifs en dépit de dérives mineures ; s’il n’y avait été aux antipodes de sa rupture claironnée, je n’aurais rien dit sur ce voyage présidfentiel. Je sais d’avance ce qu’il faut en attendre. Alors si pour cela, je dois subir des sarcasmes du genre prenez-vous en charge, enfin ; cessez de vous considérer comme des victimes... je les subirai volontiers. Qui vous a dit, en effet, que la vérité était facile à défendre ? Trop souvent, le bourreau a tué deux fois, parce que la victime, par honte ou par pudeur, n’a pas voulu ou su se défendre. Ne comptez pas sur moi pour avoir une telle attitude. Même minoritaire, vous me trouverez sur Agoravox, à chaque fois que la vérité historique sera foulue au pieds, à chaque fois que la démagogie politique enfreindra les règles élémentaires de la moralité.

    Bien à vous et merci encore de votre réaction. Tao David.

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