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Tzecoatl

Tzecoatl

Eduqué à étudier et travailler, j'ai été organiste, salarié agricole, commercial, informaticien, musicien auteur, monétariste, prof de maths, et jardinier agro-écologue, nutritionniste et physicien à l'occasion.
Je n'ai pas de prévalence pour la politique, sanction de la rareté. Il s'agit d'un abus et fructus de classe pathologique mais nécessaire pour la raison publique. Fournir l'abondance est plus subtil et passionant.
 
Concernant mon pseudo à consonance aztèque, mais de sonorité bretonne, il exprime ma curiosité  : Tu sais quoi ? T'es libre.
 

Tableau de bord

  • Premier article le 02/08/2006
  • Modérateur depuis le 12/09/2008
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Ses articles classés par : ordre chronologique













Derniers commentaires



  • Tzecoatl Tzecoatl 16 septembre 2010 18:45

    Je me trompe peut-être, mais leur culture « win or die » (gagne ou crève) n’est pas près de se dissoudre dans de la social-démocratie, dont Obama semble de plus un plus un mirage.


    Car le fait est que cela atteint et entache l’identité nationale, les crises se conjuguant malheureusement avec les relents xénophobes, et cela, partout ailleurs, surtout ici.

    Ils sont plutôt prompts à revisiter leurs pères fondateurs quitte à radicaliser leur héritage que d’importer des modèles considérés comme étrangers. 

    Et on ne voit pas bien ce que pourrait donner la revanche républicaine sur les démocrates, hormis le minarchiste Ron Paul.

    Pour résumer, aux US, il vaudrait mieux réussir ou quitter le navire.






  • Tzecoatl Tzecoatl 13 septembre 2010 19:49

    @Ulysse :


    Pourtant, les taux, c’est quand même la rémunération des financiers, non ?

    Si des taux bas génèrent systématiquement de l’inflation comme le suggère Santi en ce moment, qui sera lésé ? Ceux qui détiennent beaucoup de monnaie, en premiere lecture. Bref, ceux-là même qui sont en haut de la pyramide des inégalités, et conclusion inverse d’un article précédent de Mr Santi (Pour libérer la croissance, réduisons les inégalités)
    .

    Et des taux élevés réclament de l’économie qu’elle recourt encore plus au crédit (à moins de ne pouvoir éviter la faillite) afin de pouvoir rembourser des crédits chers, contrairement au cas où ils étaient peu onéreux.

    Fascinant le fait que l’on puisse démontrer tout et son contraire en économie, tout dépend si on a le fusil chargé ou si on creuse. 




  • Tzecoatl Tzecoatl 13 septembre 2010 18:38

    erratum : « que les taux faibles sur dettes publiques »



  • Tzecoatl Tzecoatl 13 septembre 2010 18:26

    Je m’étonne du rating qu’obtient les articles de Michel Santi, toujours prompts à décrier la faiblesse des taux. Tout ses articles ne sont là que pour démontrer que les taux sur dettes publiques, c’est mal.


    Une question me vient à l’esprit : qu’est-ce qui justifie le fait que des intérêts privés prélèvent des taux (ce que Henri Durrenbach nommait une taxe privée) sur de l’endettement public, tout en sachant que ces intérêts privés disposent de l’oligopole de l’émission monétaire ?

    Pourquoi faudraient-ils que les banquiers et rentiers s’engraissent sur le fait que j’emmène mes mômes à l’école, mes vieux à l’hosto, et que je puisse rouler chaque matin sur une route publique, que dis-je, communiste ?

    Parce que l’état vit au dessus de ses moyens, me rétorquera-t-on ? Avec le cinglant sigle vu à la télé ?
    Nada, dans un système à somme nulle (entre dettes et monnaie, bref, le meilleur des mondes d’avant 1973), si un agent économique fait des bénéfices, les autres agents se verront obligés de constater le collatéral, soit des déficits. Et en économie de marché, ce rôle incombe aux états, afin de surseoir à la poursuite du bonheur, bref des bénéfices, vocation suprême du secteur privé.

    Vous critiquez les taux faibles car ils n’enrichissent pas les rentiers, même les petits sur lesquels vous prenez un malin plaisir à vous apesantir. Comprenez que les taux bas en Euroland n’ont pas pour l’heure engendré une inflation dantesque, la masse monétaire évoluant très peu.

    La situation aux US étant différente, puisque déficit commercial et conséquences de la mondialisation, coûts de l’Empire (armées), , et keynésianisme financiariste (comprenez création monétaire au profit de la finance) sont financés par la planche à billets. C’est une situation particulièrement inédite, née d’un drôle de cocktail :
    - gestion du triomphe post 1945 et post 1989 ;
    - idéologie libérale, de libre-échange et de libre-concurrence ;
     - statut déclinant d’émetteur de monnaie de réserve mondiale et places financières prédominantes .

    « La vérité est que les Keynésiens ont détruit nos économies tout en étouffant nos Etats et nos porte monnaies sous des montagnes de dettes »
    Ce n’est pas le fait des keynésiens, mais bien plus des milieux financiers qui ont obtenu la privatisation de l’émission de monnaie. Et plus ceux-ci prêtent, plus ils percoivent des intérêts.


  • Tzecoatl Tzecoatl 25 août 2010 21:54

    Une mondialisation mature (à savoir une mise en concurrence des salaires minimaux inopérante) sera relocalisante.

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