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Commentaire de Imhotep

sur Le président Sarkozy dans l'émission de CBS : l'autre son de la cloche...


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Imhotep Imhotep 31 octobre 2007 09:12

Exact. Au moins deux faits très précis le prouvent :

1- Lors de l’intronisation de notre lider Massimo, - images reprises dans le documentaire de CBS - la famille de Sarkozy sur une estrade bien mise en valeur dans un coin des salons de l’Elysée, et ces deux gestes de notre guide : il pince amoureusement la joue de sa femme présidentielle et il il lui fait (ou tente) un french kiss qui en est une esquisse avec un geste maladroit en réponse de Cécilia

2- Cécilia est allée représentée la France en Libye.

De 1 et 2 on en conclut - enfin ceux qui sont objectifs - que Sarkozy met en scène sa vie de couple présidentiel. Et si l’auteur estime que le président n’est pas le même que le candidat, sa fonction qu’il aurait dû aller habiter dans un monastère (comme y cause notre chef alors qu’en général on est habité pare la fonction on ne l’habite pas,en sémantique cela a sa petite importance si on y réfléchit, ce qui transforme le missionnaire en homme au destin grandiose, à l’orgueil stellaire) et qu’il est allé fêter dans les eaux territoriales maltaise sur un bateau battant pavillon grand breton d’un grand patron français, il devrait dans ce cas réagir en chef d’état et non en soupe au lait. Et le fait d’oser dire que le grand Chef sait se faire entendre quand il n’est pas content, cela résume exactement un des aspects les plus détestables de ce qu’il est et de ce qu’aime ses soutiens aveuglés. Il se croit tout permis et cela les godillots adorent. Réflexion du genre : cela apprendra aux journalistes à se tenir à carreau. Les godillots ont définitivement considéré que la fonction présidentielle fait de Sarkozy un surhomme, un dieu qui a tous les droits et que les autres sont évidemment à un échelon inférieur. Or si cela est vrai en tant que fonction politique - il commande aux armées et appuie sur le bouton (en plus notre guide commande aux ministres, à la justice, à l’assemblée, à l’UMPet à la presse), cela ne l’est aucunement en tant que dignité et cela reste cantonné à sa fonction et à l’orientation politique. Pour le reste il est comptable devant la nation de ses faits et gestes et de ceci doit respect à la vérité.


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