J’ai bien apprécié cet article, Sansinette, et votre petit coup de griffe aux instances européennes.
Le fait est que le terme de « cyber cendrillon » n’est pas le mieux choisi. Pas plus que « cyber fée » par référence à la « fée du logis ».
Cette approche est d’ailleurs sexiste car il existe aussi des cas (rares il est vrai) où ce sont les hommes qui restent au foyer. Pourquoi dans ce cas ne pas parler tout simplement de « cyber travailleur libéral » ?
Et puis les quotas, ça me donne en général des boutons...