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Commentaire de asterix

sur La nouvelle vie des opposants cubains en Espagne


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asterix asterix 17 juillet 2012 20:00

Moi ! Et je ne lève pas un doigt mais toute la main. Quatre ans de vie principalement à Habana Centro, je ne vais pas dire dans quelle rue pour éviter toute investigation à ceux qui m’ont accueilli, hébergé au troisième étage d’ube maison qui n’avait plus ni escaliers ni balcon depuis plus de 20 ans et tremblait sur ses bases dès qu’un camion parvenait à se frayer un chemin entre les gravats Ces souvenirs sont si vivaces que je me demande comment des gens qui n’ont jamais vécu, j’insiste sur le mot vécu sur place travestissent la vérité à ce point.
Leur information peut se résumer à ce que pérore Fidel depuis 1959 : toda la culpa le tiene los Americanos. Lui n’y est pour rien, il n’y a jamais été pour rien. Ni la misère physique et morale de son peuple, ni pour l’expression d’autres points de vue que le sien, ni pour les prisons où il a fait crever des milliers d’innacents, ni pour le nombre phénoménal de balseros qu’il a fait envoyer par le fond..
J’ai rêvé, c’est tout. Rêvé d’un monde meilleur mais maintenant je sais que ce n’est pas à Cuba qu’il se trouve.
Mais bon, d’autres le disent, affirment de manière si préremptoire qu’il s’agit du paradis. Ces pauvres endoctrinés qui ont perdu tout sens critique me font pitié. Mais au nom de la liberté d’opinion, je leur reconnais le droit à la leur.
Hasta siempre... Comme à tout imbécile qui n’est pas capable de se remettre en question.
Hasta siempre.

Pour Spartacus, je précisrai que les exécutions de masse, ont été organisées par le si brave et tant adulé Che Guevarra à Villa Marista et qu’elles ont principalement visé TOUS les délégués syndicaux qui b’étaient pas commubistes. Je pense qu’un cubain de la calle ne dit pas le Paredon, mais le PareGon. Pour le reste, ses informations sont hélas justes, abominablement justes. Notre monde civilisé devrait dire, crier du fond de l’âme : tout, tout mais jamais cela.
Au bom de la gauche plus que tout autre.
Voilà pourquoi l’auteur ne répond jamais. Il ment et puis laisse aller sans intervenir.
Finalement, c’est un lâche, rien qu’un lâche, un gùsano.
Hasta siempre !!!


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