"Mais est-ce la volonté de soumettre les États à cette tutelle qui est
décriée ou simplement le Traité dans sa partie économique et
budgétaire ? Voudrait-on nous faire appeler à la rescousse des pompiers « fédéraux » pyromanes, ceci tout en dépouillant l’État de ses prérogatives et le disqualifiant de son rôle politique naturel de résoudre les crises ?«
»De même appeler la France la « patrie républicaine des français » n’ajoute
rien à la question. A moins qu’il ne s’agisse de la manifestation d’une
volonté sous-jacente de dénigrer ou discréditer les patriotes attachés à
l’histoire, à la culture, au modèle social de leur pays. Une tentative
pour les opposer, les diviser, les affaiblir par la querelle civile, les
désorienter par cette nouvelle lecture « internationaliste » d’une
« solidarité européenne » comme norme absolue du politiquement correct.
Tout ceci prête largement à confusion. «
»L’intérêt de la notion de souveraineté nationale est donc qu’elle permet
l’expression démocratique du Peuple par le biais des institutions qu’il
se choisit librement. Il est donc paradoxal de se prétendre « démocrate »
et vouloir placer « l’humain d’abord » mais priver les citoyens d’un pays
de la liberté d’exprimer sa volonté générale par le choix des lois et
des traités qui lui convienne selon le principe de la souveraineté
nationale« .
»
De ces trois phrases, je n’ai compris goutte.
Je trouve votre texte verbeux et peu clair ; un effort de synthèse m’aurait bien aidée.
Cependant, j’y ai décelé ( un peu comme sur un stand de fripes, on repère un vêtement qui nous plait !) quelques critiques intéressantes.
En gros vous nous dîtes qu’il faut sortir de l’euro pour appliquer le programme FdeG ; à ce propos et sur la manière de faire je n’ai guère vue de propositions très nettes !