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Commentaire de Laurent Simon

sur GALILEO : mais qui veut la peau de GALILEO ?


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Laurent Simon 3 septembre 2014 01:10

Pour avoir des véritables informations, et des questions plus concrètes que celles posées ici, à partir d’articles écrits ailleurs (et cités) :
« Galileo, Soyouz, Arianespace... et le management de projet (international) »

Quelques exemples - extraits :

  • "Même lorsqu’il s’agit de corriger une orbite de 1 à 2 degrés, c’est souvent toute une histoire pour la remettre dans le bon plan, et cela demande une très grande quantité d’énergie. Alors corriger plus de 5 degrés... Il faudra se poser la question de savoir si les moteurs le permettent, et si le jeu en vaut la chandelle"
Les deux satellites semblent donc bien perdus, sans que cela ne soit dramatique :
  •  ni pour le déroulement du programme Galileo ...
  •  ni pour son coût global...

selon Jean-Yves Le Gall,« ce qui est le plus probable, c’est que le dysfonctionnement se situe au niveau du quatrième étage du Soyouz, l’étage supérieur Fregat, qui place les satellites sur leur orbite définitive après deux impulsions consécutives ».

selon nous une autre question est essentielle : pourquoi l’erreur d’orbite n’a t elle pas été détectée aussitôt ?

Comme le remarquait la NASA, « le problème n’a pas été l’erreur en elle-même, mais l’incapacité à détecter l’erreur »

Autre question pour la Commission d’enquête : vers plus de professionnalisme des lancements Soyouz ?

Et... si Jean Yves Le Gall concluait : «  Est-ce que c’est lié à un élément mal programmé ou un équipement défectueux ? La commission d’enquête devra le dire. », dans ces deux cas la responsabilité d’Arianespace semble engagée


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