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Commentaire de Le Gaïagénaire

sur Nouveau paradigme (3) Une société de joie, ludique et libertine


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Le Gaïagénaire 30 novembre 2015 00:16

@hervepasgrave ! 29 novembre 16:37


Pour une formule lapidaire, allez directement à la fin et revenez au début. Ça ce n’est pas du vent.

La violence physique ou psychologique exercée à l’endroit des enfants est un pouvoir des femmes. Toute initiative visant à contrer ce pouvoir est perçue implicitement comme de la misogynie. Et il y aura des représailles dont l’invalidation.

Tous les moyens sont mis en place pour faire semblant qu’elles sont contre la violence, mais la vraie solution n’est pas mise en place nulle part. Tout est saboté.

« Les deux côtés de l’homme sont transmis par l’éducation. Le bon côté par la socialisation, les normes communiquées consciemment par les parents. Le mauvais côté par les plus anciennes perceptions du comportement parental qui ne se montre à nu que devant son propre enfant utilisé comme exutoire. »(Miller, Alice, L’enfant sous terreur, p.84, Aubier 1986)


Ce ne sont pas les escroqueries comme la PNL ou autres manipulations qui contrent le « mauvais côté »


« Il y a ici confusion très révélatrice de la cause avec son effet, et l’on combat comme source du mal quelque chose que l’on a soi-même fait naître. Ce type de phénomène ne se produit pas uniquement en pédagogie mais aussi dans les domaines de la psychiatrie et de la criminologie. Une fois que l’on a suscité le » mal « par la répression du vivant, tous les moyens sont bons pour le combattre chez la victime.  »(Miller, Alice, C’est pour ton bien, p.45, Aubier, 1985) 


« Et dire que ce dont souffrent les femmes, ce sont elles qui l’ont engendré en revendiquant pour elles seules l’éducation du jeune enfant, dire que les futurs misogynes dont souffriront leurs filles, ce sont les mères qui les préparent.  »(Olivier, Christiane, Les enfants de Jocasse, p.72, Paris, Denoël/Gonthier)


La seule, la vraie solution consiste à obliger toutes les filles à dresser leur biographie (ontogenèse) avant qu’elles ne commencent à se reproduire. Cela est très facilement faisable à l’école entre l’âge de 10 et 15 ans. Elles prendront ainsi conscience de leurs émotions refoulées et ne seront plus sujettes à la compulsion de répétition de l’exercice du pouvoir. Les enseignants devraient toutes et tous être soumis à la même exigence avant d’être diplômés.


Le seul prérequis : Cesser l’idéalisation maternelle.



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