• AgoraVox sur Twitter
  • RSS
  • Agoravox TV
  • Agoravox Mobile


Commentaire de Hervé Hum

sur La monnaie du XXIème siècle... La révolution des citoyens responsables


Voir l'intégralité des commentaires de cet article

Hervé Hum Hervé Hum 14 juin 2016 07:18

@Paul

Pour l’outil informatique, j’attends donc de passer au cas pratique !

« Ce qui est original, c’est de présenter les nombres et les fractions comme résultat du déroulement de processus croisés. »

C’est plus qu’original, c’est originel !

L’idée centrale et à laquelle tu n’accroche pas et qui explique la flèche du temps avec donc, la réalité physique, c’est qu’on ne peut pas calculer un grand nombre premier à l’avance avant de l’atteindre au présent en passant par la somme des nombres premiers le précédents. C’est à dire, qu’il n’existe pas de formule permettant de connaître n’importe quel nombre premier à l’avance, c’est ce que montre la grille utilisée dans l’article, qui n’est pas la même que celle d’Ératosthène.

Même un calculateur quantique ne le peut pas, car il ne peut « voir » que les nombres premiers diviseurs qui sont dans le cube qu’il définit. Autrement dit, il ne peut pas voir l’avenir, mais uniquement le passé de l’espace-temps qu’il intègre.

Enfin, mon propos ne consistait pas à dire si le processus permet ou non de sortir indéfiniment de nouveaux nombres premiers, je m’en fous, mais que ceux-ci n’ont de raison de sortir que pour le sens qu’on leur attribut, ainsi, chercher un nombre premier avec 1 milliard en exposant est dénué de sens pour la nature, mais pas pour l’aberration du cerveau humain, dont ce genre d’aberration se retrouve aussi et de manière cette fois très négative, dans sa manière de gérer son environnement tant global, local, qu’intérieur (son esprit). La question posé ici est donc de savoir à quel moment on arrête de chercher le nombre premier le plus grand ? Les pseudo nombres premiers soi disant trouvé à cent millions de 2 en exposants ont t-ils un sens ? Non, en fait, si on s’en tient aux nombres premiers ayant un sens, on s’arrête bien avant !

Alors, ce que tu n’as toujours pas compris, c’est que l’infini commence là où s’arrête le sens, au delà, on revient au point de départ où on se désintègre. Sauf si au détour d’un retour,le sens repousse un peu plus loin les limites de l’infini !


Voir ce commentaire dans son contexte





Palmarès