@Jeussey de Sourcesûre
Chrurchill disait en
gros que la meilleure façon de conserver secret un secret c’était
de l’entourer de mensonges. Cette tactique a fonctionné
merveilleusement contre l’Allemagne nazie.
Entourer de
mensonges, de rumeurs, d’hypothèses pour égarer les citoyens
désireux de vérité, c’est ce qui semble se profiler dans cet
affaire d’assassinat qui tombe effectivement à point nommé contre
les pro-brexit accusés de violences verbales alors que la presse de
caniveau aux ordres de la City et des milliardaires n’avait pas de
mots assez durs contre eux.
La question se pose
même de savoir si ce Thomas Mair a vraiment tiré sur Jo Cox. Elle
aurait reçu des coups de poignard et des balles. Si le meurtrier
présumé possédait une arme de poing - ce qui semble-t-il n’est
pas facile en UK pour un particulier - pourquoi s’encombrer d’une
arme blanche ?
En ce qui concerne
l’assassinat de Kennedy, il semble que l’on ait fourni à Oswald des
cartouches avec leurs balles mais dont on avait ôté l’amorce et la
poudre.
De peur sans doute
qu’il tire trop tôt, rate la cible et fasse rater l’attentat. Les
vrais tireurs d’élite étaient à l’horizontale, devant la voiture,
dans le virage, derrière un tertre engazonné, seul endroit d’où la
balle qui a défoncé l’arrière du crâne du président US a pu être
tirée.
C’est un morceau de
cerveau de JFK que Jackie essayait de récupérer, dans son
égarement, sur le coffre arrière de la voiture avant qu’il ne tombe
sur le sol.
Or, avant d’être
rendu muet par Jack Ruby qui l’a tiré et tué au milieu d’une
escorte inefficace de policiers, Oswald ne niait nullement avoir tué
Kennedy sachant pourtant qu’aucune balle n’était sortie de son arme.
Je pense que dans
les deux affaires nous ne saurons jamais la vérité officielle si
les services secrets sont derrière l’opération.