@Taverne
Les animaux n’ont
pas de droits puisque c’est une notion qui n’existe pas à l’état
de nature.
Les carnivores ne se
posent pas la question du droit des herbivores à ne pas être mangés
!
Et heureusement car
la prédation qui a commencé au précambrien est le moteur de
l’évolution sans laquelle ces beaux « moralistes » ne
seraient pas là aujourd’hui.
L’homme est un
animal, nous sommes d’accord. Mais si tous les animaux sont égaux à
leurs yeux, pourquoi refuser à l’animal humain ce qu’on autorise (et
pour cause, ils ne demandent pas l’avis des bipèdes) pour les autres
animaux ?
L’animal humain
aurait donc un droit en moins que la masse des carnivores ? Ce n’est
pas une « morale » équitable !
Trêve de
plaisanterie, c’est en consommant des fruits de mer, en les avalant
crus donc vivants, que les lointains ancêtres de ces animaux-là ont
doublé le volume de leur cerveau par cet afflux de protéines qu’ils
ont trouvé sans concurrence et sans danger au bord de mers bordées
par des falaises d’où jaillissaient des filets d’’eau douce.
Devenus plus grands
et plus intelligents ils ont pu sortir de ces bandes côtières où
ils avaient fini en Afrique du sud par être confinés par les grands
fauves qui ont exterminé leurs congénères en période de
sécheresse en les attendant aux points d’eau, avec des armes dont le
lancer précis de pierres et des bâtons et ainsi conquérir le monde
grâce à cette intelligence qui leur a donné une capacité
d’adaptation inégalée dans le monde animal.