Merci à ceux qui se rendent compte qu’être ainsi à
contre-courant est toujours un peu héroïque, face aux raccourcis et aux idées
reçues dont on se berce, aussi faciles pour séduire la pensée
qu’inopérants. Ceci, contrairement à Gollum qui s’étonne que l’on puisse laisser publier une réflexion comme la mienne, et donc, est pour la censure. Toutes mes références sont parfaitement vérifiables contrairement aux mensonges écolos que je prouve et se sont multipliés ces dernières décennies. On ne s’en étonnera pas, puisque l’écologie fait partie de ces idées dominantes d’un système ultra-libéral antidémocratique qui ne supporte pas la contradiction. Tout débat avec les scientifiques que je cite concernant l’appel publié dans le HuffingtonPost, des personnalités de premier rang directeurs de recherche au CNRS mais qui n’ont pas la même analyse, sont interdits de publication en France dans les grands médias, et de débat télévisé contradictoire. La pensée unique de ces idiots utiles du système doit seule dominée.
Sur le glyphosate et l’agriculture
traditionnelle, « traditionnelle » dans le langage courant veut dire non-bio, il aurait fallu dire « productiviste » ou « industrielle », au caractère péjoratif, pour satisfaire les rétrogrades écolos qui sévissent. Il est certain que nous
ne parlons pas de l’agriculture du néolithique... Il y a bien longtemps que
l’on utilise des pesticides sans lesquels on crèverait de faim, car ce n’est
pas le bio qui pourra un jour répondre à l’ensemble des besoins, incapable
d’atteindre un niveau de production qui implique de lutter contre des fléaux
d’insectes et donc nécessite l’usage de ce type de produit, qui n’a de nocif que pour
ceux qui ne respectent pas des règles élémentaires d’utilisation. Des écolos
qui vont jusqu’à défendre les insectes comme être vivants de façon délirantes,
les mêmes qui sont contre les vaccins, ce qui a eu pour conséquence récemment des
décès d’enfants. Je rappelle via mon article et des sources officielles, que le
bio ne représente que 5 % de parts dans la consommation des ménages, il faut
donc arrêter de dire des inepties. Avant le glyphosate on a utilisé massivement
le DTT, qui a d’ailleurs permis de détruire bien des causes de maladies qui
décimaient les populations. Mais ça n’a, bien sûr, aucun intérêt, puisque le
fait d’un raisonnement rationnel (Libération, « Prohibée dans les années 70, son utilisation (du DTT) contre la malaria redevient »acceptable"https://www.liberation.fr/week-end/2004/05/29/le-ddt-insecticide-utile-a-petite-dose_481371
) .
Il est ridicule d’avancer des arguments du type "il
était temps de fermer Fessenheim, la plus vieille centrale de France, située
sur une zone sismique et inondable, au-dessus de la plus grande nappe
phréatique européenne" comme le fait Jean Guillot, comme si nos
scientifiques du nucléaire étaient des imbéciles qui n’ont pas inclus ces
paramètres. C’est tellement absurde. Cette centrale est celle qui a été révisée
la plus récemment, avec des normes de sûreté folles dues aux délires
écologistes, et une Autorité de sûreté nucléaire à leur service. Un niveau de
normes de précaution qui n’a rien à voir justement avec la réalité des risques,
alors que les centrales sont toutes aujourd’hui faites pour résister aux aléas
sismiques. Réviser donc, avant d’écrire n’importe quoi pour justifier vos peurs
sans fondement.