Bonjour Gérard Dahan,

« Heureusement cette épidémie n’est pas parmi les plus dangereuses, mais c’est la première qui soit réellement planétaire. »

Si je conviens fort bien avec vous de l’aspect exceptionnel de cette pandémie planétaire, encore conviendrait-il de s’accorder sur sa nature.

Que le Covid-19 provienne d’un réservoir naturel, qu’il se soit échappé d’un labo ou qu’il représente la première ébauche mondialement planifiée d’une guerre biologique, c’est surtout dans les réponses qui y ont été apportées à l’échelle planétaire que résident mes questionnements.

La survenue du Covid-19 a donné lieu à une série de recommandations de l’OM$ - organisation internationale plus largement subsidiée, et par là même inévitablement « contrôlée », par les fonds privés d’associations philanthropiques que par les états qui l’ont fondée. Un des principales associations à la manoeuvre est la fondation Bill & Melinda Gates qui finance ses subsidiations de l’OM$, d’universités, de médias, de campagnes de vaccinations, de chercheurs, ... par les bénéfices tirés d’un capital placé en actions dans différentes entreprises et géants pharmaceutiques. Outre les options philosophiques, médicales et sanitaires soutenus par cette fondation, la question des conflits d’intérêts qu’un tel schéma de financement implique peut à tout le moins se poser !

Contrevenant à toute l’approche médicale traditionnelle d’une telle situation épidémique, de très surprenantes consignes de l’OM$, des autorités €uropéennes et des états - particulièrement occidentaux -, ont été dès le début de la pandémie émises, ou encore omises : négligence de toutes mesures tant préventives (administration de vitamine C, D, de zinc, ... en population générale ou au moins aux publics les plus à risques,...) que curatives (recommandation de ne pas faire d’autopsies face à une maladie encore inconnue, renoncement à tout traitement en médecine généraliste de première ligne, renoncement à toute médication potentiellement susceptible d’enrayer l’aggravation de la maladie au premier stade de son développement (hydrochloroquine, ivermectine, artémisia, fluoxétine, huiles essentielles, ...) sans qu’elles aient été au préalable scientifiquement étayées par de longs protocoles d’expérimentations en double aveugle (ce qui constitue une véritable aberration en cas de crise épidémique et d’urgence sanitaire), soins uniquement envisagés en milieu hospitalier après aggravation de la maladie, organisant ainsi une saturation de services d’urgence, de soins intensifs et de réanimation hospitaliers déjà réduits à la portion congrue par des années de compressions budgétaires et autres « optimisations managériales » du service public, négation durant des mois par les autorités sanitaire de l’évidence des mutations au virus, ...

Et parallèlement, imposition et généralisation de tests PCR aux résultats pour le moins douteux eu égard à la méthode d’amplification et au nombre de cycles retenus, financement massif par le contribuable du secteur pharmaceutique privé pour privilégier l’option du seul « salut » vaccinal, soit la mise au point de thérapies géniques - notamment à base d’ARN-messager - en vue de leur administration massive à l’ensemble des populations, alors même qu’elles reposent sur une technique encore totalement expérimentale qui nous introduit de plain-pied aux joies et aléas du transhumanisme, et sans qu’on dispose d’aucun recul sur leurs effets - sinon maintenant à court terme - à moyen et long termes, et tant sur chaque individu que sur l’ensemble de notre espèce.

Et tout cela sur fond d’une propagande et d’un battage médiatique totalement univoques et incessants, d’une mise à l’arrêt quasi totale de l’activité économique, culturelle, sociale et affective, de confinements et de séquestrations à domicile, de couvre-feux, de port obligatoire du bâillon dans l’espace public, de fermetures des frontières, de réorganisation de toutes les relations professionnelles, éducatives, commerciales, culturelles, sociales et affectives vers la virtualité d’internet et de réseaux sociaux placés sous la « bienveillante » surveillance des algorithmes des GAFAM - censurant maintenant activement tout discours alternatif à la doxa sanitaire officielle -, d’absence depuis près d’un an et demi de toute possibité de se projetter même dans un proche avenir, de la mise en place de passeports sanitaires et vaccinaux, ...

Qui, à quelle réorganisation sanitaire, économique, professionnelle, éducative, sociale et culturelle, affective, ... de tous nos modes de vie cette pandémie et son « délire » sanitaire est elle exactement le prétexte ??? Et si certains en tirent les ficelles, dans quels bien sombres buts ??? ...

Je conviens volontiers avec vous qu’il y a de quoi s’inquiéter, et pour ma part plus qu’un peu, et pas que pour moi !

En vous présentant mes respectueuses salutations !